Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia
COPERNICUS – Mises à jour

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focusclimat co2 réchauffement climatique urgence résilience
Le découplage est l’idée que l’économie peut croître sans aggraver dans les mêmes proportions son impact sur l’environnement – c’est alors un découplage relatif – ou en réussissant à diminuer cet impact de façon absolue – on parle alors de découplage absolu. Deux types de découplage sont souvent distingués : l’un se concentre sur l’usage de ressources, l’autre sur les « impacts environnementaux » ...
Que l’on nous nomme collapsologues ou autrement, nous – femmes et hommes particulièrement attentifs aux signaux systémiques – sommes confrontés à une réalité qui dépasse l’appréciation inquiète que nous pouvions en avoir il y a cinq ans à peine. L’emballement tant redouté se matérialise sous nos yeux.
Les études convergent pour nous annoncer la forte probabilité de l'effondrement de nos sociétés. Pierre-Éric Sutter, psychologue, et Loïc Steffan, économiste, analysent les mécanismes de la prise de conscience, chez ceux qui rejettent l'idée de collapse et chez ceux qui l'acceptent. La peur, manifestation de l'instinct de survie, nous pousse à créer une nouvelle vision du monde, durable, solidaire, résilente et capable de succéder à nos sociétés industrielles. Les auteurs nous décrivent les voies qui conduisent de la peur à une nouvelle sagesse : celle, extérieure, de l'action et du changement de mode de vie et celle, intérieure, de la méditation philosophique et de la recherche de sens.
Les chercheuses et les chercheurs qui contribuent chaque jour à alimenter notre média en partageant leurs connaissances et leurs analyses éclairées jouent un rôle de premier plan pendant cette période si particulière. En leur compagnie, commençons à penser la vie post-crise, à nous outiller pour interroger les causes et les effets de la pandémie, et préparons-nous à inventer, ensemble, le monde d’après.
Dans sa chronique, la sociologue Dominique Meda avertit que la pandémie de Covid-19 doit être comprise non pas comme une catastrophe naturelle dont il faudrait juste éviter qu’elle ne se reproduise, mais comme un coup de semonce exigeant une bifurcation radicale.
Le présent texte n’est ni une carte blanche, ni une pétition : il s’agit d’une charte par laquelle les signataires, académiques de toutes les universités belges, s’engagent à sortir de leur réserve et à prendre position dans les débats qui animent notre société, dans le respect bien entendu de la liberté de pensée individuelle.
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L’appel lancé conjointement par le ministre de l’agriculture et le syndicat agricole FNSEA, mardi 17 mars, a bien été entendu par les Français. Ils ont répondu en nombre, prêts à proposer leurs bras pour aider les agriculteurs sur le territoire national. « Nous dénombrons près de 145 000 candidats disposés à travailler », assure Jean-Baptiste Vervy, directeur de la plate-forme WiziFarm, qui héberge la page « Desbraspourtonassiette » créée pour l’occasion.
Historiquement, les grandes tragédies telles que la pandémie actuelle ont souvent apporté des changements importants. Alors des scientifiques cherchent à comprendre, la consommation d’animaux semble bien être en cause.
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Plus que de miser sur la technologie et le marché, il s’agit de modifier en profondeur la manière de produire et d’utiliser l’énergie. Jusqu’à présent, les politiques ont essentiellement misé sur la technologie et le marché pour transformer le système énergétique. Cette approche est totalement insuffisante alors qu’il s’agit de modifier en profondeur la manière de produire et d’utiliser l’énergie.
Aurélien Barrau nous dresse le bilan de notre civilisation actuelle et de la catastrophe qui est à nos portes. Il le précise lui-même, il est astrophysicien et non écologue. Son discours et son dernier opus « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité » n’a nullement prétention à la rigueur universitaire. C’est en tant qu’habitant de le Terre et membre de la tribu des vivants qu’il tente ce cri d’alerte, parmi tant d’autres plus savants et plus approfondis.
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Les anomalies de notre système politico-économique doivent mener à la révolution. Pas pour couper les têtes, mais pour changer radicalement de modèle.
rendre soin des arbres, c’est s’ouvrir à d'autres chemins de compréhension des mondes et à de nouvelles coexistences entre nature et culture.
Philippe BIHOUIX, ingénieur centralien et spécialiste des ressources non renouvelables, balaye les promesses d’un monde technologique meilleur, d’abondance et de bonheur pour tous, du rêve d’énergies propres qui ne tiennent pas compte des limites de notre planète “fatiguée”. L’auteur du livre “Le bonheur était pour demain” esquisse des solutions moins naïves, que nous pouvons mettre en oeuvre dès maintenant.

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