La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire, apparu dans les années 2010, qui envisage les risques, causes et conséquences d’un effondrement de la civilisation industrielle1,2. Source : wikipedia
Objet du rapport Meadows (voir page Meadows), les risques systémiques d’effondrement inquiètent de plus en plus. Retrouvez les références « focuscollaps » ci-dessous.
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Mon enfance a été perpétuellement peuplée de personnes créatives. Mes parents, tous deux musiciens, organisaient souvent des rencontres d’artistes, d’écrivains et d’interprètes. À chaque fois, un thème récurrent émergeait : la lutte de l’esprit créatif dans un monde qui semblait de plus en plus indifférent, voire hostile, à leurs contributions. Chaque personne exposait ce qui est devenu une fenêtre très claire sur la façon dont nos systèmes exploitent et marginalisent les personnes les plus créatives.
Et si, demain, une guerre nucléaire plongeait la planète dans l’obscurité, refroidissant brutalement le climat et provoquant une crise alimentaire mondiale ? Face à ce scénario d’hiver nucléaire de plus en plus plausible, des chercheurs néo-zélandais ont tenté de répondre à une question cruciale : comment nourrir durablement les habitants d’une ville moyenne dans un monde post-apocalyptique ? Leur réponse, aussi pragmatique qu’inattendue, repose sur une poignée de cultures résistantes… et une revalorisation massive des espaces verts urbains.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Matthieu Auzanneau,, auteur et directeur du think tank de la transition énergétique The Shift Project nous abordons l’inexorable épuisement des ressources fossiles et ses conséquences géopolitiques (Golfe Persique, Irak, Ukraine) La dépendance de l’Europe au pétrole et au gaz. Les grands moments historiques du pétrole (pic de 1970, Mer du Nord, boom du shale aux USA) Les premiers accords climatiques (Protocole de Kyoto) et la croissance paradoxale de la consommation de gaz L’analogie du corps humain pour montrer que l’énergie est l’« organe vital » de nos sociétés Les pistes de sortie de la « marriage pétrolier » : sobriété organisée, souveraineté industrielle, transition vers les renouvelables Et un appel à l’élaboration d’un plan clair et collectif pour réduire la dépendance aux énergies carbonées « Decarbonons la France ! »
Now that the collapse of our political, economic, social and ecological systems is accelerating, the signs of this collapse, including scapegoating, corruption, and social disorder are becoming more obvious. This is the seventh of a series of articles on some of these signposts.
Dans une tribune au « Monde », l’universitaire déplore qu’en dépit de diagnostics fermement établis, le monde qu’on appelait autrefois « moderne » ne se réforme pas, mais intensifie encore les travers qui ont mené à l’actuelle crise « socio-écologique ».
J’ai l’habitude de voir les écologistes et les futurologues parler des limites de la croissance (« The Limits to Growth »). Je suis moins habitué à voir des spécialistes de l’investissement mentionner des recherches liées aux limites de la croissance. C’est pourtant ce qu’a fait récemment Joachim Klement dans sa lettre d’information quotidienne. Bien entendu, quiconque écrit sur les limites de la croissance doit d’abord procéder à toutes les vérifications d’usage. En effet, la combinaison des mots « limites » et « croissance » dans le titre a suscité un grand nombre de réactions critiques, allant de la déformation pure et simple de l’ouvrage à l’incompréhension du modèle de dynamique des systèmes qui le sous-tend.
Que prédisent les IA grand public lorsqu'on leur pose la question ultime ?
I’m used to environmentalists and futurists writing about The Limits to Growth. I’m less used to seeing investment writers mention research that’s linked to The Limits of Growth. But that’s what Joachim Klement did in his daily newsletter recently.
La Terre, notre précieuse planète bleue, semble être un endroit stable et inaltérable dans l’immensité de l’univers. Cependant, la question de son avenir, et plus particulièrement de la fin de la vie, est une interrogation qui taraude de plus en plus de scientifiques. Le changement climatique, l’épuisement des ressources naturelles, la montée des températures et d’autres facteurs liés à l’activité humaine contribuent à rendre notre avenir incertain. Mais que disent vraiment les données scientifiques sur la fin de la vie sur Terre ? Quand cela arrivera-t-il et comment ?
I’m used to environmentalists and futurists writing about The Limits to Growth. I’m less used to seeing investment writers mention research that’s linked to The Limits of Growth. But that’s what Joachim Klement did in his daily newsletter recently. Of course, anyone who writes about Limits of Growth has to do all the usual disclaimers first. This is because the combination of the words “limits” and “growth” in the title produced a lot of critical responses, on a range from straight-up hatchet jobs which misrepresented the book, to people who didn’t appear to understand the systems dynamics model that sat behind it.
On Monday House Republicans released the final parts of their proposed tax and budget bill — and it’s the stuff of nightmares. As Bobby Kogan of the Center for American Progress documents, the bill would impose the largest cuts to Medicaid and SNAP — the program formerly known as food stamps — in history. Millions of low-income Americans would lose health coverage; millions would go hungry. Many of those suffering would be children.
Destructions par les Blancs, le monde après le capitalisme... Ailton Krenak, l’une des voix des peuples indigènes du Brésil, partage sa vision inspirante pour retarder la fin du monde.
Les calamités volent en escadrille. Nous avions déjà la hausse des températures, l’acidification des océans, la pollution de l’air, l’intensification des catastrophes météorologiques, la multiplication des feux de forêt et l’érosion de la biodiversité, mais il manquait l’assaisonnement indispensable pour lier entre elles toutes les saveurs du chaos : la menace d’un nouveau conflit planétaire.
L’écologue Philippe Grandcolas revient sur l’effondrement des populations d’insectes enregistré en Europe. Des « chiffres terrifiants » qui se traduisent, entre autres effets, par une chute de la productivité agricole.
It is said that George W. Bush Jr. decided to invade Iraq in 2003 because he had read some papers on oil depletion by the Association for the Study of Peak Oil (ASPO). Of course, it may be just a legend, but I don’t see it as impossible, and perhaps not even improbable. Politicians make decisions on the basis of vague ideas, often on the spur of the moment, and in many cases making terrible mistakes. But they normally understand some of the critical elements that keep alive the system. For the US, the critical resource was, and still is, crude oil. So, it is possible that Bush thought that it was necessary to compensate for the decline of the US oil production by seizing the Iraqi resources. That didn’t necessarily imply to start a war, just like filling the tank of your car doesn’t imply shooting dead the service station operator. But that’s the way some people’s minds work.
L’économiste Alain Grandjean et l’investisseur Fanny Picard appellent, dans une tribune au « Monde », les acteurs économiques européens à accompagner la transition écologique, sous peine de voir s’effondrer notre société tout entière.
Le marché de l’abri souterrain, s’il reste quasi inexistant en France, prend de l’ampleur en Angleterre, et surtout aux Etats-Unis où fleurissent des projets pharaoniques ultra-sécurisés et très équipés, à destination des ultra-riches.
An international forum for leaders addressing interconnected crises, systemic challenges, the imperative for a new approach, collaborative solutions, and adapting to inevitable consequences. - An international forum for leaders addressing interconnected crises, systemic challenges, the imperative for a new approach, collaborative solutions, and adapting to inevitable consequences. - 25 April 2025 – MagNet Community House, Pallavicini Palace, Budapest
... , il me semble suffisant d’imaginer qu’un scénario à 2 °C en 2050, et au-delà par la suite, pourrait provoquer une mortalité massive sur un pas de temps variable, s’élevant potentiellement à plusieurs centaines de millions d’êtres humains, sans qu’il soit loisible de fixer un plafond. Telle serait d’ailleurs tout simplement la conséquence d’une baisse significative, pour un temps indéfini, de nos capacités de production alimentaire, associée à une régression rapide des ressources marines.
Before you read this, a word of caution. You may want to prepare yourself a stiff drink and sit down before you read the following. I think most people who read this will at some point in their life heard about the Club of Rome’s Limit to Growth publication from the 1970s. Back then, the Club of Rome asked the MIT to produce a series of forecasts for the world’s industrial and services output, food production, and pollution levels to the year 2100. Almost from the get-go, these forecasts were derided as scaremongering and flat out wrong. But were they really?