Dans quelle mesure la technologie est-elle susceptible de contribuer à l’augmentation du risque d’effondrement de nos sociétés?
Nous vous donnons accès sur cette page à des références qui évoquent des risques majeurs liés à l’utilisation de diverses technologies.
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2025
Le ministre fédéral des Finances, Jan Jambon (N-VA), veut traquer les fraudeurs en utilisant l'intelligence artificielle. Bonne idée ? "Ne nous laissons pas aveugler par le techno-solutionnisme", met en garde Mark Hunyadi, professeur de philosophie à l'UCLouvain (*)."La Libre" lui a posé trois questions.
Une équipe californienne a utilisé l’intelligence artificielle pour concevoir des génomes viraux avant qu’ils ne soient construits et testés en laboratoire. Ensuite, des bactéries ont été infectées avec succès par plusieurs de ces virus créés par l’IA, prouvant ainsi que les modèles génératifs peuvent créer des gènes fonctionnels. « La première conception générative de génomes complets. »
L’innovation technologique séduit autant qu’elle interroge. Porteuse de promesses de progrès et de confort, elle doit aujourd’hui composer avec un impératif incontournable : la durabilité. À mesure que l’intelligence artificielle, la blockchain ou les objets connectés s’imposent dans notre quotidien, la question se pose avec de plus en plus d’insistance : jusqu’où peut-on innover sans mettre à mal notre environnement ? Plus que jamais, les enjeux écologiques s’invitent au cœur de ce que nous appelons l’innovation, au point d’en redessiner les contours.
Imaginez porter des vêtements qui surveillent votre santé, reconnaissent vos mouvements et communiquent avec vos appareils, le tout en étant lavable en machine. Cette vision futuriste vient de franchir un cap décisif grâce à une innovation révolutionnaire : des scientifiques ont réussi à transformer de simples fibres textiles en véritables ordinateurs miniaturisés. Cette percée technologique, publiée dans la revue Nano-Micro Letters, ouvre la voie à une nouvelle ère où nos vêtements ne se contentent plus de nous habiller, mais deviennent des extensions intelligentes de notre corps, capables de traiter l’information en temps réel et de prendre des décisions autonomes.
Pour la première fois depuis son développement, le chasseur furtif chinois J-20 « Mighty Dragon » va être exposé statiquement au public lors d’un salon aéronautique exceptionnel du 19 au 23 septembre 2025. Cette présentation historique à Changchun marque un tournant dans la stratégie de communication chinoise et offre une opportunité unique d’analyser les prouesses technologiques de cet appareil de cinquième génération. Derrière cette démonstration de force se cachent des innovations scientifiques remarquables qui redéfinissent les limites de l’ingénierie aéronautique moderne.
Convaincus que l’émergence potentielle d’une superintelligence artificielle mènerait l’humanité à la catastrophe, les « doomers » et leurs alliés, minoritaires dans le secteur de l’IA, veulent se faire entendre.
Imaginez pouvoir communiquer sans prononcer un seul mot, simplement en pensant à ce que vous voulez dire. Ce qui relevait hier encore de la science-fiction devient aujourd’hui une réalité tangible grâce aux travaux révolutionnaires menés par une équipe de l’université de Stanford. Leur dernière innovation pourrait transformer radicalement la vie de millions de personnes privées de la parole, tout en soulevant des questions éthiques fondamentales sur la protection de nos pensées les plus intimes.
L’entreprise Microsoft cessera d'assurer gratuitement les mises à jour de son logiciel Windows 10 à compter du 14 octobre prochain. Une décision «injuste» qui incite à l’achat précoce d’un nouvel ordinateur, dénoncent 23 organisations dans une pétition qui vient d’être mise en ligne.
Pour l’heure, nous n’en sommes qu’au stade des prédictions. Mais ce n’est pas très joyeux. Et si le scénario catastrophe, celui de l’apocalypse, n’était pas dû au fait de la folie d’un ou plusieurs chefs d’États, mais d’une technologie que nous avons conçue ? C’est ce qui inquiète des experts de l’université de Stanford aux États-Unis qui voient de plus en plus l’IA avoir la possibilité de déclencher une guerre nucléaire.
Alors que l’intelligence artificielle détruit déjà des milliers d’emplois et épuise les ressources en eau de communautés entières, le PDG de Meta vient de faire une annonce qui n’est pas passée inaperçue. Mark Zuckerberg affirme désormais que la « superintelligence artificielle » est à portée de main, une technologie qui permettrait aux machines de s’améliorer elles-mêmes indéfiniment. Derrière cette promesse technologique se cache pourtant une vision du futur que de nombreux experts qualifient ouvertement de dystopique. Entre ambitions commerciales et bouleversements sociétaux, décryptage d’une annonce qui pourrait redéfinir l’avenir de l’humanité.
Le LY-1 a été dévoilé lors de la parade militaire chinoise célébrant la victoire contre le Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale il y a 80 ans.
À l’avenir, si des cellules synthétiques (dites « cellules miroirs »), correspondant à la version chimiquement inversée de cellules naturelles, se développaient sur Terre, quelles pourraient être les conséquences pour la santé humaine et l’environnement ? On fait le point sur les risques et les enjeux liés à cette vie miroir.
Il est impossible de purement et simplement ignorer la propagation sans cesse plus rapide des armes létales autonomes et de l’intelligence artificielle sur les théâtres de guerre ; mais il serait éminemment dangereux de confier la prise de décision à la technologie seule.
Des chercheurs ont réussi, pour la première fois, à traduire en temps réel les pensées silencieuses grâce à un implant cérébral couplé à une intelligence artificielle. Cette technologie promet d’offrir une nouvelle forme de communication aux personnes paralysées. Elle soulève néanmoins des questions cruciales sur la vie privée, le consentement et la sécurité mentale.
Dans le cadre d’une récente étude, des chercheurs italiens ont présenté un système expérimental permettant de localiser et suivre une personne grâce au Wi-Fi. Ce système se base sur la signature corporelle d’un individu grâce aux perturbations que ce dernier induit au sein du réseau. Baptisé WhoFi, le dispositif se passe de capteurs et de caméras de surveillance.
L'Assemblée générale de l'ONU a créé mardi un groupe d'experts scientifiques sur l'intelligence artificielle (IA) qui sera chargé d'aider la communauté internationale à prendre des décisions informées sur ce sujet sensible, comme le fait le Giec pour le climat.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, va lancer un appel à candidatures pour identifier les quarante futurs membres du groupe, qui siégeront pour trois ans.
Comme d’autres analystes, l’économiste Carlota Perez s’attend à un krach sur les entreprises liées à cette technologie, mais juge que les emballements spéculatifs sont le seul moyen de financer les grands projets d’infrastructures.
Pendant que l’Occident mise sur ITER, le pharaonique projet international de fusion nucléaire, la Chine développe dans l’ombre une arme secrète qui pourrait bouleverser la course à l’énergie du futur. Son nom de code : CHSN01. Derrière cette appellation technique se cache un alliage d’acier révolutionnaire qui repousse les limites de la physique des matériaux et pourrait propulser l’Empire du Milieu en tête de la révolution énergétique mondiale.
This article examines the technocentric bias that characterizes climate mitigation literature, focusing on the reports of the IPCC's Working Group III. This bias stems from structural features of the scientific field that prioritizes innovation, leading to the overrepresentation of technological solutions in climate research. Funding mechanisms further reinforce this tendency by incentivizing collaboration with industrial R&D, creating a self-reinforcing loop in which scientific authority and industrial interests converge. The IPCC's institutional positioning—as a policy-relevant yet politically cautious body—amplifies this dynamic by favoring allegedly “cost-effective” technological pathways that lack practical feasibility.