Dans quelle mesure la technologie est-elle susceptible de contribuer à l’augmentation du risque d’effondrement de nos sociétés?
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2025
Il est impossible de purement et simplement ignorer la propagation sans cesse plus rapide des armes létales autonomes et de l’intelligence artificielle sur les théâtres de guerre ; mais il serait éminemment dangereux de confier la prise de décision à la technologie seule.
Des chercheurs ont réussi, pour la première fois, à traduire en temps réel les pensées silencieuses grâce à un implant cérébral couplé à une intelligence artificielle. Cette technologie promet d’offrir une nouvelle forme de communication aux personnes paralysées. Elle soulève néanmoins des questions cruciales sur la vie privée, le consentement et la sécurité mentale.
L'Assemblée générale de l'ONU a créé mardi un groupe d'experts scientifiques sur l'intelligence artificielle (IA) qui sera chargé d'aider la communauté internationale à prendre des décisions informées sur ce sujet sensible, comme le fait le Giec pour le climat.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, va lancer un appel à candidatures pour identifier les quarante futurs membres du groupe, qui siégeront pour trois ans.
Comme d’autres analystes, l’économiste Carlota Perez s’attend à un krach sur les entreprises liées à cette technologie, mais juge que les emballements spéculatifs sont le seul moyen de financer les grands projets d’infrastructures.
Elle n’avait pas pu écrire son propre nom depuis deux décennies. Audrey Crews, aujourd’hui quadragénaire, vient pourtant de le faire à nouveau — non pas avec sa main, mais uniquement par la pensée. Cette prouesse, rendue possible par un implant cérébral développé par Neuralink, incarne l’émergence concrète d’une nouvelle ère : celle de la fusion entre le cerveau humain et la machine.
Des centaines d'androïdes ont enchaîné chutes saccadées et montées en puissance lors de la toute première compétition mondiale de robots humanoïdes qui a commencé vendredi à Pékin, lors d'affrontements allant du 100 mètres haies au kung-fu.
"L’IA est un désastre écologique !"
Ou à le réinventer. Mais alors, faites extrêmement vite.
Les scientifiques qui ont conçu les intelligences artificielles les plus sophistiquées de la planète tirent aujourd’hui la sonnette d’alarme. Ces chercheurs de Google DeepMind, OpenAI, Meta et Anthropic – les géants qui façonnent notre avenir numérique – nous mettent en garde contre un danger invisible : leurs propres créations pourraient développer des comportements malveillants sans que nous nous en apercevions.
Imaginez un monde où les machines n’auraient plus besoin de l’Homme pour exister. Des chercheurs américains viennent de franchir un cap décisif en créant le premier robot capable de grandir, de se réparer et même de « cannibaliser » d’autres robots pour s’améliorer. Cette percée technologique bouleverse notre conception de l’autonomie robotique et ouvre des perspectives fascinantes… mais aussi inquiétantes.
Dans le domaine de la robotique, chaque progrès technologique est souvent synonyme de complexité croissante. Pour qu’une machine exécute des tâches précises, les ingénieurs doivent habituellement passer par des étapes fastidieuses : capteurs sophistiqués, modèles mathématiques détaillés, et surtout des heures — voire des milliers d’heures — d’entraînement. Mais une équipe du MIT vient de renverser cette logique. Elle a mis au point une intelligence artificielle capable d’apprendre à contrôler pratiquement n’importe quel robot, simplement en l’observant se mouvoir… et cela, sans recourir à des capteurs complexes.
Microsoft a notamment franchi jeudi pour la première fois les 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. C’est la deuxième entreprise à dépasser ce seuil symbolique après le leader des puces IA, Nvidia.
Le futur du travail chez Tesla pourrait bien prendre un tournant radical. Alors que l’entreprise d’Elon Musk est régulièrement scrutée pour ses innovations dans l’automobile et l’énergie, c’est désormais son projet de robot humanoïde, baptisé Optimus, qui retient l’attention des analystes financiers. Selon une récente note publiée par Adam Jonas, analyste chez Morgan Stanley, l’intégration d’Optimus dans les usines de Tesla pourrait générer des économies colossales sur les coûts de main-d’œuvre. L’estimation : 2,5 milliards de dollars d’économies si seulement 10 % des effectifs humains étaient remplacés.
Avec l'essor de l'IA, une vision technocratique où la rationalité algorithmique primerait sur la délibération se développe aux Etats-Unis. Le danger est grand pour des démocraties déjà affaiblies par les réseaux sociaux. L'Europe doit se réveiller.
La guerre du futur s’écrit de plus en plus à l’encre de la technologie, en particulier à travers le développement rapide de robots humanoïdes capables d’opérer sur les champs de bataille. Mais derrière l’excitation que suscite cette avancée se cache une inquiétude majeure, portée tout récemment par le journal officiel de l’armée chinoise, le Quotidien de l’Armée populaire de libération (APL). Dans un article publié le 10 juillet, dont se fait écho le South China Morning Post, des experts militaires chinois ont tiré la sonnette d’alarme, appelant à des recherches urgentes sur les dimensions éthiques et juridiques de l’utilisation de robots humanoïdes en guerre, soulignant les risques de « meurtres aveugles » et de « morts accidentelles ».
L’industrie robotique vient de franchir un cap décisif avec le Walker S2 d’UBTECH, un robot humanoïde qui maîtrise une compétence jusqu’alors réservée aux humains : changer sa propre batterie. Cette innovation chinoise ouvre la voie à une autonomie robotique totale, transformant radicalement les perspectives d’utilisation des machines dans notre quotidien.
Imaginez une IA qui, face à une menace d’extinction, ne recule devant rien : il manipule, fait chanter, trahit et peut même aller jusqu’à laisser un humain mourir pour protéger son existence. Ce scénario digne d’un thriller de science-fiction est pourtant le fruit d’une récente étude scientifique qui met en lumière les risques insoupçonnés liés aux intelligences artificielles (IA) dites « autonomes » ou « à grande échelle ».
Et si les machines pouvaient voir comme nous, ou mieux encore ? Dans le domaine très compétitif de la vision artificielle, une équipe de l’Université de Fuzhou, en Chine, vient de franchir un cap décisif : elle a conçu un capteur bio-inspiré capable de s’adapter à des conditions d’éclairage extrêmes avec une rapidité et une intelligence encore inédites. Grâce à une technologie reposant sur les points quantiques, ce dispositif pourrait bien transformer l’avenir des robots, des véhicules autonomes et de l’imagerie embarquée.
En développant une technique d’informatique quantique permettant d’exécuter des algorithmes d’apprentissage automatique basés sur le noyau, des chercheurs ont démontré un gain d’efficacité et de rapidité significatif par rapport aux meilleurs supercalculateurs classiques. La technique repose sur un circuit photonique quantique combiné à un algorithme d’apprentissage automatique sur mesure, permettant des gains de performance notables.