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janvier 2025

Face à l’offensive des industriels des PFAS, il est primordial de distinguer les usages réellement « essentiels » des substances polluantes de ceux qui pourraient être arrêtés dès maintenant, alerte un groupe d’experts indépendants dans une tribune au « Monde ».
Cela augure-t-il d'une pandémie humaine ? Aux États-Unis, la grippe aviaire H5N1 se répand dans les élevages industriels, mais aussi chez leurs employés. Un premier mort humain est à déplorer.
"PFAS : la dépollution éternelle" (4/4). Dans les premiers épisodes de l’enquête du Forever Lobbying Project, la RTBF et ses 28 partenaires européens révélaient le montant faramineux de la dépollution aux PFAS et les manœuvres de l’industrie chimique pour ne pas les interdire. Dans ce dernier volet, zoom sur un coût qui va au-delà de la simple ligne budgétaire : celui de l’impact sur le quotidien et la santé des riverains exposés aux "polluants éternels".
"PFAS : la dépollution éternelle" (3/4). Après avoir révélé le montant exorbitant de la dépollution des PFAS, l’enquête collaborative du Forever Lobbying Project a dévoilé ce mercredi l’influence de l’industrie chimique pour maintenir un statu quo dans la réglementation européenne. Quels sont ses arguments et sont-ils fiables ? C’est l’horizon de ce troisième épisode, en mode "test de résistance".
Selon les chiffres publiés par Santé Publique France mercredi soir, 611 personnes sont mortes à cause de la grippe la semaine dernière. L’impact de la maladie aggrave encore la saturation des hôpitaux.
Dans la Sarthe, la pollution de l’eau potable au chlorure de vinyle monomère, un « cancérigène certain », persiste bien qu'elle soit connue depuis plus de dix ans. Un collectif citoyen se démène pour faire agir l'État.
Chaque hiver, la mégapole de Delhi tousse à cause d’une pollution de l’air dangereuse. Le brûlis des pailles de riz par les agriculteurs n’est que l’une des causes d’un problème multifactoriel.
"PFAS : la dépollution éternelle" (2/4). Le premier épisode de l’enquête du Forever Lobbying Project a révélé le coût colossal de la dépollution des PFAS en Europe et en Belgique, l’arrêt de leur production étant la solution la plus abordable. Ce deuxième volet expose le lobbying d’une ampleur inédite mené par l’industrie chimique, jusqu’au sommet de l’exécutif européen, pour entraver un projet d’interdiction des "polluants éternels".
Les substances per- et polyfluoroalkylées, des produits chimiques de synthèse, sont très répandues dans notre vie quotidienne comme dans les usages industriels. Alors que leur grande résistance les rend quasi indestructibles dans l’environnement, où elles sont massivement rejetées, leur toxicité est de plus en plus documentée.
Nettoyer les eaux et sols européens des "polluants éternels" (PFAS) coûterait au moins 95 milliards d'euros sur 20 ans dans les conditions les plus favorables et la facture pourrait atteindre 2.000 milliards d'euros, selon une enquête de plusieurs médias coordonnée par Le Monde.
La Sierra Leone a déclaré lundi l'état d'urgence sanitaire contre le mpox, après la confirmation de deux cas dans le pays. La surveillance aux frontières et les capacités de test doivent être renforcées.
Pour éliminer les substances chimiques omniprésentes et toxiques pour la santé, les Européens pourraient devoir débourser jusqu’à 100 milliards d’euros par an, selon une enquête du «Monde» et de plusieurs médias publiées ce 14 janvier.
Le préfet de l’île, en proie à une reprise épidémique de «faible intensité», a annoncé lundi 13 janvier au soir le déclenchement du niveau 3 d’un dispositif de gestion de crise lié aux «arboviroses». 192 cas de la maladie ont été dénombrés
"PFAS : la dépollution éternelle" (1/4). Après avoir mis au jour l’ampleur de la contamination aux PFAS en Europe dans le cadre du Forever Pollution Project l’an passé, la deuxième saison de cette enquête collaborative européenne révèle aujourd’hui le coût faramineux de la dépollution infinie. Une facture annuelle à douze chiffres. A minima.
C’est un mot en 9 lettres qui fend le ciel bleu que la météo hivernale (certes froide) nous offre depuis quelques jours : "exécrable". On ne parle évidemment pas de la lumière, carburant essentiel de nos réserves en vitamine D, mais de ce qui ne se voit pas au premier coup d’œil : la qualité de l’air. Or, elle est "exécrable" donc dans les principales villes du pays.
D’après l’estimation conduite par « Le Monde » et ses partenaires, la France devra consacrer 12 milliards d’euros par an à l’élimination des polluants éternels si le TFA, très présent dans l’eau et qui ne fait encore l’objet d’aucune réglementation, doit être traité.
Deux lignages différents circulent actuellement, l’un véhiculé par les oiseaux sauvages, l’autre infectant les élevages laitiers aux Etats-Unis. L’enjeu est de savoir à quel point le virus évolue pour s’adapter aux humains alors qu’un patient américain vient de mourir.
En l’espace de quelques semaines, un virus mystérieux surgi en Chine aura mis le monde à l’arrêt dans une pandémie meurtrière. Si la crise est derrière nous, certains de ses répercussions et enseignements demeurent.
Le cinquième anniversaire du premier décès connu lié au virus Covid-19 est passé inaperçu en Chine samedi, sans commémoration officielle dans un pays où la pandémie demeure un sujet tabou.
A partir du 20 janvier, le perturbateur endocrinien ne doit plus entrer en contact avec des aliments en Europe. L’UE a mis dix ans pour s’aligner sur la position de la France, qui avait banni la molécule en 2015.


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