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"PFAS : la dépollution éternelle" (2/4). Le premier épisode de l’enquête du Forever Lobbying Project a révélé le coût colossal de la dépollution des PFAS en Europe et en Belgique, l’arrêt de leur production étant la solution la plus abordable. Ce deuxième volet expose le lobbying d’une ampleur inédite mené par l’industrie chimique, jusqu’au sommet de l’exécutif européen, pour entraver un projet d’interdiction des "polluants éternels".
Les substances per- et polyfluoroalkylées, des produits chimiques de synthèse, sont très répandues dans notre vie quotidienne comme dans les usages industriels. Alors que leur grande résistance les rend quasi indestructibles dans l’environnement, où elles sont massivement rejetées, leur toxicité est de plus en plus documentée.
Nettoyer les eaux et sols européens des "polluants éternels" (PFAS) coûterait au moins 95 milliards d'euros sur 20 ans dans les conditions les plus favorables et la facture pourrait atteindre 2.000 milliards d'euros, selon une enquête de plusieurs médias coordonnée par Le Monde.
La Sierra Leone a déclaré lundi l'état d'urgence sanitaire contre le mpox, après la confirmation de deux cas dans le pays. La surveillance aux frontières et les capacités de test doivent être renforcées.
Pour éliminer les substances chimiques omniprésentes et toxiques pour la santé, les Européens pourraient devoir débourser jusqu’à 100 milliards d’euros par an, selon une enquête du «Monde» et de plusieurs médias publiées ce 14 janvier.
Le préfet de l’île, en proie à une reprise épidémique de «faible intensité», a annoncé lundi 13 janvier au soir le déclenchement du niveau 3 d’un dispositif de gestion de crise lié aux «arboviroses». 192 cas de la maladie ont été dénombrés
"PFAS : la dépollution éternelle" (1/4). Après avoir mis au jour l’ampleur de la contamination aux PFAS en Europe dans le cadre du Forever Pollution Project l’an passé, la deuxième saison de cette enquête collaborative européenne révèle aujourd’hui le coût faramineux de la dépollution infinie. Une facture annuelle à douze chiffres. A minima.
C’est un mot en 9 lettres qui fend le ciel bleu que la météo hivernale (certes froide) nous offre depuis quelques jours : "exécrable". On ne parle évidemment pas de la lumière, carburant essentiel de nos réserves en vitamine D, mais de ce qui ne se voit pas au premier coup d’œil : la qualité de l’air. Or, elle est "exécrable" donc dans les principales villes du pays.
D’après l’estimation conduite par « Le Monde » et ses partenaires, la France devra consacrer 12 milliards d’euros par an à l’élimination des polluants éternels si le TFA, très présent dans l’eau et qui ne fait encore l’objet d’aucune réglementation, doit être traité.
Deux lignages différents circulent actuellement, l’un véhiculé par les oiseaux sauvages, l’autre infectant les élevages laitiers aux Etats-Unis. L’enjeu est de savoir à quel point le virus évolue pour s’adapter aux humains alors qu’un patient américain vient de mourir.
En l’espace de quelques semaines, un virus mystérieux surgi en Chine aura mis le monde à l’arrêt dans une pandémie meurtrière. Si la crise est derrière nous, certains de ses répercussions et enseignements demeurent.
Le cinquième anniversaire du premier décès connu lié au virus Covid-19 est passé inaperçu en Chine samedi, sans commémoration officielle dans un pays où la pandémie demeure un sujet tabou.
A partir du 20 janvier, le perturbateur endocrinien ne doit plus entrer en contact avec des aliments en Europe. L’UE a mis dix ans pour s’aligner sur la position de la France, qui avait banni la molécule en 2015.
Le ministère de la Santé a publié vendredi un premier recensement du nombre d’établissements ayant décidé de déprogrammer certaines opérations pour faire face à une épidémie de grippe plus virulente qu'à l'ordinaire.
Un consortium de chercheurs appelle à une réforme urgente des lois et à une restructuration de l’industrie chimique et plastique, accusée d’avoir trop longtemps sacrifié la santé publique, en particulier celle des enfants, au profit de ses gains économiques.
Luigi Mangione, 26 ans, est perçu comme un héros par un certain nombre d’Américains, car il a assassiné le PDG d’une grande compagnie d’assurance pour dénoncer la cupidité de celle-ci.
Chaque année la grippe et d’autres virus causent des vagues d’infections qui "peuvent mettre sous tension le système de soins au niveau des généralistes et des hôpitaux, et peuvent avoir un impact important sur la société en termes économiques ou d’absentéisme. C’est pourquoi une série de mesures sont prises, dont la protection par la vaccination des personnes plus âgées par exemple. On a tiré beaucoup de leçons et on a acquis de l’expérience de la période Covid. Mais on ne peut pas empêcher le fait que chaque année on sera confronté à ces épidémies", explique le docteur Emmanuel André, microbiologiste à l’hôpital universitaire UZ Leuven, interrogé sur La Première. C’est ainsi que, comme cela avait été mis en place lors de la crise Covid, chaque semaine un groupe d’experts surveille les infections respiratoires afin de donner des recommandations préventives dans les hôpitaux, par exemple.
Ce parasite mangeur de chair pond ses œufs dans les plaies ouvertes, les narines, les yeux et la bouche, et peut donner d'énormes souffrances.
Le malade, âgé de plus de 65 ans, était le premier cas grave humain détecté dans le pays, et souffrait d’autres pathologies. Il avait été contaminé par le virus H5N1 par des oiseaux de basse-cour et sauvages.
Un homme de 65 ans est mort début janvier après avoir contracté la souche H5N1 de la grippe aviaire en Louisiane. Les autorités sanitaires notent toutefois que la victime souffrait déjà d’autres maladies.