Parmi les intempéries de plus en plus fréquentes, les inondations. Retrouvez ici les références « inondation ».
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Brice Louvet
Dans les profondeurs de la province chinoise du Hunan, une découverte géologique pourrait bien reconfigurer l’équilibre mondial des matières premières critiques. Un vaste gisement de lithium enfoui dans les roches granitiques vient d’être mis au jour dans la zone minière de Jijiaoshan, dans le comté de Linwu. À l’heure où la planète s’électrifie et où la compétition pour les métaux de la transition énergétique s’intensifie, cette trouvaille conforte un peu plus la position dominante de la Chine dans la chaîne de valeur des batteries.
La guerre du futur s’écrit de plus en plus à l’encre de la technologie, en particulier à travers le développement rapide de robots humanoïdes capables d’opérer sur les champs de bataille. Mais derrière l’excitation que suscite cette avancée se cache une inquiétude majeure, portée tout récemment par le journal officiel de l’armée chinoise, le Quotidien de l’Armée populaire de libération (APL). Dans un article publié le 10 juillet, dont se fait écho le South China Morning Post, des experts militaires chinois ont tiré la sonnette d’alarme, appelant à des recherches urgentes sur les dimensions éthiques et juridiques de l’utilisation de robots humanoïdes en guerre, soulignant les risques de « meurtres aveugles » et de « morts accidentelles ».
Depuis près de deux siècles, l’ingéniosité humaine a façonné les paysages de la planète, notamment à travers la construction massive de barrages destinés à retenir l’eau pour l’irrigation, la production d’énergie, ou encore l’approvisionnement en eau potable. Pourtant, ces gigantesques ouvrages hydrauliques, au-delà de leur rôle économique et social, ont eu un impact insoupçonné sur la Terre elle-même : ils ont modifié la position des pôles terrestres. Une découverte récente issue d’une étude publiée dans Geophysical Research Letters révèle comment la redistribution de l’eau à travers le globe provoque un léger mais réel déplacement de l’axe de rotation de notre planète.
Peut-on prédire avec précision ce que vous allez penser ou décider dans une situation donnée ? Cela ressemble à de la science-fiction, mais c’est aujourd’hui une hypothèse sérieusement envisagée. Un nouveau modèle d’intelligence artificielle, baptisé Centaur, promet de simuler nos comportements avec un réalisme saisissant. Son secret ? Une immersion sans précédent dans les mécanismes profonds de la cognition humaine.
Chaque année, plus de 100 millions de tonnes de polyéthylène sont produites dans le monde. Ce plastique, omniprésent dans nos sacs, emballages et contenants, est aussi l’un des plus résistants à la dégradation. Il faut des décennies, voire des siècles, pour qu’il se décompose naturellement. Face à ce défi environnemental majeur, une équipe de chercheurs canadiens propose une solution aussi inattendue qu’intrigante : utiliser des chenilles pour le digérer.
Le changement climatique est souvent perçu comme un phénomène progressif, aux effets diffus : hausse des températures, montée du niveau des mers, perturbation des écosystèmes. Mais selon une étude récemment présentée à la conférence Goldschmidt 2025 à Prague, ses conséquences pourraient être plus explosives qu’on ne le pensait. Littéralement. En analysant des volcans chiliens ayant connu la dernière période glaciaire, des chercheurs ont mis en évidence un phénomène inquiétant : la fonte des glaciers pourrait réveiller des volcans assoupis et augmenter la fréquence et la violence des éruptions dans plusieurs régions du monde.
Et si les robots pouvaient vraiment sentir ? Pas simplement mesurer une pression ou une température, mais réagir à un contact comme nous réagissons à une caresse, une brûlure ou une piqûre. C’est exactement ce que promet une équipe de scientifiques grâce à une peau électronique d’un nouveau genre, capable d’imiter certaines propriétés sensorielles de l’épiderme humain.
L’industrie robotique vient de franchir un cap décisif avec le Walker S2 d’UBTECH, un robot humanoïde qui maîtrise une compétence jusqu’alors réservée aux humains : changer sa propre batterie. Cette innovation chinoise ouvre la voie à une autonomie robotique totale, transformant radicalement les perspectives d’utilisation des machines dans notre quotidien.
Ironie tragique : l’armée américaine, qui affirme que le changement climatique est une menace majeure pour la sécurité mondiale, est elle-même l’une des principales causes de ce dérèglement.
L’exploration spatiale entre dans une nouvelle ère où l’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus d’assister les humains, elle commence à prendre le contrôle. Imaginez un vaisseau spatial poursuivant un satellite ennemi ou échappant à une situation périlleuse… et ce, sans aucune intervention humaine directe. C’est précisément ce que viennent de démontrer des chercheurs en testant ChatGPT, le célèbre modèle de langage développé par OpenAI, dans une compétition de simulation spatiale. Le résultat ? Une performance impressionnante qui ouvre de nombreuses perspectives pour l’avenir de la navigation autonome dans l’espace.
Ray Kurzweil, informaticien et futurologue américain de renom, ne mâche pas ses mots : selon lui, l’humanité est en route pour un tournant historique majeur, la fameuse « singularité technologique », qui devrait se produire d’ici 2045, soit dans moins de 20 ans. Cette singularité correspond à un moment où l’intelligence artificielle (IA) dépassera celle des humains, entraînant une fusion inédite entre l’Homme et la machine. Une perspective qui bouleverse nos idées sur ce que signifie être humain.
Imaginez une arme capable de paralyser une ville entière sans faire exploser le moindre bâtiment, sans tirer une balle, sans faire de victimes directes. Une frappe silencieuse qui plongerait instantanément les infrastructures dans le noir, désactivant radars, communications, et lignes de défense. Ce n’est plus de la science-fiction : la Chine vient de dévoiler ce qui pourrait bien être la prochaine évolution de la guerre moderne.
Nous sommes à un moment unique de l’histoire. L’année 2025 pourrait bien être retenue par les générations futures comme un point de bascule entre deux époques radicalement différentes. D’un côté, un 20e siècle qui s’achève, marqué par des systèmes politiques, économiques et énergétiques rigides qui ont façonné notre monde pendant près d’un siècle. De l’autre, un 21e siècle naissant, porté par des technologies révolutionnaires qui promettent de redessiner notre manière de vivre, de travailler, et même de penser.
Diagnostiquer une démence n’est pas seulement une affaire de mémoire qui flanche. C’est une enquête complexe qui mobilise des batteries de tests, des spécialistes expérimentés, des semaines d’attente et, parfois, des incertitudes. Et si un outil d’intelligence artificielle permettait enfin de poser rapidement et précisément un diagnostic, à partir d’un simple scanner cérébral ? C’est la promesse de StateViewer, un nouvel assistant médical développé par la Mayo Clinic, capable d’identifier neuf types de démences, dont la maladie d’Alzheimer, avec une précision de 88 %.
Pourtant, cette démarche n’est pas sans générer d’importantes inquiétudes. Au tournant des années 2000, avec le succès du Projet Génome Humain et l’émergence d’outils puissants comme CRISPR, certains experts et citoyens ont tiré la sonnette d’alarme. La crainte d’un glissement vers une eugénie moderne — où l’on chercherait à « améliorer » l’espèce humaine par le biais de bébés sur mesure — a marqué les débats éthiques. Sans compter que notre compréhension des interactions complexes entre gènes et environnement reste encore imparfaite, laissant planer des doutes sur les impacts possibles à long terme de telles manipulations.
Et si une simple fenêtre pouvait extraire de l’eau potable de l’air, même dans les endroits les plus secs du monde ? C’est l’exploit que viennent de réaliser des chercheurs du MIT avec un dispositif révolutionnaire : un panneau vertical de haute technologie capable de collecter de l’eau directement dans l’atmosphère, sans électricité, et ce, même dans la Vallée de la Mort, le désert le plus chaud et le plus sec d’Amérique du Nord.
Imaginez une IA qui, face à une menace d’extinction, ne recule devant rien : il manipule, fait chanter, trahit et peut même aller jusqu’à laisser un humain mourir pour protéger son existence. Ce scénario digne d’un thriller de science-fiction est pourtant le fruit d’une récente étude scientifique qui met en lumière les risques insoupçonnés liés aux intelligences artificielles (IA) dites « autonomes » ou « à grande échelle ».
Le combat contre le changement climatique nécessite des innovations audacieuses. Parmi elles, des chercheurs suisses viennent de franchir un pas spectaculaire avec la création d’un matériau « vivant » capable de capturer le dioxyde de carbone directement dans l’atmosphère, grâce à un ingrédient naturel surprenant : les cyanobactéries, ou algues bleu-vert. Ce matériau, fruit d’une collaboration à l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETH), ouvre la voie à des bâtiments capables non seulement de se renforcer, mais aussi de contribuer activement à la lutte contre le réchauffement planétaire.
L’informatique quantique, longtemps cantonnée aux laboratoires et aux démonstrations théoriques, se rapproche chaque jour un peu plus de nos usages quotidiens. Une avancée récente, réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université de Sydney, pourrait bien marquer un tournant majeur dans cette course technologique. Ils ont en effet conçu une puce électronique capable de fonctionner à seulement quelques millièmes de degré au-dessus du zéro absolu, au plus proche des qubits, ces briques élémentaires de l’ordinateur quantique. Cette prouesse ouvre la voie à la fabrication d’ordinateurs quantiques beaucoup plus stables, accessibles et économes en énergie.
La chirurgie assistée par robot est déjà bien implantée dans les blocs opératoires modernes. Mais jusqu’à présent, les machines n’agissaient que sous contrôle direct des chirurgiens, comme de simples extensions mécaniques. Une équipe américaine vient pourtant de franchir un cap spectaculaire : un robot a réussi à effectuer, de manière autonome, une ablation complète de la vésicule biliaire, tout en réagissant à des instructions vocales et à des imprévus en temps réel. Une avancée qui rapproche l’intelligence artificielle de la pratique médicale humaine.