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2025
Le capitaine du Solong, le porte-conteneurs qui a percuté un pétrolier lundi en mer du Nord, est de nationalité russe, selon l'entreprise propriétaire du cargo. L'homme de 59 ans, soupçonné d'"homicide involontaire par négligence grave" après la mort d'un membre d'équipage dans la collision, était toujours en garde à vue mercredi matin.
Mer du Nord : une catastrophe écologique majeure après la collision entre un pétrolier et un cargo ?
- France24,
L'incendie déclenché par la collision entre un cargo et un pétrolier en mer du Nord, lundi 10 mars, au large de l'Angleterre, est toujours en cours mardi matin, alors que l'incident fait redouter une catastrophe écologique majeure et suscite de nombreuses questions.
Mer d’alors. Deux navires géants se sont percutés au large des côtes anglaises, lundi matin. L’incendie est toujours en cours, mardi 11 mars, mais les recherches des personnes disparues ont cessé. Les associations et les autorités britanniques craignent d’énormes dégâts environnementaux.
Un hélicoptère, un avion, des navires et des canots de sauvetage ont été mobilisés pour gérer la situation.
L’incident, qui a eu lieu au large de l’Angleterre, a fait 32 blessés. Des explosions ont eu lieu sur le pétrolier, selon son propriétaire, et l’opérateur du bateau fait état de « signalements selon lesquels des hydrocarbures s’échappent ».
Un choc entre le pétrolier américain “Stena Immaculate” et le porte-conteneurs portugais “Solong” a eu lieu ce lundi 10 mars, au large de la ville anglaise de Hull, en milieu de matinée. Les circonstances précises de l’accident ne sont pas encore connues. Une intervention d’urgence des secours est toujours en cours.
Le choc, ce lundi 10 mars près des côtes nord-est de l’Angleterre, a fait 32 blessés tandis qu’un marin est porté disparu, et suscite des craintes quant aux dommages environnementaux.
Tandis que des dizaines de milliers de personnes ont rejoint des groupes sur Facebook en Suède ou au Danemark, appelant à ne plus acheter américain, la société norvégienne Haltbakk Bunkers a annoncé qu’elle ne livrerait plus les navires militaires américains en fuel.
Un parc éolien de fabrication chinoise prévu en Mer du Nord soulève des risques en matière de sécurité, notamment d'espionnage, jugés "très sérieux", a affirmé lundi le gouvernement allemand.L'Institut de défense et de stratégie (GIDS), affilié à l'armée allemande, estime que les 16 éoliennes prévues près de Borkum présentent des risques allant de l'influence politique, l'espionnage via des capteurs, l'accès aux protocoles de sécurité des infrastructures critiques jusqu'à la perturbation de l'approvisionnement énergétique, selon une évaluation publiée dans la presse allemande.
Un tribunal écossais a donné raison jeudi à Greenpeace et l’association Uplift. L’autorité chargée du gaz et du pétrole sera chargée d’examiner les nouvelles demandes d’exploitation de Shell et Equinor.
"Débarrassez-vous des éoliennes", a-t-il déclaré sur son réseau social Truth.
2024
Dix ans après la découverte de milliers d’oiseaux marins morts sur les plages du Pacifique Nord, des biologistes révèlent l’origine de cette extinction de masse, la plus importante jamais observée.
Infecté par la grippe aviaire, un adolescent canadien est dans un état grave. La transmission du virus aux humains s'accélère sur le continent. Mais les autorités et les firmes agroalimentaires minimisent le danger.
Un adolescent au Canada et un enfant en Californie sont tombés malades sans que l’on sache comment, après une première personne dans le Missouri. Les épidémiologistes redoutent une circulation à bas bruit du virus qui est à l’origine d’une épizootie parmi les vaches laitières aux Etats-Unis.
Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, les incidents suspects se sont multipliés dans le pourtour de la mer Baltique et de la mer du Nord. «Libé» fait le point sur les diverses stratégies de «la guerre hybride».
Sur un chantier naval de la mer du Nord, des ouvriers s'affairent au pied de blocs de béton de la taille d'un immeuble. La Belgique se targue de construire la "première île artificielle au monde" d'énergies renouvelables, un projet pharaonique dont l'explosion des coûts fait grincer des dents.
Après les inondations survenues fin juillet, le pays craint que de nouvelles pluies et des températures supérieures à la moyenne menacent la production agricole. Pyongyang est par ailleurs rétif à accepter toute aide extérieure, notamment celle du frère ennemi du Sud.
Cela fait quelques années qu’une problématique se profile en catimini : de plus en plus de plateformes pétrolières arrivent en fin de vie, leurs puits se tarissant. Face au nombre grandissant de chancres industriels perdus en pleine mer du Nord, les géants du secteur doivent depuis trouver des solutions pour démanteler ces exploitations gigantesques. Lesquelles ? Zoom sur cet enjeu écologique massif.
À quel point le changement climatique affecte-t-il l’état de la mer du Nord? Quelles sont les transformations à prévoir dans les prochaines années ? Des experts belges dressent déjà certains constats.
Trois consortiums, comprenant plusieurs entreprises belges, se sont vus attribuer les contrats relatifs aux parties en courant alternatif (HVAC/High Voltage Alternating Current) de la future Île Princesse Elisabeth, a annoncé mercredi Elia, le gestionnaire du réseau haute tension, qui salue "une étape importante pour la réalisation" de l’île artificielle. Ces contrats portent sur un montant total d’1,452 milliards d’euros.