« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
A Tokyo, la nouvelle première ministre japonaise, Sanae Takaichi, a déclaré vouloir ouvrir « un nouvel âge d’or » des relations nippo-américaines lors de la visite de Donald Trump alors que les deux pays ont scellé une alliance pour lutter contre la domination chinoise sur les terres rares.
Automobile, défense, aérospatial, énergie, chimie… toutes les filières technologiques occidentales s’alarment des nouvelles restrictions imposées par Pékin à l’exportation de ces minerais stratégiques.
Grâce à ce projet, mais aussi à son partenariat signé avec les Etats-Unis, ce grand pays producteur de métaux critiques cherche à développer une capacité souveraine de traitement des minerais.
Les Pays-Bas prennent le contrôle de l’un des principaux fabricants de semi-conducteurs européens, Nexperia, détenu par un groupe chinois. C’est tout à fait exceptionnel.
Alors que la Chine a arrêté ses achats de soja aux Etats-Unis, le président américain brandit la menace d’un embargo sur l’huile de cuisson, attisant un peu plus encore les tensions économiques entre Washington et Pékin.
Et si les machines pouvaient raisonner avec l’efficacité du cerveau humain, tout en consommant une fraction de l’énergie nécessaire aux géants actuels de l’intelligence artificielle ? C’est le pari audacieux d’une équipe de chercheurs de l’Académie chinoise des sciences, à Pékin, qui vient de présenter SpikingBrain 1.0, un modèle de langage de nouvelle génération. Inspiré du fonctionnement neuronal, ce système pourrait bouleverser notre manière de concevoir l’IA, en alliant rapidité, sobriété énergétique et indépendance technologique.
Ce jour-là, la colère gronde dans le village de Riew. Au pied de l'Himalaya, les habitants dénoncent un projet de méga-barrage qui menace leur vallée, nouvelle manoeuvre de l'Inde pour disputer la maîtrise de l'eau à la Chine. "Nous nous battrons jusqu'à la fin des temps s'il le faut, mais nous ne laisserons personne construire un barrage sur notre fleuve", lance l'ancien chef de la tribu locale, Tapir Jamoh. Pour ceux qui douteraient de sa détermination, il bande son arc et fait mine de décocher une flèche trempée, dit-il, dans les herbes empoisonnées qui poussent sur les rives du Siang. Son village est l'un des trois sites retenus dans la région pour installer un énorme barrage hydroélectrique sur le puissant fleuve qui s'écoule des plus hauts glaciers du monde. Le projet est énorme, à la mesure de l'âpre guerre de l'eau que se livrent l'Inde et la Chine.
Les tensions avec la Russie ont poussé la Pologne a fermé le principal point d'entrée ferroviaire en Europe pour les marchandises chinoises.
Le LY-1 a été dévoilé lors de la parade militaire chinoise célébrant la victoire contre le Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale il y a 80 ans.
Cet été ont débuté les travaux préparatoires d’un très grand aménagement hydroélectrique chinois au Tibet, avec une cérémonie d’inauguration organisée à cette occasion mi-juillet. Ce projet inclut cinq usines hydroélectriques entre la ville de Lingzhi (altitude 2 900 m) et la ville de Medog (altitude 700 mètres), avec une puissance attendue d’environ 60 GW. Soit approximativement la capacité installée de l’ensemble du parc nucléaire français. Que sait-on aujourd’hui de ce projet titanesque(1) ?



