« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
filtre:
catastrophe
2025
A la fin du mois d’octobre 2024, des pluies torrentielles s’étaient abattues sur la région provoquant la pire catastrophe du genre en plusieurs décennies.
Présenté par l’État comme «essentiel» à la transition énergétique, le projet d’interconnexion électrique entre la France et l’Espagne se heurte à la colère d’habitant·es des Landes. Là-bas, la situation est tendue entre RTE, à l’initiative du chantier, et Stop THT 40, un collectif local qui y est opposé. Vert s’est rendu sur place.
Le discours européen sur la sécurité trahit le fait que nos dirigeants politiques ne prennent pas la menace existentielle du dérèglement climatique au sérieux. Les préoccupations liées à la guerre dominent, tandis que l'action climatique est sapée.
Le sous-marin russe Novorossiisk est en grande difficulté dans l'Atlantique à cause de "graves problèmes techniques".
La mesure a été annoncée ce samedi par le ministre de l’Intérieur démissionnaire pour 127 villes et village du sud-est et de l’ouest de la France, après les intempéries qui ont fait un mort en Bretagne en début de semaine.
Il avait prédit le krach de 1990. Il avait prédit le krach de 2008. Aujourd’hui, l’économiste Fred Harrison avertit que le prochain effondrement aura lieu en 2025 — et cette fois, il pourrait être encore plus grave.
Convaincus que l’émergence potentielle d’une superintelligence artificielle mènerait l’humanité à la catastrophe, les « doomers » et leurs alliés, minoritaires dans le secteur de l’IA, veulent se faire entendre.
En Europe, les catastrophes naturelles de cet été ont coûté 43 milliards d’euros
Visiblement, les conséquences de la catastrophe nucléaire de Fukushima (Japon) de 2011 sont plus que jamais présentes. Il y a peu, une vaste enquête menée par un grand média étasunien a révélé une explosion des cas de cancer de la thyroïde. Néanmoins, la position des autorités est largement critiquée au sein de la population.
L’effondrement de ce qu’on appelle communément le Gulf Stream – le vaste courant océanique atlantique connu des scientifiques sous le nom de circulation méridionale de retournement atlantique (AMOC) – porterait un coup fatal à la civilisation telle que nous la connaissons. Parfois surnommée « le chauffage central de l’Europe », l’AMOC explique pourquoi la Grande-Bretagne, la France, les Pays-Bas et leurs voisins du nord bénéficient d’hivers relativement doux, malgré leur latitude élevée.



