« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Columbia, Brown, Harvard, UCLA et d’autres institutions ont choisi de négocier pour récupérer des fonds gelés par l’Etat fédéral, qui cherche aussi à avoir un droit de regard sur la façon dont ces universités choisissent leurs élèves.
« Un paiement de cette ampleur détruirait complètement le meilleur système universitaire public du pays », a prévenu le président de UCLA, en réponse à cette nouvelle offensive de la Maison Blanche contre l’enseignement supérieur.
Les recteurs et rectrices des dix universités belges appellent samedi, dans une déclaration commune, le gouvernement fédéral à agir face à "la violence et à la déshumanisation" en cours dans les territoires palestiniens occupés. "Nous ne pouvons rester silencieux face aux conditions inhumaines et à la grave crise humanitaire à Gaza", affirment-ils, alors que le conflit a engendré plus de 60.000 morts palestiniens.
Le bras de fer s’est déplacé lundi au tribunal fédéral du Massachusetts. L’université dénonce une offensive politique sans précédent de Donald Trump, l’accusant de vouloir contrôler l’autonomie des universités américaines.
Au total, 300 personnes avaient fait acte de candidature, s’estimant menacées dans leur liberté académique par la politique de Donald Trump.
Des milliers de formulaires de candidature ont été dérobés. Parmi eux : le dossier de l’actuel prétendant démocrate à la mairie de New York, qui a été transmis à des médias.
Pour le professeur à Audencia Business School Bertrand Venard, l’université prestigieuse se dresse contre Trump comme un sanctuaire de la pensée et de la liberté académique : le symbole planétaire d’une conscience collective inquiète, lucide, apeurée peut-être, mais résolue.
Hevige regenbuien in de zomer worden een stuk frequenter en intenser in de Alpen, waarschuwt de Universiteit van Lausanne.
La pression était trop forte. Le président de l’université de Virginie, dans l’est des Etats-Unis, a annoncé sa démission, vendredi 27 juin, alors qu’il doit faire face à l’ouverture d’une enquête par l’Etat fédéral sur les pratiques du campus pour favoriser la diversité. « Je suis disposé à me battre pour mes convictions et je crois profondément en cette université », a déclaré, dans un communiqué, James Ryan, qui dirige l’établissement depuis 2018. « Mais je ne peux pas décider unilatéralement de lutter contre le gouvernement fédéral pour sauver mon emploi », a-t-il ajouté pour expliquer sa décision.
Dans le cadre de son programme d’accueil lancé face à la remise en cause de la liberté académique aux Etats-Unis, l’université française a reçu près de 300 candidatures, pour vingt places. Elle a commencé à accueillir jeudi les premiers universitaires américains.