2025
Dès 2021, dans une allocution à la conférence du conservatisme national qui se tient à Orlando, l’actuel vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance identifiait l’ennemi qu’il y aura lieu de combattre lorsque le pouvoir aura été repris : les universités.
Ire réelle. Donald Trump a toujours eu un rapport pour le moins problématique avec les mots et leur sens originel. Depuis son retour à la Maison-Blanche, celui qui jette ses «fake news» et autres «faits alternatifs» à la face de ses adversaires, a entrepris une destruction de plus en plus méthodique du langage et des réalités qu’il décrit. Florilège et analyse de cette fascisation de la langue.
L’intellectuel américain, qui a notamment travaillé sur la science nazie, voit dans l’attaque de l’administration Trump contre le monde de la recherche une manifestation du nationalisme chrétien.
Ces dernières trente-six heures, la qualité de l’air a atteint des seuils inquiétants en Belgique, surtout à Bruxelles et en Flandre. Les conditions météorologiques actuelles, couplées aux activités humaines polluantes, favorisent la concentration de particules fines. Avec des risques non-négligeables sur la santé.
Un certain nombre de propriétaires de voitures électriques Tesla semblent actuellement dépités des polémiques à répétition autour d’Elon Musk… Ils ont l’impression d’être passés de « bobos écolos à fachos »… Mais ils croyaient quoi exactement? Ils pensaient peut-être qu’ils étaient en train de sauver la planète?
Climate change will fuel contests—and maybe wars—for land and resources.
Et si, demain, les pays n’existaient plus ? Si les États-nations, ces piliers de l’organisation politique moderne, cessaient d’exister, non pas sous l’effet d’une guerre ou d’un effondrement brutal, mais par une dissolution méthodique, orchestrée par les forces mêmes qui, autrefois, prospéraient en leur sein ? Et si, au lieu de 200 pays aux frontières bien définies, nous vivions dans un monde morcelé en milliers de micro-juridictions privées, chacune régie non plus par des lois communes, mais par les intérêts d’une poignée de grandes fortunes et d’entreprises multinationales ? Ce scénario n’est pas une pure fiction, mais bien une vision du monde portée par une frange influente de penseurs libertariens, investisseurs et entrepreneurs de la Silicon Valley. Des figures comme Peter Thiel, cofondateur de PayPal et idéologue du techno-libertarianisme, considèrent que les États-nations, avec leurs institutions démocratiques et leurs régulations, sont des entraves à l’innovation et à la liberté économique. Selon eux,
Un enfant non vacciné est mort à la fin de février au Texas – premier décès en dix ans causé par la rougeole –, alors que cette maladie, hautement contagieuse, se propage dans le sud-ouest du pays.
Le CFPB, agence de protection financière des consommateurs mise en place aux Etats-Unis après la grande crise de 2008, a été particulièrement ciblé. Tout travail y a été gelé par son nouveau directeur, nommé par le président américain. Et ce n’est qu’un début.
Les oligarques libertariens de la Silicon Valley soutenant Trump rêvent de territoires affranchis de taxes, de réglementations, de redistribution et de solidarité, explique Marie Charrel, journaliste au « Monde », dans sa chronique.