Jean-Pascal Van Ypersele

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ASN

2025

"Deux indications" de corrosion sous contrainte ont été détectées sur le réacteur nucléaire n°2 de la centrale de Civaux (Vienne), plus de trois ans après la découverte de ce phénomène qui avait plongé le groupe EDF dans une crise industrielle majeure, ont indiqué mardi l'entreprise et l'autorité de sûreté nucléaire (ASNR). "Une expertise est cours sur des tuyauteries", a déclaré le groupe à l'AFP, confirmant des informations du journal La Tribune. Cette analyse est conduite conformément "au programme de contrôles 2025 mené dans le cadre de la stratégie du traitement de la corrosion sous contrainte", précise-t-il.
Krasnov serait le pseudonyme donné à D. Trump par le KGB. L'affirmation d'un ancien agent soviétique met les médias sociaux en ébullition. Euroverify mène l'enquête.
A Facebook post by an ex-KGB agent claiming that Donald Trump was recruited by Moscow in 1987 under the code name "Krasnov" has sent social media into a spin. What's the story behind the claim? Euroverify investigates.
Wobec zapowiedzi administracji Donalda Trumpa, że warto postawić na reset relacji z Rosją, przypominane są kontakty obecnego prezydenta USA z ludźmi Kremla w przeszłości. W ten sposób nową odsłonę zyskał przekaz, jakoby w latach 80. Trump miał zostać zwerbowany przez radzieckie KGB. Wyjaśniamy, ile w tym prawdy.
Près de 50 "événements significatifs de sureté" ont été signalés depuis la mise en route par EDF début mai du réacteur nucléaire de nouvelle génération EPR de Flamanville, des anomalies sans conséquence sur les personnes et l'environnement, a indiqué mardi l'autorité de sûreté nucléaire

2024

L'arrêt automatique du réacteur EPR de Flamanville peu après son démarrage fait suite à "une erreur humaine" dans la configuration de systèmes électroniques, le mode opératoire n'ayant "pas été strictement respecté", a expliqué jeudi l'autorité de sûreté nucléaire (ASN) à l'AFP.
Le chargement du combustible du réacteur EPR de Flamanville d'EDF, un chantier marqué par des déboires à répétition, est repoussé à mi-avril au moins au lieu du 31 mars comme initialement prévu par le groupe électricien, a indiqué mardi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
La réforme de la sûreté nucléaire fait l'objet de nouveaux débats qui s'annoncent survoltés lundi à l'Assemblée nationale, où le gouvernement a appelé les députés à rétablir un article-clé de son projet controversé de fusion entre l'ASN, gendarme du nucléaire, et l'IRSN, expert technique du secteur.L'examen du projet de loi a démarré en fin de journée dans l'hémicycle. Avec d'emblée pour l'exécutif un obstacle de taille à franchir : une "motion de rejet" de l'ensemble du texte, déposée par le groupe indépendant Liot (Liberté, Indépendants, Outre-Mer et Territoires).
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a indiqué jeudi avoir reçu dix porteurs de projets de mini-réacteurs nucléaires (PRM) à des stades de maturité divers, dont un est déjà dans les starting-blocks pour déposer d'ici fin mars une première demande d'autorisation.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a demandé à EDF de mettre en place un "plan d'action" pour lutter contre les risques de "fraudes" dans la filière nucléaire, a-t-elle indiqué mardi.Lors de ses voeux à la presse le 30 janvier, le président de l'ASN Bernard Doroszczuk avait fait état de 43 cas de "fraudes" ou "contrefaçons" dans la filière nucléaire signalés à son administration. Il avait fait part de sa crainte de voir ce risque se développer sur fond de relance de l'atome en France.