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l’eau
Plus de 2 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à une eau potable gérée en toute sécurité, déplorent mardi les Nations unies dans un rapport.
A Donetsk et dans une partie du Donbass occupé par la Russie depuis 2014, les habitants souffrent d’une pénurie menaçant de dégénérer en catastrophe humanitaire.
Alors que la Méditerranée enregistre des températures bien au-dessus des normales saisonnières, les vagues de chaleur marine deviennent de plus en plus fréquentes. Le chercheur en écologie marine Thierry Perez alerte sur les conséquences dévastatrices de ce phénomène sur les écosystèmes.
Dans l'est de l'Ukraine, les habitants de la région de Donetsk, occupée par la Russie, sont confrontés à une grave crise de l'eau, à l'origine de pénuries qui rendent difficiles les conditions de vie. Une situation qui, selon les experts, résulte de l'occupation russe, de la mauvaise gestion qui en a découlé et des destructions causées par la guerre.
Alors que la majorité des rivières du département souffrent de la sécheresse, la fédération de pêche locale se mobilise depuis mi-juin pour éviter la mort de certaines espèces. Plus de 20 opérations de sauvetage ont déjà été menées.
Alors que l’Organisation des Nations unies a reconnu l’accès à l’eau comme droit humain fondamental en 2010, Simon Porcher, professeur en sciences de gestion, plaide, dans une tribune au « Monde », pour un traité global contraignant qui rendrait ce droit réellement effectif.
Dans les différentes «sierras» du pays, des collectifs d’irrigateurs, éleveurs ou agriculteurs, utilisent d’anciens canaux creusés dans la terre pour retenir l’eau de pluie et lutter contre les effets du réchauffement climatique.
Le ministère de la Transition écologique a publié le 31 juillet une carte de ces composantes toxiques.
La publication permet notamment d’accéder à une carte de surveillance des PFAS dans les eaux souterraines, de surface ou distribuées au robinet, ainsi que dans les sites industriels.
Neuf agriculteurs condamnés pour utilisation de mégabassines illégales, plusieurs ouvrages vandalisés au cutter, des journalistes et un militant écologiste agressés… La question du partage de l’eau a généré trois nouveaux épisodes conflictuels au mois de juillet dans le département.
Un seul dossier ce jeudi à l’ordre du jour de la Commission de la santé, de l’environnement et de l’action sociale du Parlement de Wallonie : la contamination de l’eau de distribution à la station de captage de Ramillies. Pendant plus de cinq heures, le ministre wallon de la Santé et de l’Environnement, Yves Coppieters, ainsi que les responsables du SPW Agriculture, Ressources naturelles et Environnement et de la SWDE ont répondu aux très nombreuses questions des parlementaires.
Des taux de « polluants éternels » supérieurs à la limite légale, de 100 nanogrammes par litre, ont été relevés. La durée de cette interdiction, qui concerne 2 800 habitants, n’a pas été précisée.
Dans les Deux-Sèvres, la Coopérative de l’eau qui gère les mégabassines est en difficulté financière. Les coûts de ces ouvrages ont explosé, alors que s’accumulent les jugements défavorables et les ras-le-bol d’agriculteurs.
Des restrictions sont également en vigueur dans l’ensemble du département voisin du Nord, placé en vigilance renforcée la semaine dernière.
La pollution pourrait être due à l’épandage de boues papetières sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d’eau potable, selon la préfecture de la Meuse.
Selon France 3 et le média Disclose, seize communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes sont concernés, après qu’elles ont présenté des taux de PFAS dépassant de 3 à 27 fois la limite autorisée. Le maximum a été prélevé à Villy, avec 2 729 ng /l. Un record en France.
Sur la commune de Durbuy, l’eau de distribution n’est plus potable sur une partie du réseau de Barvaux. Une pollution bactérienne a été détectée dimanche. Plusieurs analyses ont été réalisées ainsi que des purges. La situation devrait se normaliser d’ici la fin de la journée. En attendant, une distribution de bouteilles d’eau est organisée à 14 heures dans le parc communal de Barvaux.l’hypothèse la plus probable, et c’est quasiment certain, c’est la contamination du réseau de distribution par de l’eau de pluie via le raccordement d’un circuit d’eau de pluie au réseau de distribution"
Des centaines de milliers de personnes ont été exposées pendant plus de quarante ans à une contamination de l’eau potable par les polluants éternels dans le nord-est de l’Italie.
Toujours plus de besoins et toujours moins de disponibilité. Dans une note, l’organisme de réflexion prospective met en évidence les conflits à venir entre les différents usages de l’eau en France, sous l’effet du réchauffement climatique, et recommande de revoir notamment les pratiques agricoles.
L’usage de ce pesticide néonicotinoïde est autorisé dans le pays, notamment en traitement dans la culture du riz et des monocultures de pins.
La principale compagnie de distribution du pays s’est vu infliger une amende de près de 150 millions d’euros par le régulateur de l’eau.
Cise Réunion, filiale du groupe SAUR et titulaire de contrats avec plusieurs communes, a distribué entre 2016 et 2022 sur plusieurs de ses réseaux de l’eau impropre à la consommation. La justice lui a imposé mardi d’indemniser plus de 89 000 personnes.
Plus d’une zone de distribution sur quatre en Wallonie et à Bruxelles ne répond pas aux limites de qualités fixées en France et au Danemark. C’est ce qui ressort d’une enquête des cellules #Investigation et Décrypte de la RTBF qui ont parcouru l’ensemble des analyses réalisées par les distributeurs d’eau en 2024. En cause, des résidus de pesticides.
Soucieuse de réduire le nombre de morts dus chaque été à l’intensification des périodes caniculaires, la métropole de Tokyo va exonérer les habitants de la capitale japonaise d’une partie de leur facture d’eau.
Les nouvelles réglementations sont considérées comme un « énorme pas en arrière », selon l’ONG Environmental Working Group.
Même si les limites maximales permises ne sont pas dépassées, les scientifiques craignent les effets cumulatifs de ces polluants sur la santé humaine.
L’Orne fait rarement parler de lui. Pourtant, plusieurs communes de ce département doivent actuellement lutter contre une contamination de l’eau potable par le CVM (chlorure de vinyle monomère), un gaz cancérogène pour l’humain qui se niche dans des canalisations. Vert s’est rendu dans une commune affectée par cette pollution invisible.
Le chlorure de vinyle monomère (CVM), une substance gazeuse cancérogène, contamine depuis des années l’eau potable transportée dans des canalisations en PVC vieillissantes. En collectant les données des différentes sources disponibles, Vert a identifié plus de 5 500 communes concernées et réalisé la première carte de France en la matière.
L’Inde a décidé de "suspendre" sa participation au traité sur les eaux de l’Indus après l’attentat au Cachemire de mardi, qui a fait 26 victimes civiles. Cette annonce a entraîné une très vive réaction d’Islamabad, qui évoque un potentiel "acte de guerre". Comment un traité autour d’un fleuve peut-il rendre si explosives les relations entre les deux voisins ?
La préfecture du Haut-Rhin a pris cet arrêté en raison d’une pollution liée à l’usage passé de mousse anti-incendie contenant des polluants éternels à l’aéroport de Bâle-Mulhouse.
Que quatre millions de Francilien·nes puissent boire de l’eau sans PFAS, ni micropolluants. C’est le rêve du Syndicat des eaux d’Île-de-France, qui teste une stratégie de pointe pour les filtrer. Une technique efficace mais énergivore, qui entraîne des rejets polluants dans la nature.
Bruxelles reproche à la France d’exposer la population à un « danger potentiel pour la santé » en ne respectant pas les seuils maximaux sur les nitrates dans 107 unités de distribution d’eau potable réparties dans sept régions. La Commission a saisi la Cour de justice de l’Union européenne.
D’après les informations de la cellule investigation de Radio France, de nouvelles contaminations bactériologiques mettent à mal le label «eau minérale naturelle» de la marque de Nestlé, ce qui pourrait signer sa disparition.
Jusqu’où iront les futures routes de l’hydrogène ? Notre pays avait mis au point des plans très ambitieux en la matière mais le nouveau gouvernement fédéral, à la recherche d’économies, est en train de revoir sa copie. Voilà qui ne fait pas forcément plaisir aux industriels concernés, particulièrement en Wallonie.
Après une enquête menée par UFC-Que choisir et Générations futures qui révélait la présence de polluants éternels dans l’eau potable de la capitale, la régie lance une action en justice ce vendredi 28 mars pour que les responsables prennent en charge le surcoût de la décontamination. [...] La régie municipale chargée de l’eau à Paris a porté plainte contre X ce vendredi 28 mars pour pollution de son réseau d’eau potable aux polluants éternels (ou PFAS) afin d’établir l’origine de cette contamination et faire appliquer le principe de «pollueur-payeur».
Lundi 17 mars, pour la première fois depuis plus de cinquante ans, le gouvernement des Etats-Unis a refusé d’envoyer de l’eau du Rio Colorado à Tijuana, une ville de près de 2 millions d’habitants qui souffre de graves pénuries durant la saison sèche. Le motif, selon Brooke Rollins, secrétaire à l’agriculture de l’administration de Donald Trump : obliger le gouvernement du Mexique à verser plus d’eau dans le Rio Bravo (Rio Grande aux Etats-Unis), un fleuve situé à plus de 1 000 kilomètres de Tijuana, pour satisfaire les agriculteurs du Texas.
Tirée d’un puits dans la vallée de Lunain, captée dans la Voulzie, charriée dans les égouts… Au fil de l’eau, «Libé» remonte les canalisations pour comprendre l’origine, le traitement et la distribution de la précieuse ressource dans la capitale.
Réapparition d’espèces ou ouverture de zones de baignades, grâce à une politique volontariste les habitants redécouvrent la Seine. Parce que l’habitabilité de notre planète ne peut se faire sans une protection des écosystèmes marins, la ville de Paris se mobilise pour régénérer son fleuve mais voit aussi plus loin et s’engage au niveau mondial pour la COP30 de Belém. [...] Le 23 juin, pour les dix ans de l’accord de Paris, nous rassemblerons à Paris scientifiques, responsables associatifs et maires de villes engagées.
Pour des centaines de milliers de personnes sur notre territoire, l’accès à ce bien commun essentiel est une bataille au quotidien. Assurer un partage digne et sécurisé de l’eau est pourtant un impératif de justice sociale.
Largement disséminés dans l’eau, les polluants éternels sont très difficiles à traiter. Un casse-tête très coûteux pour les collectivités en charge de la distribution d’eau potable. « On est dans une impasse totale. » Au téléphone, Mickaël Derangeon ne cache pas son désarroi. La raison ? La découverte d’un polluant éternel — le TFA, ou acide trifluoroacétique, un résidu de pesticides — dans l’immense majorité des captages d’eau de Loire-Atlantique.