Les Soulèvements de la Terre

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Le gouvernement américain a ordonné vendredi l'arrêt des travaux sur un immense projet de parc éolien en mer, pourtant achevé à 80%. Il s'agit du dernier d'une série de coups d'arrêt imposés à des projets d'énergie éolienne.
Le gouvernement de Donald Trump, président climatosceptique et farouche détracteur des éoliennes, a lancé une enquête sur les importations aux Etats-Unis des composants de cette énergie renouvelable, ne fermant pas la porte à l'imposition éventuelle de droits de douane. Initiée le 13 août 2025 par le secrétaire au Commerce, mais rendue publique jeudi, cette procédure est menée dans le cadre de la section 232, qui permet au gouvernement américain de protéger un secteur d'activité par des droits de douane s'il estime qu'il y a risque pour la sécurité nationale. Sont concernées, les "importations d'éoliennes et de leurs pièces et composants", précise ce document.
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Après Doel 4 et Tihange 3, l'exécutif fédéral envisage de reporter la fermeture du réacteur de Tihange 1, prévue le 1er octobre prochainLe gouvernement fédéral ne veut pas seulement prolonger Doel 4 et Tihange 3 de 20 ans au lieu de dix, il veut aussi une prolongation du réacteur nucléaire de Tihange 1, dont la fermeture est prévue le 1er octobre prochain, lit-on mardi dans L'Echo et De Tijd.
Ils réduisent la pollution plastique à un simple problème de "mauvaise gestion des déchets" et s'emploient à recentrer les débats sur la phase post-consommation. Un tour de passe-passe pour éviter de devoir négocier sur la réduction de la production de déchets plastiques… à sa source, selon la chercheuse Aurélie Leroy.
À Genève, aucun traité n'a pu être adopté. Mais les pays ambitieux prévoient déjà de nouvelles initiatives pour réduire la pollution plastique
Présenté au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, un nouveau texte de compromis comportait encore plus d’une centaine de points à clarifier. Après dix jours d’intenses négociations, les chefs de délégation n’ont pas réussi à se mettre d’accord.
Malgré dix jours de négociations intenses, les 185 pays réunis à Genève ont échoué à se mettre d'accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur un texte contraignant pour lutter contre la pollution plastique, en raison de l'opposition d'un bloc de pays producteurs de pétrole.
Les 184 pays réunis depuis dix jours en Suisse pour une session de négociations annoncée comme celle de la «dernière chance» se quittent, ce vendredi 15 août, sans trouver d’accord.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 août, les 184 pays réunis à Genève n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un texte permettant de conclure un traité contre la pollution plastique. La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite «déçue».
Il n'y aura pas de traité contre la pollution plastique à Genève: 10 jours de pourparlers diplomatiques tendus se sont terminés vendredi à l'aube par un constat d'échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie.
C’est un échec. Les 185 pays réunis à Genève au sommet de l'ONU ne sont pas parvenus à un accord dans la nuit de jeudi à vendredi pour élaborer un texte contraignant contre la pollution plastique.
Après dix jours de négociations intenses, la conférence de Genève sur le traité mondial contre la pollution plastique s’est soldée par un échec. Les divisions entre pays producteurs de pétrole et partisans d’un texte ambitieux ont eu raison de ce sommet présenté comme "la dernière chance".
Les négociations sur le traité contre la pollution plastique ont échoué, après dix jours de négociations. Les pays pétroliers et les lobbies en sont responsables, dénonce Lisa Pastor, de l’association Surfrider.
Les diplomates des 183 pays réunis pendant dix jours à Genève n’ont pas réussi à s’accorder sur les mesures à déployer pour mettre un terme à cette pollution omniprésente. Plusieurs options sont sur la table quant au cadre des futures discussions.
Alors que l’armée a accepté une nouvelle intervention massive à Gaza, le ministre de la défense et le chef des forces armées israéliens s’opposent sur la stratégie. Le désaccord profond inquiète après la remise en question, depuis deux ans, de hauts fonctionnaires, magistrats et militaires, accusés de manquer de loyauté envers Benyamin Nétanyahou.
Les diplomates de 184 pays sont réunis à Genève depuis le 5 août. Ils doivent présenter un texte commun pour lutter contre développement incontrôlé du plastique.
Les diplomates de 184 pays n'ont plus que quelques heures jeudi à Genève pour tenter de forger à l'arrachée un texte commun qui établirait un premier traité international de lutte contre la pollution plastique, après le rejet massif d'un projet de texte de synthèse. Une nouvelle séance plénière réunissant tous les délégués est prévue en milieu d'après midi, après l'échec retentissant d'une tentative de synthèse maladroite mercredi après-midi, et des débats d'une grande confusion. Mais les chances de trouver un accord, après trois ans de négociations, semblent très minces, étant donné les profondes divisions qui demeurent entre les deux camps qui se sont affrontés sur le sujet.
À Genève, les négociations sur le premier traité mondial contre la pollution plastique entrent dans leur phase décisive. Les 184 pays participants peinent encore à s'accorder sur des mesures contraignantes, notamment sur la réduction de la production. L'issue de ces discussions prévue dans la nuit de jeudi à vendredi pourrait déterminer la portée réelle de l'accord pour freiner la crise mondiale du plastique.


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