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The number of countries announcing pledges to achieve net zero emissions over the coming decades continues to grow. But the pledges by governments to date – even if fully achieved – fall well short of what is required to bring global energy-related carbon dioxide emissions to net zero by 2050 and give the world an even chance of limiting the global temperature rise to 1.5 °C.
1.5 °C degrowth scenarios suggest the need for new mitigation pathways
Analyse et modélisation de l’impact climatique du transport aérien actuel et à venir en France
Le secrétaire d’Etat aux Transports a récemment annoncé la suppression des vols domestiques dont le trajet peut se faire en train en moins de 2h30. Cette mesure, décriée par le secteur aérien, s’appuie pourtant sur des raisons d’ordre écologique. L’étude « Climat : Pouvons-nous (encore) prendre l’avion ? », sortie ce 21 juillet 2020, le prouve : il est indispensable de réduire drastiquement l’usage de l’avion, tant son impact environnemental est élevé et ne cesse de croître au moment même où nous vivons un désastre global.
- La Libre
Les principales économies mondiales, rassemblées au sein du G20, n'en font pas assez pour parvenir à limiter la hausse des températures à 1,5°C, comme prévu par l'accord de Paris sur le climat, ressort-il du rapport annuel "Brown to Green" de l'organisation Climate Transparency publié lundi.
Le GIEC a accepté cette invitation en avril 2016, et a décidé de préparer ce rapport spécial sur les effets d’un réchauffement climatique de 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels et les profils d’émission de gaz à effet de serre associés, dans le cadre d'un renforcement de la réponse mondiale à la menace du changement climatique, d'un développement durable et des efforts visant à éradiquer la pauvreté.
Quelles seraient les mesures concrètes à mettre en place en France dans notre quotidien pour « s’aligner sur une trajectoire compatible avec les 1,5°C » ? Telle est l’interrogation d’une analyse publiée début février par le bureau d’études B&L Évolution , dont les conclusions font depuis l’objet de nombreuses réactions.
Analyse de la faisabilité technique et mise en perspective de l’ampleur et de la rapidité des mesures à mettre en place.
Comment répondre à la fois aux aspirations des gilets jaunes et à l'impératif écologique ? Une piste : la création d'une «carte carbone» qui repose sur un quota annuel de droits d'émissions de CO2 pour chaque habitant.
Une étude du bureau d'étude B&L liste les mesures qu'il faudrait prendre sous 10 ans si nous voulions vraiment éviter que le réchauffement climatique ne dépasse le seuil critique des 1,5°C dans le monde. Attachez vos ceintures, ça secoue
Au Nord, les États-Unis meurent littéralement de froid tandis qu’au Sud, les Australiens connaissent une canicule spectaculaire. Sans aucun doute, un effet du changement climatique. Pour rester alignés sur une trajectoire de réchauffement de 1,5°C, le cabinet d’analyse BL Évolution a analysé les mesures concrètes à mettre en œuvre en France. Parmi elles, la réduction du nombre de voitures, la baisse de la consommation liée au chauffage ou encore la taxation des produits importés…
Henri Waisman, vous êtes chercheur senior au sein du programme Climat qui est axé sur les trajectoires de développement bas carbone à long-terme. Coordinateur du Deep Decarbonization Pathways Project (DDPP), vous cherchez à mobiliser l’analyse de long terme comme outil de soutien au processus politique enclenché par l’Accord de Paris. C’est notamment dans ce cadre que vous avez été chargé de rédiger le chapitre 5 "Développement durable, éradication de la pauvreté et réduction des inégalités" du rapport spécial 1,5°C du GIEC.
Lettre 11 - oct 2018 : Le rapport spécial du GIEC
Le dernier rapport spécial du GIEC, présenté le 8 octobre dernier, fait suite à la COP21 et à la signature de l’Accord de Paris, dans lequel les États s’engagent à agir pour « contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels [et à] poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels ». Le GIEC a été invité à produire un rapport portant sur les impacts du réchauffement planétaire de 1,5 ° C par rapport aux niveaux préindustriels, et sur les trajectoires d’émissions de gaz à effet de serre.
Le nouveau rapport des experts internationaux sur le climat (GIEC) est l’ultime alerte avant un monde en crise permanente. Les émissions de gaz à effet de serre ont déjà fait grimper la température mondiale de 1°C depuis la révolution industrielle. Et "il est probable" que le réchauffement atteigne 1,5°C entre 2030 et 2052. À cette température, les impacts sur le niveau des eaux, la biodiversité, la sécurité alimentaire sont déjà majeurs.
Adopté en 2015, l’Accord de Paris propose de « Contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C. » À ce titre, les États ont demandé aux spécialistes du GIEC de « produire en 2018 un rapport spécial sur l’impact d’un réchauffement global de 1,5 °C ». Ce document est attendu pour octobre 2018. À quoi va-t-il servir ?
Quel chemin nous permettrait de rester sur une trajectoire à 1-5°c ?