Musk & Trump

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Parmi les risques systémiques d’effondrement, la folie des hommes. Les politiques initiées par Donald Trump et Elon Musk déstabilisent la géopolitique mondiale, sapent la démocratie américaine et mondiale, accroissent les risques climatiques, fragilisent les équilibres des régions sensibles et engagent le Monde dans une période chaotique et périlleuse. Voici une sélection de références abordant une partie de leurs prises de positions et actions :

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Trump Gaza

2025

Huit dirigeants arabes se réunissent, vendredi, en Arabie saoudite, pour discuter d'un projet alternatif à celui exposé par Donald Trump sur l'avenir de Gaza. Un plan égyptien en trois phases est à l'étude.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
Joseph Pelzman a envoyé un rapport de 49 pages à Donald Trump pour essayer de trouver des solutions. Objectif : transformer Gaza comme la Côte d'Azur du Moyen-Orient. Un pari aussi fou que contraire au droit international.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.
Dans un extrait d’une interview qui doit être diffusée sur Fox News lundi 10 février au soir, le président américain a déclaré vouloir attribuer aux Gazaouis un “endroit permanent” autre que la bande de Gaza, ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.
La porte-parole de la Maison-Blanche a tenté mercredi de clarifier les annonces faites la veille par Donald Trump sur la présence américaine dans l’enclave palestinienne.
L’administration américaine s’est efforcée mercredi de nuancer la proposition du président Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza, et le chef de l’ONU a mis en garde contre un «nettoyage ethnique» dans le territoire palestinien.
Les déclarations du président américain du mardi 4 février sur sa volonté de faire de Gaza la «Côte d’Azur du Moyen-Orient» se heurtent, en réalité, à bien plus d’obstacles que ne le laisse entendre le milliardaire républicain.
Donald Trump a fait une annonce extraordinaire mardi, disant vouloir prendre "le contrôle" de la bande de Gaza dévastée par la guerre, une proposition qui pourrait "changer l'Histoire" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le président républicain a affirmé mardi que les États-Unis souhaitaient développer le territoire palestinien et a répété que ses habitants pourraient être transférés vers la Jordanie ou l’Égypte. Une annonce extraordinaire qui, si elle était appliquée, pourrait avoir des “implications considérables” pour le Moyen-Orient, note la presse américaine.
En prônant une prise de contrôle durable de la bande de Gaza par les Etats-Unis après en avoir chassé les Palestiniens, le président américain fait sienne la vision de l’extrême droite raciste et suprémaciste israélienne et annonce un crime de guerre.
La déclaration choc du président américain, mardi, d’expulser tous les Palestiniens de l’enclave pourrait mettre à mal le troisième échange d’otages prévu ce week-end et anéantir tous les plans de paix possibles.
Après les déclarations polémiques mardi soir du président américain, Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien.»
Le président américain a suscité mardi 4 février, une vague de stupeur internationale en annonçant son ambition de faire de Gaza «la Côte d’Azur du Moyen-Orient». Retour sur ses propos.
"Prendre le contrôle de la bande de Gaza" et transférer ses habitants vers d’autres pays, le projet du président états-unien Donald Trump pour l’enclave palestinienne a provoqué mercredi une vague de réactions internationales plus ou moins indignées. Le petit territoire palestinien jouit depuis le 19 janvier d’une trêve entre le mouvement islamiste du Hamas, qui le gouverne, et Israël, après plus d’un an de guerre qui l’a laissé exsangue. La suite de cette trêve est en négociation.
Les propos de Trump en faveur d'un déplacement forcé des Gazaouis ont trouvé un écho négatif dans l’ensemble de la communauté internationale, à l’exception des républicains américains et de la coalition nationaliste au pouvoir en Israël.
Steve Witkoff, émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, juge «grotesque» l’idée que la bande de Gaza puisse être habitable d’ici cinq ans, comme le prévoit l’accord de cessez-le-feu avec Israël.
L'idée lancée par Donald Trump de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers la Jordanie et l'Egypte s'est heurtée à de nouvelles critiques mardi, pendant que des milliers de Palestiniens continuaient à rentrer dans le nord du territoire, en ruines après 15 mois de guerre.
Le président américain Donald Trump a proposé de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l'Egypte et la Jordanie dans le cadre d'un plan de paix consistant à "faire le ménage" dans le territoire palestinien, où la trêve entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans sa deuxième semaines.