Musk & Trump

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Parmi les risques systémiques d’effondrement, la folie des hommes. Les politiques initiées par Donald Trump et Elon Musk déstabilisent la géopolitique mondiale, sapent la démocratie américaine et mondiale, accroissent les risques climatiques, fragilisent les équilibres des régions sensibles et engagent le Monde dans une période chaotique et périlleuse. Voici une sélection de références abordant une partie de leurs prises de positions et actions :

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Connaissance des Énergies

2025

Développé dès 2021 par EDF et Framatome, l’EPR2 ou « Evolutionary Power Reactor 2 » est un projet de version optimisée de l’EPR (anciennement appelé « réacteur nucléaire à eau pressurisé européen » ou « European Pressurized Reactor »).
EDF a passé une dépréciation pour 900 millions d'euros sur le projet éolien en mer Atlantic Shores, aux États-Unis, auquel participait le groupe français au sein d'une coentreprise avec Shell, a-t-il indiqué vendredi, après l'annonce d'un gel des permis d'exploitation par Donald Trump.
Cuba a mis en service vendredi le premier champ de panneaux photovoltaïques d'un vaste projet de parcs solaires visant à sortir de la crise énergétique le pays, qui souffre de coupures récurrentes en raison d'installations vieillissantes dépendantes du pétrole. La vétusté des huit centrales thermoélectriques, inaugurées pour la plupart dans les années 1980 et 1990, et la réduction ces deux dernières années des importations de pétrole du Venezuela, son principal allié, ont placé Cuba dans une situation extrêmement vulnérable d'un point de vue énergétique.
La justice a classé sans suite la plainte de trois ONG et huit personnes visant le géant pétrolier français TotalEnergies, qu'elles accusaient d'homicides involontaires et d'atteintes à la biodiversité en raison de l'activité du groupe dans les énergies fossiles responsables du réchauffement climatique, a appris jeudi l'AFP de sources concordantes.
Le Royaume-Uni et la Norvège, deux pays aux liens énergétiques très étroits, vont, face à la menace russe, accroître leur coopération dans la protection des infrastructures sous-marines, a annoncé jeudi le ministre norvégien de la Défense.Cette annonce est survenue dans le cadre d'une visite de deux jours du ministre britannique de la Défense, John Healey, dans le nord de la Norvège, à l'heure où les propos de Donald Trump font craindre un désengagement militaire américain d'Europe.
Les cours du pétrole sont en légère hausse mercredi, soutenus par des dégâts infligés par des drones ukrainiens sur des infrastructures pétrolières russes qui devraient prendre des mois à être réparées."Le flux de pétrole en provenance du Kazakhstan pourrait être réduit de 30% jusqu'à ce que la station de pompage de pétrole de Kropotkinskaya (en Russie, ndlr) soit réparée", explique Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB.
L'expansion prévue des centrales au charbon menace les engagements de l'Indonésie, principal pollueur dans le monde, de réduire ses émissions de CO2 d'ici 2030 et de fermer toutes ses installations au charbon d'ici dix ans, selon un rapport publié jeudi.
Des associations de défense de l'environnement ont annoncé mercredi attaquer en justice l'administration Trump pour ses mesures visant à accroître la production pétrolière et gazière en mer, relançant la bataille juridique qui les avait opposées au président américain lors de son premier mandat.Fervent défenseur des énergies fossiles, Donald Trump a annoncé dès le premier jour de son retour au pouvoir un état d'"urgence énergétique" pour doper la production d'hydrocarbures des Etats-Unis.
Le géant minier australien BHP a fait état mardi d'une forte demande pour sa production, soutenue par des "signes" de reprise en Chine, après avoir vu la baisse de prix de certains produits clés peser sur son chiffre d'affaires lors de la deuxième partie de l'an dernier.Le groupe a vu son bénéfice net presque multiplié par cinq pour atteindre 4,4 milliards de dollars américains lors du premier semestre de son exercice décalé, entre juillet et décembre.
Le Japon s'est engagé mardi à réduire de 60% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2035 par rapport à 2013, dans le cadre d'un plan climatique à l'ambition relevée, et qui s'accompagne d'une révision de sa stratégie énergétique.La quatrième économie mondiale, encore très dépendante des hydrocarbures et accusée d'avoir le mix énergétique le plus polluant des puissances du G7, s'est déjà fixé pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050.