No collapswashing

OA - Liste

Page de l’Observatoire de l’Anthropocène dédiée :
au groupe No Collapswashing sur FaceBook
à l’hashtag #nocollapswashing sur Mastodon

Le collapswashing, succédant au greenwashing, désigne non seulement la dissimulation des destructions environnementales mais dénonce également ceux qui font croire qu’ils préviennent les risques de déclin ou d’effondrement, alors qu’ils ne font que dissimuler ce qui décline ou s’effondre. Source : Vincent Mignerot

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.

espace50x10

filtre:
Ashoka Mukpo

05 octobre 2022

Certains des chefs d’États africains avec leurs alliés dans le secteur ont salué le changement et ont déclaré que l’extraction de gaz aidera à financer la transition vers les énergies renouvelables. Mais les défenseurs de l’environnement sur le continent expriment leur opposition et disent qu’une nouvelle ère d’extraction de combustibles fossiles ne fera que créer davantage de misère et nuire à l’environnement.

20 octobre 2021

Début août, des rapports ont commencé à dresser le constat d’un déversement important de substances toxiques en provenance de mines de diamants angolaises dans les affluents des fleuves de la RDC. Les rejets, qui ont donné une couleur rougeâtre aux affluents du fleuve Congo sur des centaines de kilomètres, auraient tué au moins 12 personnes en RDC. Les analyses d’images satellitaires indiquent que les rejets proviennent de la mine de diamants de Catoca dans la province angolaise de Lunda Sul, dont les principaux actionnaires sont des sociétés publiques angolaises et russes.

23 septembre 2021

La création des engrais de synthèse a marqué un tournant dans l’histoire de l’humanité, permettant une augmentation des rendements agricoles. Mais l’utilisation excessive d’azote et de phosphore provenant de ces engrais est à l’origine d’une crise environnementale, avec la prolifération des algues et l’augmentation de la fréquence et de l’ampleur des « zones mortes » océaniques. Sur les neuf « limites planétaires » , la limite associée aux déchets d’azote et de phosphore a été largement dépassée, mettant en péril le système de fonctionnement de la Terre.