oarefacompl

OA - Liste
Page de gestion du site – les références à compléter

les plus récentes d’abord


espace50x10

2024

Dans le cadre de l'Année des géosciences, l'Office for Climate Education (OCE), avec le soutien du CNRS est fier de lancer une série de neuf webinaires dédiés au changement climatique, spécialement conçus pour les enseignants de tous niveaux et de toutes disciplines. Cette partie "éclairage scientifique" (30') est enrichie d'une pratique "éclairage pédagogique", présentée par Adeline Aroskay, médiatrice scientifique à l'OCE.

2023

Alors que s’ouvre jeudi à Dubaï la COP28, le nouveau coprésident du Giec, Robert Vautard, plaide pour l’utilité de ces rendez-vous annuels sur le climat.,
La France salue l'élection par l’assemblée plénière du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de Robert Vautard, scientifique français au poste de co-président du groupe de travail 1 lors du 7ème cycle qui se tient du 25 au 28 juillet à Nairobi (Kenya). Il succède à cette fonction à Mme Valérie Masson-Delmotte.
Températures records, incendies, pluies extrêmes… Juin a été marqué par de nombreux signes du dérèglement climatique. Robert Vautard, directeur de recherche au CNRS, les analyse pour « Le HuffPost ».
abs_empty

2022

Pour le climatologue Robert Vautard, les projections sous-estiment le dérèglement pendant les étés en Europe de l’Ouest. Chaleurs, sécheresses et pluies intenses deviendront plus courantes « même si ce ne sera peut-être pas le cas tous les ans ».
À chaque événement météorologique extrême, c'est la même interrogation : le réchauffement climatique est-il responsable ? Pour répondre à cette question, un nouveau champ de la science se dessine : la science de l'attribution. Entretien avec Robert Vautard, membre du World Weather Attribution.

2021

Comment faire le lien entre des événements météorologiques extrêmes récents et le dérèglement climatique global causé par les activités humaines ? Entretien avec le chercheur au CNRS Robert Vautard, membre du réseau World Weather Attribution.
abs_empty
Les canicules se sont réchauffées de 4 °C depuis le début du XXe siècle. On assiste à un décrochage entre, d’un côté, la température moyenne de l’atmosphère, qui a augmenté de 1,5 °C en 100 ans, et celle des événements extrêmes, dont l’augmentation est beaucoup plus forte et plus imprévisible. La seconde est que le réchauffement climatique rend ce type de canicule cinq fois plus fréquent qu’il y a 60 ou 100 ans.

2018

abs_empty