Les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (SPFA), plus connues sous le nom « PFAS » (de l’anglais per- and polyfluoroalkyl substances), également appelées polluants éternels du fait de leur persistance dans l’environnement1, autrefois aussi dénommées composés perfluorés, sont des composés organofluorés synthétiques comportant un ou plusieurs groupes fonctionnelsalkyle per- ou polyfluorés. Elles contiennent au moins un groupement perfluoroalkyle –CnF2n–2,3. Il existe probablement entre six et sept millions de PFAS4. Source : wikipedia
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Dans une tribune au « Monde », la géographe Magali Reghezza-Zitt alerte quant aux risques majeurs que l’inaction climatique engendre : chaque dixième de degré supplémentaire augmente de façon exponentielle les extrêmes hydroclimatiques.
Thermomètre qui s’affole, sols assoiffés, rivières à sec, 70 000 hectares carbonisés… L’été 2022 a planté un jalon dans l’histoire de France du climat. Un avant-goût de ce que nous réserve le changement climatique, alertent les scientifiques. Les activités humaines, émettrices des gaz à effet de serre, en sont responsables. Désormais, la probabilité que l’été présent soit plus froid « est hautement improbable », prévient Magali Reghezza-Zitt.
Le rôle des sociétés est déterminant. Leur résilience dépendra notamment des réponses mises en œuvre au sein des territoires. Elles se trouvent aussi bien dans l’atténuation, essentielle, que l’adaptation, terme du langage courant repris d’abord en biologie pour parler d’évolution, puis en sciences sociales pour rendre compte des interactions complexes entre nature et sociétés humaines.