Plastiques

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« La production effrénée de plastiques engendre une pollution aux impacts croissants, qui entraînera des coûts considérables à mesure que les crises qu’elle suscite se multiplieront. En ce qui concerne la crise climatique, l’industrie plastique est responsable de 5,3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (chiffres de 2019). Si rien ne change, ces émissions pourraient doubler, voire tripler d’ici 2050. »
Source : The Conversation

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2025

La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.

2024

L’addiction de nos sociétés vis-à-vis du plastique ne se dément pas. Or, les preuves de la toxicité de ce matériau, auquel il est désormais impossible d’échapper, s’accumulent depuis quelques années.
L’accumulation de nano- et microplastiques dans les organismes marins, notamment les poissons, se reflète dans nos assiettes. Avec quels dangers pour la santé ?
Les micro et nanoplastiques envahissent notre environnement et notre corps, mais une nouvelle technologie portable développée par des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique permet enfin de les détecter rapidement et à faible coût. Un outil indispensable pour protéger notre santé et nos écosystèmes. Les micro- et nanoplastiques sont partout : dans nos aliments, notre …
Microplastics and nanoplastics may be present in food, primarily from environmental contamination where foods are grown or raised.
Microplastics and nanoplastics (MNPs) are emerging as a potential risk factor for cardiovascular disease in preclinical studies. Direct evidence that this risk extends to humans is lacking.
Une nouvelle technique de microscopie permet de détecter la présence de nanoplastiques dans l’eau. Or, l'eau en bouteille contient également.
La pollution plastique est partout, dans l'eau, les crevettes, nos maisons, et nos organismes. « Aucun être vivant n'a les outils biologiques pour digérer ce plastique, le dégrader complètement », alerte la chercheuse Nathalie Gontard. Mais des alternatives existent. Interview.
L'eau des bouteilles en plastique contient jusqu'à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu'estimé jusqu'ici, selon une nouvelle étude publiée lundi.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.
Selon une nouvelle étude parue dans une revue américaine, la pollution aux nanoparticules dans l’eau en bouteille est 100 fois plus élevée qu’estimée auparavant. Un coauteur de l’étude «ne recommande pas de ne pas boire d’eau en bouteille quand c’est nécessaire».
Dans des bouteilles d’eau achetées au supermarché aux États-Unis, des chercheurs ont détecté une quantité importante de plastiques, dont 90 % sont de taille nanométrique.
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.

2023

Il nous rend bien des services au quotidien mais son omniprésence dans l'environnement, dans nos logements et même dans notre corps devient de plus en plus problématique.

2022

Dans l’eau, les sols, l’estomac des poissons, les déchets humains: la pollution par les plastiques est omniprésente. Même au sommet des montagnes et aux deux pôles. Une récente étude suggère que la propagation de minuscules particules de plastique - ou nanoplastiques – est un problème bien plus répandu qu’on ne le pensait jusqu'alors.
De nouvelles recherches menées par plusieurs instituts montrent l’ampleur et la vaste gamme de pollution plastique transportée dans l’atmosphère jusque dans les Alpes. D’après ces travaux, environ 3 000 tonnes de nanoparticules atterrissent chaque année en Suisse.