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nucléaire civil centrale
D'une puissance de 9,6 GW, le projet de construction de 6 EPR à Jaitapur en Inde est présenté comme le plus grand projet de centrale nucléaire au monde. Il vise à alimenter 70 millions de foyers en électricité dans l'Etat de Maharashtra, sur la côte ouest du pays, au sud de Bombay.Etapes du projet franco-indienEn février 2009, Areva et l'entreprise publique indienne Nuclear Power Corporation of India (NPCIL) ont signé un protocole d'accord avec en vue de fournir de deux à six réacteurs EPR.
Un homme a été tué dans une attaque de drone ukrainien dans la ville ukrainienne d'Energodar, contrôlée par les forces russes et située près de la centrale nucléaire de Zaporijjia, a affirmé mardi le gouverneur régional installé par Moscou, Evguéni Balitski."Les terroristes de Kiev attaquent avec des drones des sites de l'infrastructure de la ville d'Energodar et le territoire à proximité de la centrale nucléaire", a affirmé M. Balitski sur Telegram.
La mer du Japon scintille paisiblement près de la plus grande centrale nucléaire du monde: mais alors que l'archipel, soucieux de restreindre le charbon, redémarre l'un des réacteurs de Kashiwazaki-Kariwa (KK), il a pris soin d'installer un nouveau mur anti-tsunami.Le Japon avait abandonné l'atome civil dans le sillage de la catastrophe de Fukushima, centrale frappée en 2011 par un tsunami suivant un séisme, lesquels ont provoqué le pire désastre nucléaire depuis Tchernobyl et tué environ 18.000 personnes.
Le géant du numérique a passé un accord avec la start-up Kairos Power pour construire plusieurs centrales nucléaires de nouvelle génération qui alimenteront en électricité ses centres dédiés à l’intelligence artificielle. Le secteur de la tech américain est le moteur de la relance de l’énergie nucléaire, constate “The Wall Street Journal”.
La firme de Mountain View vient d’annoncer un partenariat qui, dès 2030, lui permettra de s’alimenter en énergie nucléaire d’un genre nouveau
Les Kazakhs ont voté dimanche lors d'un référendum en faveur de la construction de la première centrale nucléaire de ce pays d'Asie centrale, premier producteur mondial d'uranium mais manquant d'électricité.D'après deux sondages diffusés sur la télévision étatique après la fermeture des bureaux, le "oui" l'a emporté avec environ 70% des voix.La Commission électorale, qui a annoncé une participation de 63,87%, doit communiquer lundi les résultats définitifs.
Un groupe de physiciens, de chimistes et de métrologistes(1) du CNRS, de l’Université Claude Bernard Lyon 1, du CEA et de l’ENS de Lyon ont mis au point une nouvelle méthode « à la fois plus rapide et plus économique » pour suivre en temps réel les émissions de gaz radioactifs dans les centrales nucléaires.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé la Russie, mardi devant le Conseil de sécurité des Nations unies, de se préparer à cibler des centrales nucléaires ukrainiennes.
L'intelligence artificielle générative a besoin d'énergie pour alimenter les serveurs qui moulinent les modèles IA. De beaucoup d'énergie. Et pourquoi pas celle fournie par… une centrale nucléaire ? Microsoft va relancer celle basée à Three Mile Island, en Pennsylvanie, tristement connue pour son accident nucléaire en 1979.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a fait part vendredi de son inquiétude pour la sécurité des centrales nucléaires de Koursk en Russie et de Zaporijjia en Ukraine, menacées par les combats et les bombardements.
La centrale nucléaire de Barakah aux Émirats arabes unis, la première dans le monde arabe, est devenue pleinement opérationnelle avec la mise en service de son quatrième réacteur, ont annoncé jeudi les autorités de l'État du Golfe.40 TWh de production attendue par anElle "produit désormais 40 TWh d'électricité par an (...) et couvre jusqu'à 25% des besoins en électricité" de ce riche pays pétrolier, a affirmé l'opérateur public Emirates Nuclear Energy Corporation (ENEC).
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a déclaré avoir évoqué la sécurité de la centrale nucléaire russe de Koursk avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi, en pleine incursion ukrainienne dans cette région russe. Kiev a lancé le 6 août une incursion sans précédent en territoire russe, dans la région de Koursk, déclenchant des combats à moins de 50 kilomètres de la centrale nucléaire.
L'EPR de Flamanville a « divergé » (opération qui initie la réaction en chaîne dans le cœur du réacteur) ce 3 septembre à 15h54. S'ensuivra un programme de tests qui doit permettre d'atteindre un niveau de puissance de 25%, palier à partir lors duquel l'EPR « sera connecté au réseau électrique national pour la première fois et produira alors de l'électricité », une échéance attendue « d'ici la fin de l'automne 2024 », indique EDF.
Vladimir Poutine a accusé jeudi l'Ukraine d'avoir tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, dans la région russe du même nom, en proie à une offensive d'ampleur des forces de Kiev depuis plus de deux semaines, sans toutefois présenter directement de preuves de ces allégations."L'ennemi a essayé de frapper la centrale nucléaire pendant la nuit", a affirmé le président russe au cours d'une réunion télévisée avec des membres de son gouvernement et les gouverneurs des régions frontalières de l'Ukraine.
Quelque 880 tonnes de débris hautement radioactifs se trouveraient encore à l’intérieur des réacteurs de la centrale, alors que les efforts visant à la déclasser ont commencé.
L'AIEA a averti samedi que la sécurité à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, occupée par les Russes dans le sud du pays, se "détériorait", après une frappe de drone à proximité.
Un incendie s'est déclaré dimanche soir dans le système de refroidissement de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les forces armées russes, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement d'en être responsable. Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui dispose d'une équipe sur place, "il n'y a pas d'impact sur la sûreté nucléaire" alors que les six réacteurs sont à l'arrêt.Le responsable de l'administration mise en place par les Russes dans la région, Vladimir Rogov, a indiqué tôt lundi que l'incendie avait été "complètement éteint".
L'Ukraine a indiqué mardi que la situation énergétique du pays s'améliorait et que pour la première fois en juillet il n'y aurait pas de coupures programmées, grâce aux réparations menées sur le réseau électrique, endommagé par des frappes russes à répétition."Grâce à l'achèvement des travaux sur deux unités de centrales nucléaires et grâce à une baisse des températures, la situation dans le secteur énergétique a été stabilisée", a dit sur son compte Telegram le Premier ministre Denys Chmygal.
La production de la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne) va être réduite à partir de lundi soir, pour éviter de trop réchauffer les eaux de la Garonne dans un contexte d'épisode caniculaire, a-t-on appris auprès d'EDF.Le réacteur de Golfech 2 sera mis à l'arrêt lundi soir peu avant minuit pour deux jours, et la puissance de Golfech 1 sera limitée à 280 mégawatts (sur une capacité de 1.300 MW) de mardi à 14h jusqu'à mercredi à minuit.
Une alerte de niveau 1 a été signalée par EDF à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) à la suite d'un défaut sur un capteur décelé avec plusieurs mois de retard à la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle), a-t-on appris jeudi. Dans un communiqué publié sur son site internet, EDF a annoncé avoir "déclaré un événement significatif sûreté au niveau 1 de l'échelle INES" à l'ASN vendredi.En cause, la "détection tardive" d'un défaut sur un capteur de surveillance des paramètres de fonctionnement de la turbine d'une unité de production de la centrale.
Huit personnes ont été blessées dans un raid de drones ukrainiens sur le site d'une sous-station de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par la Russie, a affirmé mercredi le groupe russe Rosatom, qui dénonce une multiplication des attaques."Les forces armées ukrainiennes ont lancé une attaque contre la sous-station de Radouga, où le personnel de la centrale nucléaire de Zaporijjia effectuait des travaux visant à optimiser le système d'alimentation électrique de la ville d'Energodar", a déclaré Rosatom sur Telegram.
Le président du CD&V, Sammy Mahdi, a réitéré le soutien de son parti à la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires belges. "Nous ne devons pas penser de manière dogmatique", a-t-il déclaré mardi après-midi avant le début d'une session d'information du sommet de l'armée et de l'organisme de surveillance nucléaire FANC avec les autres partis de l'Arizona.
Le Kazakhstan, plus gros producteur mondial d'uranium, a annoncé jeudi la tenue d'un rare référendum cet automne sur la construction de la première centrale nucléaire d'Asie centrale, région où l'Ouzbékistan et le Kirghizstan ont des projets similaires."Le développement économique est impossible sans un approvisionnement énergétique stable, c'est pourquoi j'ai demandé d'étudier la question de la construction d'une centrale nucléaire. Le référendum aura lieu cet automne", a déclaré le président Kassym-Jomart Tokaïev à l'occasion de la "journée des journalistes".
Guerre en Ukraine: les employés ukrainiens des centrales travaillent dans la peur des frappes russes
(24/04) - AfpDans cette centrale électrique ukrainienne, les horloges se sont arrêtées au moment précis où des missiles russes se sont abattus sur le site, dont les employés déblayent encore les débris calcinés sous un trou béant dans le toit.
"Nous nous approchons dangereusement d'un accident nucléaire" à Zaporijjia, a alerté lundi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), notant qu'il était "impossible" de savoir qui était responsable des récentes attaques contre la centrale nucléaire ukrainienne.
L'un des dômes de la centrale de Zaporijjia a été touché par une frappe dimanche, selon les autorités prorusses qui contrôlent les lieux. Elles assurent également qu'un drone a explosé près de la cantine de la centrale, endommageant un camion garé à proximité.
Deux attaques de drones ont été signalées, les 7 et 8 avril, à Zaporijjia, la plus grande centrale nucléaire d’Europe, actuellement sous contrôle russe. Moscou et Kiev s’accusent mutuellement d’être responsables de ces incidents, qui accentuent les risques d’une catastrophe nucléaire de grande ampleur.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été coupée par un bombardement, a annoncé vendredi le ministre ukrainien de l'Energie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur contre les infrastructures ukrainiennes.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire a été coupée par un bombardement, a annoncé le ministre ukrainien de l’Energie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur.
Une des deux lignes électriques alimentant la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été coupée par un bombardement, a annoncé vendredi le ministre ukrainien de l'Énergie, Guerman Galouchtchenko, qui a dénoncé une attaque russe de grande ampleur contre les infrastructures ukrainienn
Ce processus devrait reprendre plus tard ce vendredi, a ensuite précisé à l’Agence France-Presse un porte-parole de Tepco, l’opérateur de la centrale.
La Cour des comptes demande des investissements supplémentaires pour adapter les 18 centrales nucléaires, les barrages et le réseau de distribution d'électricité français au réchauffement climatique.Le changement climatique "est largement intégré dans les référentiels et normes de sûreté, mais l'adaptation fait peser des exigences nouvelles pour les exploitants", en particulier la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), gestionnaire de barrages, et EDF, souligne la Cour dans son rapport publié mardi.
Le directeur de Roscosmos a annoncé vouloir implanter une installation nucléaire sur la Lune pour garantir l’approvisionnement en électricité de sa future station de recherche.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.M. Grossi est en visite en Russie, où il doit rencontrer le président Vladimir Poutine pour la première fois depuis 2022 et évoquer notamment la situation "précaire" de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.
Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a appelé vendredi à "une retenue militaire maximale" après une série de fortes explosions survenues ces derniers jours près de la centrale nucléaire ukrainienne sous contrôle russe de Zaporijjia, la plus grande d'Europe. Ce site, pris par les forces russes en mars 2022, dans la foulée du déclenchement le 24 février de l'invasion de l'Ukraine, se trouve dans une zone de combat et Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de compromettre sa sécurité.
EDF a annoncé qu’un feu s’était déclaré dans la nuit de vendredi à samedi 10 février au niveau d’un transformateur de la centrale d’Indre-et-Loire. Par précaution, certaines «unités de production sont à l’arrêt».
La fuite a été stoppée une vingtaine de minutes après sa découverte, mercredi matin, par un ouvrier qui nettoyait des tuyaux d’échappement sur le site.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a dit mardi avoir de "nombreuses questions" à poser aux Russes, qui contrôlent la centrale nucléaire de Zaporijjia, à la veille de sa visite sur place.Le responsable a également regretté que ses experts, dont certains sont présents en permanence à Zaporijjia, n'aient qu'un accès "partiel" à la centrale, même si celui-ci "s'élargit progressivement". "Il y a encore des parties de la centrale que nous n'avons pas pu visiter", a indiqué M. Grossi lors d'un point-presse à Kiev.
L’Iran a annoncé qu’il avait commencé la construction d’un quatrième réacteur de recherche nucléaire dans le pays. Les fondations en béton de cette installation d’une capacité de 10 mégawatts ont d’ailleurs été coulées dans la mégalopole d’Ispahan, a indiqué le patron du programme nucléaire iranien, Mohammad Eslami, selon des propos rapportés lundi par l’agence de presse nationale IRNA.
Des mines ont été replacées autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, a assuré vendredi soir l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Aux mains des forces de Moscou depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer."Des mines ont été replacées le long du périmètre de la ZNPP (acronyme anglais de la centrale nucléaire de Zaporijjia, ndlr) a indiqué dans un communiqué l'AIEA, basée à Vienne.
Japon: un tsunami de 3 mètres a atteint une centrale nucléaire (Shika) lors du séisme du 1er janvier
(10/01) - BelgaLe Japon a été touché par plusieurs séismes dévastateurs le premier jour de l'An. Des vagues mesurant jusqu'à trois mètres de hauteur ont atteint une centrale nucléaire au Japon lors du tsunami qui a suivi le dévastateur séisme du 1er janvier, selon l'opérateur de celle-ci, affirmant néanmoins qu'elle n'a pas subi de dégâts.
Des vagues mesurant jusqu’à trois mètres de haut ont atteint la centrale nucléaire de Shika, dans le centre du pays, après la secousse dévastatrice du 1er janvier, selon l’opérateur de la structure ce mercredi 10 janvier.
L'énergéticien français EDF, opérateur du parc nucléaire outre-Manche, a annoncé mardi dans un communiqué qu'il "prévoit d'investir 1,3 milliard de livres (1,5 milliard d'euros, ndlr) supplémentaires dans les cinq centrales nucléaires en production du Royaume-Uni sur la période 2024-2026".
Un ouvrier sur le chantier de démantèlement de la centrale nucléaire dévastée de Fukushima Daiichi (nord-est du Japon) a été victime d'une contamination radioactive au visage, selon l'opérateur de la centrale, où un incident similaire était déjà survenu en octobre.
L'accord a été validé en kern cette nuit, a confirmé David Clarinval au micro de LN24 ce mercredi matin.
La Chine a mis en service mercredi la première centrale nucléaire au monde dite de quatrième génération, une avancée majeure du géant asiatique dans la course pour les réacteurs du futur. La centrale de Shidao Bay, située dans le Shandong (est du pays), est alimentée par deux réacteurs à haute température refroidis par du gaz et non par de l'eau pressurisée. "L'exploitation commerciale de la centrale de Shidao Bay a officiellement débuté", a rapporté mercredi l'agence officielle Chine nouvelle.
Le dossier sur la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires en Belgique connaît un nouveau rebondissement.
Le site industriel ukrainien, devenu base militaire russe, a subi une «panne totale» dans la nuit du vendredi 1er au samedi 2 décembre. Le courant a finalement été rétabli.
Eau secours. Emmanuel Macron clôt ce jeudi 16 novembre sa visite d’État de deux jours en Suisse. Parmi les sujets à l'ordre du jour, le président de la République a abordé la question du Rhône dont il souhaite augmenter le débit. Refroidissement des centrales nucléaires, production hydroélectrique, irrigation, industrie, eau potable… les besoins français ne cessent d'augmenter alors que les effets du changement climatique pèsent déjà sur ce puissant fleuve.
Le Japon a démarré jeudi la troisième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale accidentée de Fukushima, alors que Pékin et Moscou ont restreint leurs importations japonaises en protestation contre ce processus devant durer plusieurs décennies.
La Russie a accusé vendredi l'Ukraine d'avoir visé la veille à l'aide de drones une centrale nucléaire dans la région russe frontalière de Koursk, sans faire de dégâts ni provoquer de hausse de la radioactivité."Dans la soirée du 26/10/2023, une attaque de trois drones ennemis sur la centrale nucléaire de Koursk a été stoppée. Cet événement n'a pas affecté le fonctionnement de la centrale", a indiqué l'opérateur du site sur Telegram.
Moscou cherche à renforcer ses liens diplomatiques et sécuritaires avec l’Afrique depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, faisant concurrence, dans certains pays à la France.
Le Burkina Faso et la Russie continuent de resserrer leurs liens: un accord a été signé vendredi pour la construction d'une centrale nucléaire par Moscou dans ce pays sahélien où moins d'un quart de la population a accès à l'électricité.Le Burkina Faso, dirigé par un régime militaire depuis l'an dernier, cherche à diversifier ses partenaires et s'est notamment rapproché de la Russie.
Le Bangladesh a reçu formellement jeudi la première livraison russe d'uranium qui doit alimenter sa centrale nucléaire, un projet financé par la Russie afin de renforcer le réseau énergétique du pays, mais compliqué par les sanctions visant Moscou. "Aujourd'hui est un jour de fierté et de joie pour le peuple du Bangladesh", a déclaré la Première ministre Sheikh Hasina dans une conférence en ligne avec le président russe Vladimir Poutine pour entériner la livraison. Mme Hasina a remercié M. Poutine pour "ses conseils et son aide dans la mise en œuvre de ce projet".
Slovénie: l'unique centrale nucléaire à l'arrêt en raison d'une fuite dans l'enceinte de confinement
(05/10) - AfpL'unique centrale nucléaire de Slovénie a été mise à l'arrêt par mesure de précaution jeudi en raison d'une fuite dans l'enceinte de confinement, a indiqué la centrale dans un communiqué."Une fuite a été détectée dans le système primaire de l'enceinte de confinement", a expliqué dans un communiqué envoyé à l'AFP la centrale nucléaire de Krsko, située à une centaine de kilomètres à l'est de la capitale slovène et près de la frontière avec la Croatie.
Elles ont été condamnées à un total de 31,2 millions d’euros d’amende par l’Autorité de la concurrence pour s’être entendu en amont d’un appel d’offres public.
Leur plainte sera déposée vendredi au tribunal de première instance de Fukushima, a déclaré, lundi, Sugie Tanji, membre du collectif à l’origine de l’action.
C’est une conséquence directe de la canicule : les réacteurs de la centrale de Golfech (Tarn-et-Garonne), au nord-ouest de Toulouse, sont à l’arrêt. Plus précisément, comme l’explique France info, EDF a décidé de retarder le redémarrage des réacteurs 1 et 2, en travaux depuis plusieurs mois. Initialement, la reconnexion du réacteur 2 était annoncée pour le 13 août et celle du réacteur 1 le 20 août. L’électricien veut ainsi éviter de dépasser les normes maximales de température des eaux de la Garonne où la centrale rejette ses eaux de refroidissement.
Le coup d'État au Niger a fait craindre que Niamey ne réduise ses exportations d'uranium, ce qui risquerait d'entraver la production d'énergie nucléaire en France. À ce jour, la diversification des sources ainsi que des stocks conséquents devraient permettre d'atténuer toute perturbation à court terme. Mais l’approvisionnement en uranium soulève aussi des questions d’ordre géostratégique et éthique. Décryptage.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a vu "quelques mines" antipersonnel dans une zone tampon de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (est), occupée par les forces russes, a-t-elle indiqué lundi, mais qui ne posent selon elle pas de danger pour la sécurité des installations."Lors d'une inspection le 23 juillet, l'équipe de l'AIEA a vu quelques mines situées dans une zone tampon entre les barrières des périmètres intérieur et extérieur du site", a indiqué l'agence dans un communiqué.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a regretté jeudi de n'avoir pas pu inspecter les toits de la centrale nucléaire de Zaporijjia, où l'Ukraine soupçonne les forces russes, qui occupent le site, d'avoir placé des mines ou des explosifs.Les experts de l'instance onusienne, présents sur place, "attendent toujours d'avoir accès aux toits des bâtiments des réacteurs", a déclaré le directeur général Rafael Grossi dans un communiqué.
La filière nucléaire continue de faire fi de la guerre en Ukraine. Dans un rapport rendu public le 18 juillet, les ONG Greenpeace France et Greenpeace Allemagne révèlent que les entreprises françaises Framatome, filiale d’EDF, et allemande Siemens Energy continuent de fournir technologies et savoir-faire à l’entreprise publique nucléaire russe Rosatom.
Depuis plusieurs jours la centrale ukrainienne de Zaporijia est au centre de l’attention de la guerre en Ukraine. Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de vouloir y mener une attaque.
Tandis que Volodymyr Zelensky s’inquiète publiquement d’un accident nucléaire provoqué par les Russes, ceux-ci lui retournent l’accusation. L’ONU demande à réinspecter le site, que les experts imaginent mal provoquer une catastrophe similaire à celle de 1986.
L’AIEA a validé mardi 4 juillet le plan du gouvernement japonais pour se débarrasser de 1,33 million de tonnes d’eau contaminée, stockée sur le site bientôt arrivé à saturation de la centrale ravagée par la catastrophe nucléaire de 2011.
Le Kremlin a averti mercredi d'un possible "acte subversif" ukrainien aux "conséquences catastrophiques" à la centrale nucléaire de Zaporijjia, contrôlée par la Russie dans le sud de l'Ukraine, les deux camps s'accusant d'une provocation imminente.
Le Kremlin a averti mercredi d'un possible "acte subversif" ukrainien aux "conséquences catastrophiques" à la centrale nucléaire de Zaporijjia, contrôlée par la Russie dans le sud de l'Ukraine, les deux camps s'accusant d'une provocation imminente."La situation est très tendue, car le risque d'un acte subversif par le régime de Kiev est très élevé. Un acte subversif qui peut avoir des conséquences catastrophiques", a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
Le rejet dans l’océan des eaux contaminées par la catastrophe nucléaire de Fukushima a été approuvé le 4 juillet par l’Agence internationale de l’énergie atomique. Au Japon, les inquiétudes sont nombreuses.
Jean-Marc Jancovici a souhaité répondre, via Facebook à la question qui lui est souvent posée : « Restera-t-il assez d'eau pour refroidir les centrales nucléaires dans un pays qui connaîtra de plus en plus de sécheresses ? » Il s'appuie pour cela sur une étude de la SFEN (Société Française d'Energie Nucléaire) et en tire des conclusions rassurantes qui méritent, à mon sens, quelques éclairages !
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Russie de préparer un "attentat terroriste" impliquant une fuite "de radiations" à la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les troupes russes dans le sud de l'Ukraine, une accusation immédiatement rejetée comme "mensonge" par le Kremlin.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Russie de préparer un "attentat terroriste" impliquant une fuite "de radiations" à la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les troupes russes dans le sud de l'Ukraine, une accusation immédiatement rejetée comme "mensonge" par le Kremlin..
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a épinglé mardi pour la troisième année consécutive les performances en 2022 de la centrale nucléaire de Gravelines (Nord), la plus puissante d'Europe de l'ouest, en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection.Ces performances "sont en retrait en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection par rapport à l'appréciation générale que l'ASN porte sur les centrales nucléaires d'EDF", expose l'autorité de contrôle dans un communiqué suivant la présentation de son bilan annuel dans les Hauts-de-France.
Guerre en Ukraine : une situation “grave” mais en cours de stabilisation à la centrale de Zaporijjia
(15/06) - AfpLe chef de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est arrivé à Zaporijjia pour évaluer les dégâts suite à l’effondrement du barrage de Kakhovka.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) demande à EDF de lui transmettre "rapidement" des éléments permettant de justifier au regard de la sûreté l'hypothèse d'une prolongation des réacteurs actuels "jusqu'à 60 ans et au-delà", selon un avis publié mercredi.Alors que les centrales nucléaires françaises ont entre 30 et 40 ans de moyenne d'âge, le gouvernement veut prolonger le plus possible celles qui peuvent l'être, dans le cadre de son vaste plan de relance de la production d'électricité nucléaire.
Les centrales nucléaires françaises ont eu recours pendant un total de 24 jours à des dérogations liées à la température maximale des eaux qu'elles ont rejetées en 2022, année marquée par des épisodes de canicule, a indiqué mardi la division lyonnaise de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).Dans le détail, ces dérogations ont été mises en place neuf jours pour la centrale du Tricastin (Drôme), huit jours pour celle du Bugey (Ain), six jours pour Golfech (Tarn-et-Garonne) et un jour pour Saint-Alban (Isère).
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et la Russie ont estimé mardi que la centrale nucléaire Zaporijjia, occupée par Moscou, n'était pas menacée après la destruction partielle d'un barrage hydroélectrique, l'Ukraine affirmant au contraire l'existence d'un risque croissant de catastrophe.La Russie et l'Ukraine s'accusent mutuellement d'avoir fait exploser le barrage de Kakhova sur le fleuve Dniepr, dans la partie occupée par la Russie de la région ukrainienne de Kherson.
La centrale de Zaporijjia, occupée par l'armée russe, se retrouve en première ligne après la destruction partielle mardi d'un barrage du sud de l'Ukraine, dont l'eau est utilisée pour refroidir le combustible et éviter un accident nucléaire.L'attaque, dont s'accusent mutuellement Moscou et Kiev, a entraîné l'inondation d'une vingtaine de localités et l'évacuation de milliers de personnes, suscitant un tollé international.- "Pas de danger nucléaire immédiat" -
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia n'a plus d'alimentation externe de secours depuis trois mois, ce qui la rend "extrêmement vulnérable", a averti samedi le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi.
À la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par les Russes dans le sud-est de l’Ukraine, le personnel pointe du doigt la dégradation des conditions de la centrale. Ceux-ci craignent une catastrophe “bien pire que Fukushima et que Tchernobyl”.
Occupée par l'armée russe, la centrale nucléaire de Zaporijjia est de nouveau coupée du réseau électrique
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe dans le sud de l'Ukraine, a été à nouveau coupée du réseau électrique ukrainien, ont affirmé lundi Moscou et Kiev, un incident potentiellement dangereux et devenu fréquent avec les bombardements liés aux combats.
La centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, occupée par la Russie, était, selon les autorités ukrainiennes, de nouveau reliée au réseau électrique lundi midi, après une coupure entraînée par des frappes nocturnes russes.Ukrenergo "a rétabli l'alimentation de la centrale nucléaire à partir du système électrique ukrainien", a déclaré l'opérateur publique ukrainien dans un nouveau communiqué publié sur Telegram.
Désireuse d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2060, la Chine va, outre le renouvelable, grandement miser sur le nucléaire. Avec une production qui va exploser dans les prochaines décennies, jusqu’à dépasser celle des États-Unis et la laisser loin derrière.
M. Grossi assure avoir constaté en première ligne "des indications claires de préparatifs militaires" autour de la centrale, qui est la plus large d'Europe, lors de sa visite il y a trois semaines.
Il y a un "besoin d'anticiper" dès ces "prochains étés" la manière dont seront gérées les canicules et sécheresses dans les centrales nucléaires d'EDF, estime l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) dans une note publiée lundi.EDF a présenté le 13 avril au collège de l'ASN "son projet ADAPT d'adaptation de ses centrales nucléaires au changement climatique", explique le gendarme du nucléaire.Le réchauffement planétaire a, en effet, un impact sur la disponibilité en eau, ressource indispensable au refroidissement des réacteurs nucléaires.
L'Allemagne ferme ses trois dernières centrales nucléaires, un processus qui débute samedi, mais va s'étaler sur des années jusqu'au démantèlement complet des installations.DébrancherLe jour J, pas d'interrupteur on/off à activer mais un ralentissement progressif. "À partir de 22 heures (20H00 GMT), nous réduirons la puissance de l'installation de 10 mégawatts par minute", explique-t-on à la centrale bavaroise d'Isar 2, située non loin de Munich.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a estimé jeudi que l'on était "en sursis" concernant la "sûreté" de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, à proximité de laquelle deux mines ont récemment explosé."Si nous n'agissons pas pour protéger la centrale, notre chance tournera tôt ou tard, avec des conséquences potentiellement graves sur la santé humaine et l'environnement", a mis en garde M. Grossi dans un communiqué diffusé à Vienne, où se trouve le siège de l'AIEA.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a estimé jeudi que l'on était "en sursis" concernant la "sûreté" de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, à proximité de laquelle deux mines ont récemment explosé.
S’ils se réjouissent de la sortie du pays du nucléaire, le 15 avril, les militants anti-atome restent particulièrement prudents, assure “Die Tageszeitung”. Car le démantèlement des centrales pose lui aussi de nombreuses questions.
Sur les bords de la Loire, le réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux a arrêté de livrer ses megawattheures pour accueillir une armée de travailleurs au service d'un chantier gigantesque: l'heure est au "check-up complet" pour lui permettre de produire dix ans de plus, avec le changement climatique en ligne de mire. Dans la salle des machines, grande cathédrale où l'électricité jaillit de la vapeur au bout du turbo-alternateur, les opérateurs s'affairent au milieu d'échafaudages et de pièces monumentales désossées.
L'irrigation, l'eau potable et le refroidissement des centrales nucléaires sont les principaux usages de l'eau douce en France, susceptibles de causer des conflits d'usages en cas de pénuries. Le point secteur par secteur.La France prélève en moyenne 33 milliards de mètres cubes d'eau par an sur les près de 208 milliards disponibles en moyenne chaque année dans les cours d'eau, les lacs ou les nappes, selon le ministère de la Transition écologique.
Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, a affirmé mercredi "essayer" de trouver un compromis entre Moscou et Kiev pour sécuriser la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, près de laquelle il a déploré une "hausse de l'activité militaire".M. Grossi s'est exprimé lors d'une visite mercredi sur le site de cette centrale nucléaire occupée par les troupes russes dans le Sud de l'Ukraine, et pour laquelle la Russie a invité la presse dont l'AFP.
Un compromis a minima face à un risque militaire croissant : le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique s'est rendu mercredi à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia en quête d'une solution acceptable pour Kiev et Moscou afin de sécuriser le site. L'idée d'une zone démilitarisée autour de ce site du sud-est de l'Ukraine occupé depuis mars par les Russes semble avoir vécue après des mois d'échanges infructueux.
La sûreté nucléaire de la centrale ukrainienne de Zaporijjia (sud-est) se trouve dans un "état précaire", a mis en garde mercredi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, dans un communiqué.Selon l'organisation, la "dernière ligne électrique de secours" de la centrale, endommagée depuis le 1er mars, reste "déconnectée et en réparation". Or, elle lui permet en dernier recours d'assurer la sûreté et la sécurité nucléaires, en refroidissant notamment ses réacteurs.
L’opérateur Xcel Energy a alerté fin novembre les autorités sanitaires que 1,5 million de litres d’eau contenant du tritium s’étaient échappés d’une conduite de sa centrale nucléaire de Monticello. Le Minnesota, qui en a informé le public jeudi 16 mars, estime qu’il n’y a pas de risque sanitaire.
Taille importante, localisation inédite : la fissure découverte sur l’un des réacteurs de la centrale de Penly interroge. D’autres réacteurs pourraient être concernés par ce même défaut. Nouveau coup dur pour EDF. Ce dernier a découvert une nouvelle fissure, inédite par sa profondeur et sa localisation, sur le réacteur no 1 de 1 300 mégawatts (MW) de la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime). Un nouvel épisode dans la série noire de la corrosion sous contrainte, qui pourrit la vie de l’électricien (...)
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a tiré une nouvelle fois la sonnette d'alarme après une frappe russe sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), qui fonctionne désormais aux générateurs de secours.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a tiré une nouvelle fois la sonnette d'alarme après une frappe russe qui a provoqué une coupure de courant à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud)."A chaque fois on joue avec le feu et si nous permettons à cette situation de se prolonger, un jour notre chance va tourner", a averti Rafael Grossi jeudi devant le Conseil des gouverneurs de l'instance onusienne à Vienne.
La découverte d'une fissure importante sur un réacteur de la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime) va entraîner la prolongation d'arrêts d'autres sites, pour des contrôles, mais il ne devrait "pas y avoir d'arrêts massifs", selon un responsable de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN)."Il ne va pas y avoir des arrêts massifs des réacteurs pendant des mois, mais ça aura un impact en termes de durée des arrêts", a déclaré mercredi à l'AFP Julien Collet, le directeur général adjoint de l'ASN.
Nucléaire : ce que l’on sait sur la fissure détectée à la centrale EDF de Penly
En France, environ 31 milliards de m3 d'eau douce sont prélevés chaque année dans la nature. Alors que la sécheresse hivernale en cours fait craindre un nouvel été marqué par des restrictions, se pose la question de la répartition des usages.
De gigantesques citernes alignées, face à l’océan. Depuis l’accident nucléaire de mars 2011 à Fukushima, survenu...
La Finlande a annoncé jeudi l'extension à 70 ans, soit jusqu'en 2050, de la durée de vie de sa centrale nucléaire la plus ancienne comprenant deux réacteurs de conception soviétique, avec l'accord des partis du gouvernement, dont les Verts. "Le gouvernement a accordé à la centrale un permis pour produire de l'électricité jusqu'en 2050", a déclaré le ministre de l'Economie Mika Lintilä lors d'une conférence de presse.
Le site nucléaire turc le plus proche du séisme qui a dévasté la Turquie et la Syrie n’a pas été endommagé, affirment ses responsables, russes. Les opposants à cette énergie dénoncent l’opacité de la filière. La terre tremble en Turquie et les regards se tournent vers Akkuyu, premier site de construction nucléaire turc où la société russe Rosatom est en train d’ériger quatre réacteurs VVER-1200. Le site nucléaire se situe en bordure de Méditerranée à environ 240 kilomètres de l’épicentre du séisme survenu aux (...)
Le labo des tuyaux : le Laboratoire intégré d'expertises de Chinon (Lidec) d'EDF inspecte la tuyauterie des centrales nucléaires sous toutes les soudures, le plaçant en première ligne dans la crise de la corrosion sous contrainte qui touche le parc français. Au sein de la centrale de Chinon (Indre-et-Loire), le Lidec --laboratoire unique en France-- s'étend sur plusieurs bâtiments gris où bourdonnent des souffleries. Ses missions: surveiller les cuves des réacteurs, optimiser les programmes de maintenance et vérifier les pièces livrées par les fournisseurs.
La prolongation des centrales nucléaires au-delà de 60 ans, espérée par EDF et par le gouvernement, passera-t-elle le test climatique ? L'Autorité de sûreté nucléaire exige que les impacts à long terme du changement climatique soient désormais inclus dans les documents que doit lui fournir l'énergéticien en vue de prolonger ses réacteurs. Partage de la ressource en eau, prévisions à la baisse de la production d'électricité, impacts sur les milieux naturels, tout autant d'enjeux qui devront être intégrés.
A l’heure d’écrire ces lignes, aucun accord n’a encore été annoncé entre le gouvernement fédéral et le groupe...
Après les percées récentes et consécutives dans le monde de la fusion nucléaire, dont la dernière a permis de produire plus d’énergie que celle fournie pour démarrer la réaction, les scientifiques et les politiques voient leurs espoirs énergétiques décuplés. C’est pourquoi le département de l’Énergie des États-Unis envisage le financement prochain de la première centrale à fusion au monde, capable de reproduire la puissance énergétique du soleil. Le processus de sélection des candidats potentiels est enclenché et l’usine devrait être opérationnelle en 2030.
Les Pays-Bas vont construire deux nouvelles centrales nucléaires dans le sud de leur territoire afin de réduire leur dépendance aux combustibles fossiles, a annoncé vendredi le gouvernement. Situées près de la ville de Borssele, elles devraient être achevées d'ici à 2035 et fournir jusqu'à 13% de l'électricité dont le pays a besoin, a déclaré le Premier ministre Mark Rutte. "En ajoutant le nucléaire à notre bouquet énergétique, nous réduirons les émissions de dioxyde de carbone liées à la production d'électricité et nous nous rendrons moins dépendants des pays d'où proviennent ces combustibles fossiles", a déclaré à la presse M. Rutte.
Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Tihange est tombé en panne inopinément dimanche matin, a confirmé Engie. Peu avant 11h00, il s’est mis en veille automatique en raison d’un problème concernant l’une des deux turbines à vapeur. Le gestionnaire de réseau Elia exclut toute menace pour la sécurité d’approvisionnement.
l'Iran a démarré la construction d'une nouvelle centrale nucléaire dans la province du Khouzestan, dans le sud-ouest du pays, a annoncé samedi l'agence iranienne pour l'énergie atomique (OIEA). Le chantier, dont le lancement a été annoncé à la télévision d'Etat par le chef de cette agence Mohammad Eslami, devrait durer sept ans. La centrale de 300 mégawatts, érigée dans le district de Darkhovin, coûtera entre 1,5 et 2 milliards de dollars, a ajouté M. Eslami. L'Iran opère aussi une centrale nucléaire à Bouchehr, à l'extrême-sud du pays, d'une puissance de 1.000 mégawatts.
L'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom a annoncé jeudi limoger le nouveau directeur ukrainien de la centrale de Zaporijjia (sud), nommé la veille par la Russie qui s'est appropriée le site, tout en appelant une nouvelle fois les employés à ne pas collaborer avec Moscou. Mercredi, Iouriï Tchernitchouk, qui travaillait déjà dans la centrale, avait annoncé dans un communiqué "accepter" la proposition russe de diriger ce site nucléaire. "Iouriï Tchernitchouk, (jusque-là) ingénieur en chef adjoint de la centrale, qui a exercé ses fonctions pendant la guerre, a trahi l'Ukraine et est passé du côté de l'ennemi", a déploré jeudi le chef d'Energoatom Petro Kotine dans un communiqué, sa première réaction sur le sujet.
Un Ukrainien nommé nouveau directeur de la centrale de Zaporijjia, occupée par les Russes (officiel)
(30/11) - Afp,L'ingénieur en chef ukrainien de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe, a accepté de prendre la direction de cette infrastructure que Moscou s'est appropriée, selon un communiqué publié mercredi. "J'ai pris ma décision. À mon avis, c'est la seule décision possible et correcte: accepter la proposition (...) de diriger la centrale nucléaire de Zaporijjia", a indiqué Iouriï Tchernitchouk dans un communiqué publié sur le compte Telegram de la centrale.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a dénoncé dimanche des tirs "délibérés et ciblés" contre la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, appelant à "arrêter cette folie". La Russie et l'Ukraine se sont à nouveau accusées mutuellement dimanche d'avoir bombardé cette centrale nucléaire située dans le Sud ukrainien et occupée militairement par l'armée russe. Kiev a en outre démenti avoir exécuté plusieurs soldats russes qui s'y étaient rendus.
Des bombardements en série, des coupures électriques à répétition, un personnel ukrainien sous pression: la centrale de Zaporijjia, située dans le sud de l'Ukraine et occupée par l'armée russe, vit sous la menace constante d'une catastrophe nucléaire. Quel est l'état de la centrale? Après une première frayeur lors de la prise du site par Moscou le 4 mars, la situation s'est nettement dégradée début août. Les frappes, dont Moscou et Kiev s'accusent mutuellement, se succèdent dans cette zone proche de la ligne de front. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui a fini par installer des experts sur place, a signalé "une bonne douzaine" de tirs ce week-end.
L’armée russe, qui occupe ce site nucléaire dans le sud-est de l’Ukraine depuis mars, accuse Kyiv de l’avoir bombardé ce dimanche. L’Agence internationale de l’énergie atomique, présente sur les lieux, fait état d’explosions.
La Russie a accusé dimanche les forces ukrainiennes d'avoir procédé à de nouveaux bombardements contre la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, tout en assurant que le niveau de radiation y restait "conforme à la norme". "Le régime de Kiev ne cesse pas les provocations afin de créer la menace d'une catastrophe à la centrale nucléaire de Zaporijjia", la plus grande d'Europe et occupée militairement par la Russie, a affirmé l'armée russe dans un communiqué.
Le chef de l'AIEA a dénoncé des frappes délibérées et ciblées sur la centrale de Zaporijjia
L’information été rendue publique tardivement, mardi 8 novembre : une fuite radioactive importante a été détectée mercredi 2 novembre à 14 heures dans le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Civaux, dans la Vienne. L’incident s’est produit lors d’un test d’étanchéité du circuit de refroidissement du réacteur, étape nécessaire avant sa remise en route initialement prévue pour janvier 2023, dans le cadre du programme de relance du nucléaire porté par le gouvernement. Dans ces conditions, le redémarrage du réacteur pourrait être reporté.
Des manquements dans la politique de sécurité de la centrale nucléaire ont été observés.
Une fuite présentée comme sans gravité s'est déclarée lors d'un test hydraulique sur un réacteur de la centrale nucléaire de Civaux (Vienne), actuellement à l'arrêt, a confirmé mardi EDF, sans dire si l'incident retardera son redémarrage cet hiver.
Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle), à l'arrêt pour des contrôles, va devoir subir des réparations en raison de possibles défauts sur des soudures attribués au phénomène de corrosion sous contrainte, a indiqué vendredi l'autorité de sûreté nucléaire (ASN). L'ASN précise ainsi les raisons de la prolongation de l'arrêt de ce réacteur, annoncée jeudi soir par EDF, avec Cattenom 3, Penly 2 et Chooz B1. Cattenom 1, qui devait initialement être relancé le 17 novembre prochain, a vu sa reprise décalée au 26 février 2023, selon EDF.
L’opérateur ukrainien d’énergie nucléaire Energoatom a accusé la Russie de préparer un acte de terrorisme.
Les autorités polonaises et sud-coréennes ont signé lundi une lettre d'intention sur la construction d'une centrale nucléaire en Pologne qui serait réalisée par le groupe sud-coréen KHNP et les polonais PGE et ZE PAK, a annoncé ce dernier dans un communiqué. Cette annonce intervient trois jours après la décision diffusée par le Premier ministre polonais d'avoir choisi le groupe américain Westinghouse pour construire la première centrale nucléaire dans ce pays, face aux offres concurrentes du français EDF et de KHNP.
La Pologne a choisi le groupe américain Westinghouse pour construire sa première centrale nucléaire, face aux offres concurrentes du français EDF et du sud-coréen KHNP, a annoncé vendredi le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki. "Nous confirmons que notre projet d'énergie nucléaire utilisera la technologie fiable et sûre de @WECNuclear" (Westinghouse), a-t-il écrit sur Twitter. M. Morawiecki a précisé que la décision serait officiellement entérinée au cours d'un conseil des ministres à Varsovie mercredi. Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a indiqué vendredi que les Etats-Unis étaient "fiers d'être le partenaire fort de la Pologne pour l'énergie et la sécurité" et souligné "les milliers d'emplois" que cette collaboration devrait créer dans les deux pays.
De nombreux employés de la centrale nucléaire de Zaporijjia sont encore "prisonniers" de l'occupation militaire russe.
Les forces russes ont "enlevé" le directeur informatique de la centrale, Oleg Kostioukov, ainsi que le directeur général adjoint Oleg Ocheka, et elles les ont "conduit vers une destination inconnue", a indiqué l'opérateur Energoatom dans un communiqué sur un réseau social.
La centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, la plus grande d'Europe, est à nouveau privée d'alimentation externe en électricité lundi et doit donc s'appuyer sur des générateurs de secours, notamment pour le refroidissement du réacteur.
Olaf Scholz met fin aux débats sur le nucléaire et prolonge les trois dernières centrales allemandes
(17/10) - Le Courrier International,Le chancelier social-démocrate a assuré qu’Isar (Bavière), Neckarwestheim (Bade-Wurtemberg) et Emsland (Basse-Saxe) resteraient actives jusqu’au 15 avril 2023. Il est ainsi allé contre l’avis de ses partenaires de coalition, incapables de s’entendre sur un compromis.
C'est la deuxième coupure électrique en cinq jours.
Plusieurs mouvements sociaux sont toujours en cours ce mercredi 12 octobre dans plusieurs centrales nucléaires françaises. Le mouvement sera rejoint jeudi par Gravelines, la centrale la plus puissante d’Europe de l’Ouest.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été reconnectée au réseau électrique, a indiqué dimanche l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qualifiant ce raccordement de "soulagement temporaire face à une situation toujours intenable". L'AIEA avait annoncé samedi que cette installation du sud de l'Ukraine, la plus grosse centrale nucléaire d'Europe, avait perdu sa dernière source d'alimentation électrique externe en raison de nouveaux bombardements, et qu'elle s'appuyait sur des générateurs d'urgence pour fournir le courant dont elle a besoin pour assurer certaines fonctions de sécurité, dont le refroidissement de ses six réacteurs, tous à l'arrêt.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a perdu sa dernière source d'alimentation électrique externe en raison de nouveaux bombardements et s'appuie sur des générateurs d'urgence, a déclaré samedi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Le site occupé puis annexé par la Russie se procure "l'électricité dont il a besoin pour le refroidissement du réacteur et d'autres fonctions essentielles de sûreté et de sécurité nucléaires" uniquement grâce à des générateurs diesel, a ajouté l'organisme onusien dans un communiqué. "La connexion a été coupée vers une heure du matin, heure locale", a précisé l'AIEA, qui dit se baser sur "des informations officielles en provenance d'Ukraine" ainsi que sur "des rapports de son équipe" de quatre experts présents dans la plus grande centrale nucléaire d'Europe.
La centrale nucléaire de Zaporijjia (sud), la plus grande d'Europe, est "évidemment" ukrainienne, malgré son appropriation formelle par Moscou, a déclaré jeudi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, réaffirmant la possibilité "très claire" d'un accident nucléaire. "Pour nous, il est évident qu'elle appartient à (l'opérateur ukrainien) Energoatom puisque c'est une installation ukrainienne", a déclaré M. Grossi lors d'une conférence de presse à Kiev, après avoir été reçu par le président Volodymyr Zelensky et avant de se rendre à Moscou.
La centrale nucléaire de Zaporijia est occupée par l’armée russe depuis début mars. Vladimir Poutine s’est approprié le lieu par un décret signé ce mercredi.
Le directeur général de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, arrêté vendredi par la Russie qui contrôle le site, a été libéré, a annoncé lundi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui dispose d'experts sur place. "Je salue la libération d'Igor Mourachov", a tweeté le chef de l'instance onusienne, Rafael Grossi. "J'ai reçu la confirmation qu'il est rentré chez lui sain et sauf". Il avait été interpellé par une "patrouille russe" alors qu'il se rendait depuis la centrale vers la ville d'Ernogodar, contrôlée par les Russes, selon l'opérateur ukrainien Energoadom.
La Russie a arrêté Igor Mourachov, le directeur général de la centrale nucléaire de Zaporijjia, située sous contrôle russe dans le sud de l'Ukraine, a annoncé samedi l'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom.
La Russie a arrêté Igor Mourachov, le directeur général de la centrale nucléaire de Zaporijjia, située sous contrôle russe dans le sud de l'Ukraine, a annoncé samedi l'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom. Occupée depuis le 4 mars par les troupes russes, la centrale, la plus grande d'Europe, a été visée à de nombreuses reprises ces derniers mois par des bombardements dont Kiev et Moscou s'accusent mutuellement, faisant craindre un accident nucléaire. M. Mourachov a été interpellé par une "patrouille russe" vers 16H00 (13H00 GMT) alors qu'il se rendait depuis la centrale vers la ville d'Ernogodar, contrôlée par les Russes, a indiqué Petro Kotine, le patron d'Energoatom, sur un réseau social. Selon lui, le véhicule transportant le directeur de la centrale a été stoppé et ce dernier a été extrait de la voiture puis "conduit, les yeux bandés, vers une destination inconnue". M. Mourachov "endosse l'entière et exclusive responsabilité pour la sécurité nucléaire", a ajouté M. Kotine.
L’utilisation par Vladimir Poutine des centrales ukrainiennes comme moyen d’intimidation des Occidentaux met en lumière la faiblesse des conventions internationales qui protègent ces installations civiles.
L’opérateur Engie mettra à l’arrêt vendredi soir l’un des quatre réacteurs de ce site situé dans le port d’Anvers. C’est le premier pas du pays vers la sortie du nucléaire.
Plusieurs pays dont la France ont dénoncé mercredi la "militarisation" par la Russie de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, ce qui menace la sécurité nucléaire. Dans une déclaration conjointe adoptée à l'issue d'une réunion à New York, les ministres des Affaires étrangères d'Allemagne, du Canada, de France, d'Italie, du Royaume-Uni et d'Ukraine ainsi que les représentants de la Corée du sud, des États-Unis et de la Suisse ont souligné "avec force que la saisie et la militarisation par la Russie de la centrale nucléaire de Zaporijjia sont la cause fondamentale des menaces actuelles sur les plans de la sûreté et de la sécurité nucléaires".
Le départ de feu qui s’est déclaré, mercredi après-midi, dans un atelier contenant de l’uranium a été éteint et aucune substance radioactive n’a été touchée par l’incendie, annonce l’Autorité de sûreté nucléaire.
Guerre en Ukraine: Kiev accuse Moscou d'avoir à nouveau bombardé la centrale nucléaire de Zaporijjia
(21/09) - AfpSelon Energoatom, l'opérateur nucléaire ukrainien, la centrale de Zaporijjia aurait été à nouveau bombardée par les Russes.
L'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom a accusé lundi la Russie d'avoir bombardé le site de la centrale de Pivdennonooukraïnsk, dans le sud du pays.
Pivdennonooukraïnsk L'opérateur nucléaire ukrainien Energoatom a accusé lundi la Russie d'avoir bombardé le site de la centrale de Pivdennonooukraïnsk, dans le sud du pays faisant craindre une nouvelle fois un incident nucléaire. "Le 19 septembre 2022, à 00H20 locales (21H20 GMT dimanche), l'armée russe a bombardé la zone industrielle de la centrale nucléaire de Pivdennonooukraïnsk", a indiqué Energoatom sur Telegram. "Une puissante explosion s'est produite à seulement 300 mètres des réacteurs", a-t-il précisé. "Actuellement, les trois réacteurs de la centrale fonctionnent en régime régulier", a assuré l'opérateur public selon lequel le bombardement n'a pas fait de morts ou de blessés.
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a adopté jeudi une résolution appelant la Russie à retirer ses soldats de la centrale ukrainienne de Zaporijjia, plusieurs fois cible de bombardements, ont déclaré des sources diplomatiques, une décision aussitôt saluée par Kiev. Les forces russes ont pris le contrôle de ce site nucléaire le 4 mars, peu après le début de leur invasion de l'Ukraine. Le texte, soumis par la Pologne et le Canada, a été approuvé par 26 des 35 États siégeant au Conseil, la Russie et la Chine ayant voté contre, a précisé un diplomate contacté par l'AFP.
L'Ukraine a annoncé dimanche la mise à l'arrêt du sixième et dernier réacteur en fonctionnement de la centrale nucléaire de Zaporijjia (Sud), la plus grande d'Europe et occupée par les forces russes. "Aujourd'hui, 11 septembre 2022, pendant la nuit à 03h41 (01h41 GMT) l'unité numéro 6 de la (centrale) a été déconnectée du réseau électrique", selon un communiqué de l'opérateur ukrainien Energoatom. "Des préparatifs sont en cours pour son refroidissement", ajoute l'opérateur.
Contrairement à ce que souhaite l’Allemagne, prolonger la durée de vie de deux centrales nucléaires du pays n’est pas acquis. Et c’est l’exploitant lui-même qui le dit.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a fait état vendredi d'une "coupure totale de courant" dans la ville ukrainienne d'Energodar, où est située la centrale nucléaire de Zaporijjia, une situation qui "compromet la sécurité des opérations". "C'est totalement inacceptable. Cela ne peut pas continuer", a déclaré dans un communiqué le directeur général, Rafael Grossi, appelant à "cesser immédiatement les bombardements dans la zone". Depuis des semaines, la confusion règne autour de la plus grande centrale d'Europe, occupée par les Russes, qui a été touchée par de multiples frappes dont Kiev et Moscou s'accusent mutuellement. "L'infrastructure électrique alimentant la ville a été détruite par des frappes au niveau de la centrale thermique, provoquant une coupure totale d'eau et d'électricité", a expliqué M. Grossi, informé par les deux experts de l'instance onusienne présents sur place.
Le patron de l'opérateur ukrainien de la centrale nucléaire de Zaporijjia, Petro Kotine, a dénoncé vendredi auprès de l'AFP des exactions perpétrées par les forces russes sur le personnel, évoquant des tortures, meurtres et enlèvements. "Avec l'occupation, un régime de harcèlement policier du personnel a été progressivement mis en place. La situation est aujourd'hui très difficile avec des tortures, des passages à tabac, des enlèvements", a déclaré M. Kotine dans une interview à l'AFP. Selon lui, deux personnes ont notamment été "battues à mort" par les forces russes, qui contrôlent cette centrale nucléaire, la plus grande d'Europe, depuis le mois de mars. "Un plongeur a été capturé, puis il s'est retrouvé à l'hôpital inconscient. Il est mort trois heures plus tard", tandis qu'un bombardement a tué un autre employé et un conducteur, poursuit-il. "Les Russes recherchent les pro-ukrainiens sur place et les persécutent. Les gens sont psychologiquement brisés", explique M. Kotine, à la tête de la
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) s'est prononcée en faveur de la mise en place d'une "zone de sécurité" pour empêcher un accident nucléaire à la centrale ukrainienne de Zaporijjia, occupée depuis six mois par les Russes et où elle juge la situation "intenable" en raison des bombardements. "Il est urgent de prendre des mesures", a estimé l'agence onusienne dans un rapport rendu public mardi, préconisant "l'établissement d'une zone de sécurité nucléaire et de protection" de ce complexe du sud de l'Ukraine.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) doit rendre mardi un rapport sur la situation de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les forces russes, déconnectée depuis lundi soir et qui fait planer un risque radiologique depuis des mois.
Deux centrales du sud du pays, Isar 2 (près de Munich) et Neckarwestheim 2 (dans le Bade-Wurtemberg, sud-ouest), resteront en veille pour faire face à toute situation d’urgence énergétique.
Le rapport de l'AIEA sur la centrale de Zaporijjia est sorti : "La situation actuelle est intenable"
(06/09) - AfpL'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a réclamé, dans un rapport publié mardi, la mise en place d'une "zone de sécurité" pour prévenir un accident nucléaire à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a réclamé, dans un rapport publié mardi, la mise en place d'une "zone de sécurité" pour prévenir un accident nucléaire à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes. "La situation actuelle est intenable", écrit l'instance onusienne dans ce texte de 52 pages. "Il est urgent de prendre des mesures provisoires", poursuit-elle, préconisant "l'établissement immédiat d'une zone de sécurité nucléaire et de protection". "Les bombardements sur le site et dans les environs doivent cesser tout de suite pour éviter de provoquer de nouveaux dommages aux installations", insiste l'AIEA, se disant "prête à démarrer les consultations". L'Agence note par ailleurs "les conditions extrêmement stressantes" dans lesquelles travaille le personnel ukrainien, sous le contrôle des troupes russes.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) s'est prononcée en faveur de la mise en place d'une "zone de sécurité" pour empêcher un accident nucléaire à la centrale ukrainienne de Zaporijjia, occupée depuis six mois par les Russes et où elle juge la situation "intenable". "Il est urgent de prendre des mesures provisoires", a estimé l'agence onusienne dans un rapport rendu public mardi, préconisant "l'établissement d'une zone de sécurité nucléaire et de protection" de ce complexe du sud de l'Ukraine.
Le dernier réacteur opérationnel de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), la plus grande d'Europe et occupée par les forces russes, a été débranché du réseau lundi, a indiqué l'opérateur d'Etat ukrainien Energoatom.
L'Allemagne va maintenir en veille jusqu'au printemps 2023 deux centrales nucléaires, une volte-face jugée nécessaire pour faire face à d'éventuelles pénuries énergétiques. Le gouvernement d'Olaf Scholz, au sein duquel siègent des écologistes, revient ainsi sur la fermeture définitive des trois dernières centrales allemandes prévue pour fin 2022, selon le calendrier de sortie du nucléaire décidé par Angela Merkel après la catastrophe de Fukushima.
Alors que la crise énergétique frappe de plein fouet les ménages, le gouvernement a assuré qu'il veut s'attaquer à ces surprofits.
Depuis des mois, la plus grande centrale nucléaire d’Europe est le théâtre d’affrontements entre les forces russes et ukrainiennes. Les deux camps s’accusent mutuellement de bombarder le site, faisant peser le risque d’une catastrophe nucléaire.
Le site continue cependant de fonctionner « grâce à une ligne de secours », a précisé l’Agence internationale de l’énergie atomique dans un communiqué publié samedi.
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes, a "de nouveau perdu la connexion" au réseau électrique, a annoncé samedi dans un communiqué l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) dont des experts se trouvent sur place. La dernière ligne encore en fonctionnement "a été endommagée", a expliqué l'AIEA, rappelant que les trois autres avaient été "perdues précédemment pendant le conflit".
La mission d'experts de l'AIEA a annoncé jeudi "rester" à la centrale ukrainienne de Zaporijjia après l'avoir inspectée, une mission à haut risque visant à éviter une catastrophe nucléaire sur ce site que les Russes, qui l'occupent, et les Ukrainiens s'accusent mutuellement de bombarder. "Nous avons accompli quelque chose de très important aujourd'hui. Et le plus important, c'est que l'AIEA reste ici. Faites savoir au monde que l'AIEA reste à Zaporijjia", a déclaré le directeur général de l'Agence internationale pour l'énergie atomique, Rafael Grossi, après une inspection de la centrale, selon une vidéo publiée par le média russe Ria-Novosti. Il n'a toutefois pas précisé combien de personnes resteraient, ni pour combien de temps.
L'"intégrité physique de la centrale" nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les troupes russes "a été violée", a déclaré jeudi le directeur de l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi après avoir inspecté cette installation.
L'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) aspire à "éviter un accident nucléaire" à la centrale de Zaporijjia (sud de l'Ukraine), occupée par les troupes russes, a déclaré son directeur général Rafaelo Grossi, qui est à la tête de la mission arrivée dans la zone mercredi. "C'est une mission qui cherche à éviter un accident nucléaire et à préserver cette importante centrale nucléaire, la plus grande d'Europe", a dit M. Grossi à la presse dans la ville de Zaporijjia, à environ 50 kilomètres à vol d'oiseau de la centrale. La mission d'inspection de l'AIEA menée par M. Grossi, reçue par le président ukrainien Volodymyr Zelensky la veille à Kiev, a quitté la capitale tôt mercredi matin. Selon l'agence russe TASS, citant un responsable prorusse, la délégation doit arriver à la centrale jeudi.
Emmanuelle Galichet, enseignante-chercheuse en physique nucléaire au CNAM, a répondu à vos questions sur la sûreté du site, avant une inspection de l’AIEA.
L’Agence internationale de l’énergie atomique va inspecter la centrale nucléaire de Zaporijjia, en Ukraine. Aujourd’hui sous contrôle russe, elle a été endommagée par la guerre, faisant craindre l’éventualité d’un grave accident.
Jeudi, la dernière ligne électrique haute tension reliant le site au réseau a été coupée. Le complexe, fragilisé par les défaillances, les bombardements, l’occupation militaire russe et la fatigue des personnels ukrainiens, est dans un état critique. Une mission de l’AIEA devrait arriver sur place dans les prochains jours.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a annoncé lundi matin être en route vers la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, cible ces dernières semaines de frappes faisant craindre le risque d'un accident majeur.
Les Russes savent-ils vraiment ce qu’ils font depuis cinq mois dans la plus grande centrale nucléaire d’Europe tournée en base militaire, autour de six réacteurs de 1 000 mégawatts chacun ?
Passée sous contrôle russe au début de la guerre en Ukraine, la plus grande centrale d’Europe reste au cœur des combats opposant les belligérants et attise la crainte d’une catastrophe nucléaire sur le continent.
L'opérateur des centrales nucléaires ukrainiennes Energoatom a annoncé que la centrale de Zaporijjia fonctionnait depuis samedi midi avec des risques de fuites et d'incendie, à la suite de bombardements dont Ukrainiens et Russes s'accusent mutuellement depuis plusieurs semaines.
Dans un message vidéo diffusé jeudi soir, le président ukrainien Volodimir Zelensky a évoqué les problèmes d'électricité auxquels est confrontée la centrale nucléaire occupée de Zaporijjia.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, sous occupation russe et dont le site a subi des bombardements, a été rebranchée au réseau électrique vendredi après une déconnexion la veille, a annoncé l'opérateur ukrainien Energoatom.
Au centre de toutes les inquiétudes en raison de bombardements, dont s’accusent mutuellement Russes et Ukrainiens, la centrale de Zaporijia s’est trouvée « totalement déconnectée » pendant plusieurs heures, jeudi 25 août, du réseau en raison de dommages sur les lignes électriques, causés par des incendies, a annoncé la compagnie d’Etat ukrainienne Energoatom. Sur les derniers incidents qui ont eu lieu à la centrale nucléaire de Zaporijia, notre journaliste Emmanuel Grynszpan a répondu à vos questions.
La centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, sous contrôle russe et victime de plusieurs bombardements, est "totalement déconnectée" du réseau après l'endommagement des lignes de communication, a annoncé jeudi l'opérateur ukrainien Energoatom.
Six mois après le début de l’invasion russe, Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire, et notre journaliste Emmanuel Grynszpan ont répondu à vos questions.
L’occupation militaire russe du site nucléaire de Zaporijia est une situation inédite qui soulève - à juste titre - de nombreuses craintes au plan international. Le site au bord du Dniepr est équipé de 6 réacteurs à eau sous pression du concept russe VVER, de 1000 MWe par unité. Seules deux de ces centrales seraient en fonctionnement, les réacteurs étant pilotés par le personnel ukrainien sous la contrainte militaire russe. Des bombardements et des tirs de roquettes auraient eu lieu à proximité du site et des lignes de haute tension. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), incapable d’inspecter le site, éprouve beaucoup d’inquiétude et juge la situation d’une extrême gravité. Stockage d’armement lourd et de munitions y compris dans les bâtiments sont contraires à toutes les conventions internationales.
Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure".
La communauté internationale a le regard tourné vers Zaporijjia, où Russes et Ukrainiens s’affrontent depuis des semaines près de la plus grande centrale nucléaire d’Europe. Cette situation tendue fait courir plusieurs risques nucléaires que tous les belligérants et leurs soutiens souhaitent éviter. France 24 fait le point sur les scénarios possibles.
Le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, a demandé vendredi à la Russie de ne pas couper la centrale nucléaire de Zaporijjia, qu’elle contrôle, du réseau ukrainien, au moment où Kiev et Moscou s’accusent mutuellement de dangereux bombardements du site.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé jeudi l'ONU à "assurer la sécurité" de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par la Russie et visée par plusieurs bombardements, en recevant le secrétaire général Antonio Guterres. M. Zelensky a dénoncé sur Telegram la "terreur délibérée" provoquée par la Russie, qui "peut avoir des conséquences catastrophiques majeures pour le monde entier". "L'ONU doit donc assurer la sécurité de ce site stratégique, sa démilitarisation et sa libération complète des troupes russes", a-t-il ajouté.
Le secrétaire général de l'ONU a averti jeudi que tout dégât à la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine serait un "suicide", alors que le président turc Recep Tayyip Erdogan a dit craindre un "nouveau Tchernobyl", lors d'une rencontre à Lviv avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. "Nous devons dire les choses telles qu'elles sont: tout dégât potentiel à Zaporijjia serait un suicide", a déclaré Antonio Guterres, appelant une nouvelle fois à "démilitariser" la centrale, occupée par l'armée russe. Se disant "gravement préoccupé" par la situation dans la plus grande centrale nucléaire d'Europe, il a appelé à ne pas l'utiliser "pour quelque opération militaire que ce soit". De son côté, le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé le soutien de la Turquie à l'Ukraine et s'est alarmé du danger d'un "nouveau Tchernobyl", en référence au plus important accident nucléaire civil.
Jeudi 18 août, le ministre de la Défense russe, Sergueï Choïgou, a déclaré qu’il envisageait d’arrêter la centrale nucléaire de Zaporijjia à cause du danger représenté par les frappes ukrainiennes. Une accusation dont se défend Kiev, qui accuse Moscou d’utiliser la centrale comme une base pour ses bombardements.
L'Ukraine doit se préparer à "tous les scénarios" à la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les troupes russes et visée par des bombardements répétés, a averti mercredi le ministre ukrainien de l'Intérieur.
Les dérogations environnementales accordées aux centrales nucléaires du Blayais (Gironde), du Bugey (Ain), de Golfech (Tarn-et-Garonne) et de Saint-Alban (Isère) en cette période de sécheresse, qui devaient expirer le 8 août, ont été prolongées jusqu’au 11 septembre. Elles ont aussi été étendues à la centrale nucléaire du Tricastin (Drôme), a rapporté Actu-environnement mardi 16 août.
Le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, a jugé mercredi "urgent" qu'une " "inspection" de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ait lieu à la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, sous contrôle russe et autour de laquelle frappes et affrontements se multiplient.
Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou et le chef de l'ONU Antonio Guterres ont évoqué lundi par téléphone la sécurité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, sous contrôle de Moscou dans le sud de l'Ukraine, où elle est visée par des bombardements. "Sergueï Choïgou a mené des négociations téléphoniques avec le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, concernant les conditions d'un fonctionnement sécurisé de la centrale nucléaire de Zaporijjia", a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué. La centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, avait été prise début mars par les troupes russes, au début de leur offensive à grande échelle en Ukraine, lancée le 24 février.
Les risques autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, où Moscou et Kiev s'accusent depuis plus d'une semaine de bombardements, "augmentent chaque jour", a assuré dimanche le maire de la ville où elle est située. "Les risques augmentent chaque jour", a déclaré par téléphone à l'AFP Dmytro Orlov, le maire d'Energodar, dénonçant un "terrorisme nucléaire pur et simple" de la Russie, qui "peut se terminer de façon imprévisible à n'importe quel moment".
Dans une déclaration commune, quarante-deux pays, dont la Belgique, demandent dimanche à la Russie de retirer ses troupes de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine.
Kiev et Moscou ont de nouveau échangé samedi des accusations de tirs sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, occupée par la Russie et visée à plusieurs reprises depuis une semaine.
Kiev et Moscou ont de nouveau échangé samedi des accusations de tirs sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, occupée par la Russie et visée à plusieurs reprises depuis une semaine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé jeudi la communauté internationale à "réagir immédiatement" pour faire partir les Russes de la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée et cible de bombardements.
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La situation est très tendue autour de la centrale depuis plusieurs jours.
Alors que les autorités russes et ukrainiennes continuent de se renvoyer la balle, la communauté internationale s’inquiète de la situation autour de la centrale de Zaporijjia. Les États-Unis, soutiens de Kyiv, appellent à créer une «zone démilitarisée».
Les bombardements ont continué dans la nuit de mercredi à jeudi sur la ligne de front en Ukraine, y compris non loin de la centrale nucléaire de Zaporijjia qui sera dans la journée au menu d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU.
De nouvelles frappes d'artillerie ont visé jeudi le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Ukraine et d'Europe, a affirmé un responsable de l'occupation prorusse, accusant les forces de Kiev d'avoir tiré.
Kiev et Moscou se sont accusés jeudi de nouveaux bombardements à la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Ukraine et d'Europe, occupée par la Russie, l'opérateur ukrainien évoquant "cinq frappes" près d'un dépôt de substances radioactives. "Cinq nouvelles frappes ont été signalées à proximité directe d'un dépôt de substances radioactives", a indiqué la société d'Etat ukrainienne Energoatom, en accusant les forces russes.
Kiev et Moscou s’accusent mutuellement de nouvelles frappes sur le site de la centrale ukrainienne, passée sous contrôle russe. L’Agence internationale de l’énergie atomique tente depuis des semaines d’envoyer une mission pour inspecter le complexe.
Les forces russes qui occupent la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia préparent son raccordement à la Crimée, presqu'île annexée par Moscou en 2014, et l'endommagent en procédant à cette réorientation de la production électrique, a alerté mardi l'opérateur ukrainien, Energoatom. "Les militaires russes présents dans la centrale nucléaire de Zaporijjia mettent en oeuvre le programme de (l'opérateur russe) Rosatom visant à raccorder la centrale aux réseaux électriques de Crimée", a dit le président d'Energoatom, Petro Kotin, à la télévision ukrainienne. "Pour ce faire, il faut d'abord endommager les lignes électriques de la centrale reliées au système énergétique ukrainien. Du 7 au 9 août, les Russes ont déjà endommagé trois lignes électriques. En ce moment, la centrale fonctionne avec une seule ligne de production, ce qui est un mode de travail extrêmement dangereux", a-t-il ajouté.
Le groupe des pays les plus industrialisés du G7 a accusé mercredi Moscou de "mettre en danger" la région ukrainienne autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les troupes russes, et demandé la restitution de la centrale à l'Ukraine. "Nous exigeons que la Russie rende immédiatement à son propriétaire souverain légitime, l'Ukraine, le contrôle total de la centrale nucléaire de Zaporijjia", écrit le G7 dans un communiqué publié par l'Allemagne, qui en assure la présidence. "C'est le contrôle continu de la centrale par la Russie qui met la région en danger", assure le groupe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a brandi lundi le spectre de la catastrophe de Tchernobyl et appelé à de nouvelles sanctions contre la Russie, suite à de nouvelles frappes à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia occupée par les Russes. "Le monde ne doit pas oublier Tchernobyl et le fait que Zaporijjia est la plus grande centrale d'Europe. La catastrophe de Tchernobyl (en 1986), c'est l'explosion d'un réacteur et la centrale de Zaporijjia est dotée de six réacteurs", a-t-il déclaré lundi soir dans son adresse vidéo quotidienne.
Les combats ont repris autour de l’installation occupée par l’armée russe dans l’est du pays. Kiev n’entend pas laisser Moscou utiliser la peur d’une catastrophe nucléaire comme bouclier tactique.
Le projet de centrale nucléaire EPR au Royaume-Uni Sizewell C, porté par EDF, est contesté par un groupement d'opposants qui décrient son impact sur l'environnement et devraient porter l'affaire en justice. L'organisation Together Against Sizewell C (TASC, ensemble contre Sizewell C) invoque notamment un approvisionnement en eau insuffisant pour refroidir la centrale sur le lieu prévu de construction, dans le Suffolk, à l'est du Royaume-Uni.
Le patron de l'agence nucléaire ukrainienne Energoatom a appelé lundi à la création d'une "zone démilitarisée" sur le site de la centrale nucléaire de Zaporijjia, touché par des bombardements pour lesquels Kiev et Moscou s'accusent. "Ce qui doit être fait, c'est faire sortir les occupants du territoire de la centrale et créer une zone démilitarisée", a déclaré Petro Kotine dans une vidéo publiée sur la page Telegram d'Energoatom.
Les Etats-Unis ont appelé lundi la Russie à cesser toute activité militaire dans et autour des centrales nucléaires en Ukraine dont celle de Zaporijjia, la plus grande d'Europe et tenue par l'armée russe. "Nous continuons à appeler la Russie à cesser toutes ses opérations militaires dans et autour des centrales nucléaires ukrainiennes et à en redonner le contrôle à l'Ukraine", a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean Pierre, lors d'un point presse à bord d'Air Force One. "Combattre autour d'une centrale nucléaire est dangereux", a-t-elle dit tout en soulignant que, selon les données recueillies, "heureusement, nous n'avons aucune indication d'une augmentation anormale des niveaux de radioactivité".
Alors que Kyiv et Moscou se renvoient la responsabilité des frappes, l’Agence internationale de l’énergie atomique s’alarme d’un «vrai risque réel de catastrophe nucléaire» dans le sud de l’Ukraine.
Le secrétaire général de l'ONU a qualifié lundi de "suicidaire" toute attaque contre des centrales nucléaires et a appelé à l'arrêt des opérations militaires autour de celle de Zaporijjia, en Ukraine, afin que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) puisse y accéder.
Le Kremlin a accusé lundi les forces de Kiev d'être responsables du bombardement de la plus grande centrale nucléaire d'Ukraine et d'Europe et mis en garde contre des "conséquences catastrophiques" pour l'Europe. Le bombardement du site de la centrale nucléaire de Zaporijjia "par les forces armées ukrainiennes" est "potentiellement extrêmement dangereux" et "pourrait avoir des conséquences catastrophiques pour une vaste zone, y compris pour le territoire européen", a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
L'un des réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, sous le contrôle des forces russes, a été arrêté, a annoncé samedi la compagnie ukrainienne de l'énergie atomique, après des frappes dont Kiev et Moscou s'accusent mutuellement. "A la suite de l'attaque de la centrale nucléaire de Zaporijjia, le système de protection d'urgence s'est déclenché sur l'un des trois réacteurs en état de marche, qui s'est éteint", a annoncé Energoatom dans un message sur Telegram. Selon cette source, les bombardements ont "gravement endommagé" une station renfermant de l'azote et de l'oxygène et un "bâtiment auxiliaire". "Il existe toujours des risques de fuite d'hydrogène et de substances radioactives, et le risque d'incendie est également élevé", a-t-elle dit. "Le bombardement (...) a causé un risque sérieux pour le fonctionnement en toute sécurité de la centrale", a poursuivi Energoatom, indiquant toutefois qu'elle continue de produire de l'électricité et que le personnel ukrainien cont
L'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) a jugé samedi "de plus en plus alarmantes" les informations venant de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, au lendemain de frappes à proximité.
Le chancelier allemand a évoqué, mercredi, la poursuite de l’exploitation des trois dernières centrales en activité, alors que l’Allemagne craint une crise énergétique, en partie privée du gaz russe.
La France fait face à son troisième épisode caniculaire de l'été, qui a débuté lundi, dans le sud du pays. La hausse du thermomètre pèse sur la production électrique nucléaire, très dépendantes de l'eau. Une dérogation temporaire aux règles environnementales avait déjà été accordée à quatre centrales en juillet. Faut-il, dès lors, s’inquiéter d'impacts écologiques et de la sécurité nucléaire ? Analyses croisées.
Selon le patron de l’Agence internationale de l’énergie atomique, tous les principes de sûreté auraient « été violés » à la centrale, sous contrôle des Russes depuis mars.
Une évaluation sur la sécurité de l'approvisionnement en Allemagne devrait montrer si une prolongation de l'activité de la centrale s'impose ou non.
Pour assurer l'approvisionnement électrique du pays, 4 centrales nucléaires françaises, dont celle de Golfech, ont été autorisées à déroger aux règles environnementales encadrant leurs rejets d'eau chaude. Cette décision pourrait impacter la biodiversité aquatique.
À Zaporijjia, ville située dans le sud de l'Ukraine, la plus grande centrale nucléaire d'Europe sert de base militaire aux forces russes, selon Kiev. De son côté, Moscou accuse l'Ukraine de faire planer un risque de catastrophe nucléaire. Un reportage de nos envoyés spéciaux, Ludovic de Foucaud et Gulliver Cragg.
Entre maintenance et canicule, la centrale du Tarn-et-Garonne fonctionne a minima: un réacteur est arrêté pour inspection corrosion, l’autre tourne au ralenti depuis que le fleuve qui assure son refroidissement a dépassé les 28 degrés. Une illustration des problèmes inédits que rencontre le parc nucléaire d’EDF.
Pour assurer l'approvisionnement électrique du pays, les centrales nucléaires de Blayais, Bugey, Golfech et Saint-Alban ont été autorisées à déroger aux règles environnementales encadrant leurs rejets d'eau chaude jusqu’au 24 juillet. Cette décision pourrait impacter la biodiversité aquatique.
Lanceur d’alerte et ancien membre de l’équipe de direction de la centrale nucléaire du Tricastin, Hugo appelle dans une tribune au « Monde » à l’urgence d’un « dialogue transparent » pour bâtir ensemble un plan de renforcement de la sûreté nucléaire en France, à l’heure où « la situation énergétique de notre pays n’aura jamais été aussi critique ».
Une équipe internationale, dirigée par Greenpeace Allemagne, étudie la radioactivité autour de la centrale nucléaire de Tchernobyl après l'occupation du site par les forces russes en mars 2022, indique lundi l'ONG de défense de l'environnement.
Une dérogation temporaire aux règles environnementales a été accordée à une quatrième centrale nucléaire, celle du Bugey, dans l'Ain, pour lui permettre de continuer à fonctionner "à un niveau minimal de puissance" pendant la canicule, selon un arrêté publié dimanche au Journal Officiel.
L'armée russe a déployé des lanceurs de missiles sur le site de la centrale nucléaire de Zaporijjia (sud), sous contrôle des Russes depuis début mars, grâce auxquels elle pilonne notamment la région de Nikopol, a affirmé vendredi le patron d'Energoatom, l'opérateur ukrainien.
Une dérogation temporaire aux règles environnementales a été accordée pour permettre à trois centrales nucléaires de continuer à fonctionner "à un niveau minimal de puissance" pendant la canicule, ont indiqué EDF, RTE, l'ASN et le ministère de la Transition énergétique vendredi.
La sécurité de l’approvisionnement électrique plutôt que la protection des poissons. C’est en substance ce qu’a choisi le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE en demandant à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) d’autoriser le fonctionnement de trois centrales nucléaires même en cas de dépassement de la température réglementaire des rivières situées à proximité, selon le média Montel. Cette décision intervient alors que la France traverse son pire épisode de canicule depuis 2003.
Les modèles employés jusqu’à aujourd’hui pour estimer ce risque comportent des failles, estime une équipe de chercheurs franco-québécoise.
Le retour attendu des hautes températures va mettre au défi l’incessant besoin de refroidissement par l’eau des réacteurs nucléaires. EDF assure être prêt, mais plusieurs centrales sont déjà sous haute surveillance.
Les autorités égyptiennes ont délivré un permis au géant du nucléaire russe Rosatom pour lancer la construction de la première centrale nucléaire de production électrique du pays.
Le groupe énergétique suédois Vattenfall a annoncé mardi envisager la construction de petits réacteurs nucléaires en Suède afin de répondre à une demande croissante en électricité, signalant une possible relance de l'atome dans le pays nordique. Le groupe détenu par l'Etat suédois a lancé "une étude pilote" portant sur la construction d'au moins deux petits réacteurs modulaires à la centrale nucléaire de Ringhals, dans le sud-ouest du pays, indique-t-il dans un communiqué.
D’ici 2027, l’Union européenne devra être capable de se passer totalement du pétrole et du gaz russes dont nous sommes pour l’instant profondément dépendants. C’est en tout cas l’objectif du plan REPowerEU, présenté récemment par la Commission européenne.
Le commissaire européen au marché intérieur Thierry Breton a appelé samedi, sur l'antenne de la radio France Inter, le gouvernement allemand à "sortir de l'idéologie" et à prolonger d'"un an ou deux" l'exploitation des trois dernières centrales nucléaires du pays, dont la fermeture est prévue d'ici à la fin de cette année.
L'Autorité de sûreté nucléaire a de nouveau épinglé la centrale nucléaire de Gravelines (Nord), la plus puissante d'Europe occidentale, pour ses performances en 2021 en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection.
Pas à pas, la Russie ne cesse de diminuer ses livraisons en gaz vers l’Europe. Pour l’Agence internationale de l’énergie (AIE), cela pourrait se terminer par une fermeture complète du robinet. Son patron distille ses conseils pour éviter le pire.
Inattaquable à cause du risque d’accident nucléaire majeur, le site « sanctuarise » l’occupation russe dans le sud du pays.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) "travaille activement" pour organiser une visite à la centrale nucléaire de Zaporijjia (sud), à laquelle l'Ukraine s'est de nouveau opposée jeudi tant que le site est occupé par les Russes. "Il ne s'agit pas de vouloir ou souhaiter cette mission, c'est une obligation du côté de l'Ukraine comme du côté de l'AIEA", a déclaré le directeur général de l'instance onusienne, Rafael Grossi, devant le Conseil des gouverneurs réuni cette semaine au siège de Vienne. Selon lui, "la situation actuelle est intenable", alors que des travaux de maintenance essentiels sont sans cesse repoussés, que l'équipement vital n'est pas délivré et que le risque d'un accident augmente. Le chef de l'Agence a également exprimé "sa vive inquiétude quant aux conditions de travail extrêmement stressantes" endurées par le personnel ukrainien.
Des incidents à la centrale nucléaire de Tricastin (Drôme) ont-ils été dissimulés ? Une juge d'instruction de Marseille mène des investigations autour de soupçons d'"obstacle au contrôle des enquêteurs" et "mise en danger d'autrui", après les accusations d'un ancien cadre d'EDF.
L'entreprise estime que la démolition des cinq réacteurs nucléaires les plus anciens et les investissements supplémentaires dans Doel 4 et Tihange 3 comportent des risques financiers trop importants.
Le groupe finlandais Fennovoima a annoncé mardi le retrait de sa demande de permis pour un réacteur nucléaire en Finlande, trois semaines après avoir rompu son contrat avec le géant russe Rosatom du fait de la guerre en Ukraine.
La Russie veut couper l'Ukraine de sa centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, occupée par l'armée russe, sauf si Kiev paye Moscou pour l'électricité produite, a indiqué un vice-Premier ministre, Marat Khousnoulline. Cette déclaration rejoint celle d'autres responsables russes ces dernières semaines qui laissent entendre que la Russie prépare une occupation durable voire une annexion des zones du sud de l'Ukraine qu'elle contrôle, la région de Kherson et une importante partie de celle de Zaporijjia.
Pour rappel, l'énergie nucléaire compte pour près de 10% de la production mondiale d'électricité. L’AIEA fait actuellement état de 32 pays disposant de réacteurs nucléaires en opération (441 au total dans le monde). Un seul d’entre eux est situé sur le continent africain : l’Afrique du Sud dont la centrale de Koeberg (située près du Cap, 1 854 MW de capacité installée) a produit près de 5,9% de la production nationale d’électricité en 2020 selon les dernières données de l’AIEA(3). D’autres pays africains envisagent toutefois également de construire des réacteurs nucléaires, à l'image du Kenya (pays voisin de l'Ouganda)(4), du Nigéria ou encore de l'Égypte.
EDF a très légèrement baissé la production sur l'un des réacteurs nucléaires de sa centrale du Blayais (Gironde) en raison de la vague de chaleur, une mesure inhabituelle au printemps, a-t-on appris mercredi auprès de l'entreprise. La puissance de l'un des quatre réacteurs de 900 MW a été réduite de 100 MW "pendant quelques heures" dans l'après-midi du lundi 9 mai, a indiqué une porte-parole de l'entreprise à l'AFP. Cela afin de "respecter les limites réglementaires" concernant la température des cours d'eau. Les réacteurs nucléaires pompent de l'eau dans les cours d'eau ou les mers pour leur refroidissement, et rejettent de l'eau réchauffée, des rejets soumis à des limites de température pour préserver la faune et la flore aquatiques. La centrale du Blayais est au bord de la Garonne.
Avant le début de l'offensive russe en Ukraine, cette centrale avait une capacité de 5 700 mégawatts, soit de quoi couvrir plus de 20% des besoins du pays en électricité.
Black-out à la centrale nucléaire du Bugey (Ain). Depuis vendredi 29 avril et jusqu’à ce lundi 2 mai au moins, les quatre réacteurs de 900 mégawatts (MW) du site sont à l’arrêt. « Du jamais vu. Le site ne produit donc plus d’électricité mais en consomme [la production de] 94 MW pour le refroidissement des réacteurs arrêtés », indique Joël Guerry, du collectif Sortir du nucléaire Bugey, dans un communiqué diffusé samedi 30 avril.
La Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité (Criirad) a appelé mercredi à une "expertise approfondie" sur le niveau de radioactivité de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, en critiquant les méthodes de l'AIEA. Lors d'une visite sur le site de la centrale, le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a estimé mardi que le niveau de radioactivité était "dans la normale" en précisant que les niveaux avaient "augmenté à certains moments, quand les Russes amenaient dans la zone de l'équipement lourd et quand ils sont partis" après avoir occupé la centrale entre le 24 février et le 31 mars.
Ce 21 avril 2022, l’ASN a annoncé que le réacteur 3 de la centrale nucléaire de Cattenom, en Moselle, avait été arrêté en mars 2022 à la demande du Luxembourg voisin, pour vérifier qu’il n’était pas touché par le soucis de corrosion sous contrainte et les risques de fissures sur le système de sécurité du circuit primaire qu’il provoque. Ce défaut générique a déjà provoqué la fermeture de 11 réacteurs du parc nucléaire d’EDF, la plupart des deux dernières générations (de 1450 MW et 1300 MW), et pourrait toucher également les réacteurs plus anciens (900 MW).
Les ouvriers mesurent la radioactivité de chaque objet, chaque mètre carré de mur... Vingt-cinq réacteurs nucléaires sont en train d’être démantelés en Allemagne. À Rheinsberg, le chantier dure depuis déjà vingt-sept ans.
Du 24 février au 1er avril, la centrale de Tchernobyl est passée aux mains des Russes. Les troupes de Vladimir Poutine ont pris en otage les 200 employés de la centrale ainsi que les 150 membres de la sécurité. Parmi eux, il y avait Valery Semenov, l'ingénieur en chef de la centrale nucléaire, qui raconte l'enfer qu'il a vécu à nos confrères de BFM TV.
Il est "totalement inacceptable" que de nouvelles subventions soient octroyées à une nouvelle centrale électrique au gaz de Seraing, a réagi, dans la nuit de mercredi à jeudi, avec "colère" le groupe de citoyens Dégaze/Tegengas.
Le Luxembourg a réclamé jeudi des explications à l'Autorité de sûreté nucléaire française après l'arrêt d'un réacteur de la centrale de Cattenom, localisée non loin de sa frontière, et la découverte, selon la presse spécialisée, de "fissures de corrosion". Les ministres luxembourgeois Carole Dieschbourg (Environnement) et Claude Turmes (Energie) ont écrit au régulateur français pour "exiger au plus vite tous les détails et les résultats des analyses effectuées par EDF", l'exploitant de la centrale, a indiqué dans un communiqué le gouvernement du Grand-Duché. Les deux ministres ont réagi à un article du site d'informations Montel, spécialisé dans l'énergie, qui a rapporté la détection de "fissures au niveau des soudures du circuit d'injection de sécurité" sur le réacteur numéro 3 de Cattenom, "en arrêt forcé depuis le 26 mars", précise le communiqué.
Le chef de l'AIEA se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, a annoncé l'instance onusienne mardi. "Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, cité dans un communiqué de l'AIEA.
La construction et la mise en service de ces centrales prennent trop de temps, et nous n'avons pas ce temps-là. Par Naomi Oreskes le 1 février 2022 dans Scientific American. L'exercice a donné lieu à de bonnes et de mauvaises nouvelles. La mauvaise nouvelle est qu'il sera très difficile de maintenir l'augmentation de la température en dessous de 2° C et qu'il sera probablement impossible de la maintenir en dessous de 1,5°. La bonne nouvelle est que ce défi peut être relevé si nous mettons en œuvre un large éventail de solutions, dont les plus importantes sont la suppression des subventions aux combustibles fossiles et la fixation d'un prix élevé pour le carbone.
Le gouvernement de Prague a pour objectif de faire passer la part de l'énergie nucléaire dans la production d'électricité d'environ un tiers à plus de la moitié d'ici 2040.
Le directeur général de l'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN) qui préside également le réseau des autorités de sûreté nucléaire d'Europe de l'Ouest (Wenra), s'inquiète de la "fragilisation" de la sûreté nucléaire dans l'Ukraine en guerre. "La première question me paraît être la fragilisation de la sûreté, que ce soit à cause des coupures d'alimentation électrique ou à cause des difficultés éprouvées par les personnels pour exercer leur mission" estime Olivier Gupta dans un entretien au quotidien économique français Les Echos daté de lundi.
Des responsables du géant du nucléaire russe, Rosatom, sont arrivés vendredi à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporojie, bombardée le 4 mars et occupée depuis par les Russes, se disant là pour vérifier le niveau de radiation, a indiqué l'agence nucléaire ukrainienne Energoatom.
Le réacteur nucléaire finlandais EPR d'Olkiluoto-3 a été mis en service pour la première fois samedi, a annoncé l'exploitant de la centrale. La production d'électricité de l'EPR finlandais, construit par le consortium Areva-Siemens, débute douze ans après la date de mise en service prévue initialement. "Aujourd'hui samedi 12 mars 2022 à 10H00 GMT, le réacteur a été connecté au réseau national à un niveau de 103 MW", a annoncé l'exploitant TVO dans un communiqué.
La guerre en Ukraine révèle les effets "délétères" du projet européen de labellisation verte, a estimé jeudi l'ONG Reclaim Finance, en prenant pour exemples le gaz et le nucléaire, deux énergies fossiles susceptibles d'être étiquetées comme "vertes" par l'Union européenne. "La taxonomie de l'UE encourage la construction de centrales à gaz qui maintiendraient ou augmenteraient la dépendance gazière de l'Union" vis-à-vis de "régimes autoritaires comme la Russie", a estimé dans un communiqué Reclaim Finance.
Après la centrale nucléaire de Zaporojie, c'est au tour de Tchernobyl de concentrer les inquiétudes en Ukraine. Selon les experts toutefois, la coupure d'électricité annoncée mercredi ne pose "pas de risque majeur sur la sécurité".
Tchernobyl, puis Zaporijjia. La Russie a pris possession de ces centrales ukrainiennes. Face aux futures pénuries, l’énergie atomique, très vulnérable en cas de conflit, n’est pas la solution pour la France, selon Stéphane Lhomme, directeur de l’Observatoire du nucléaire.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé vendredi Moscou de recourir à "la terreur nucléaire" et de vouloir "répéter" la catastrophe de Tchernobyl, après le bombardement d'une centrale nucléaire dans le centre de l'Ukraine, en pleine invasion russe.
A la suite d'un bombardement des forces russes sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, un incendie s'est déclaré", a indiqué ce porte-parole, Andreï Touz, dans une vidéo publiée sur le compte Telegram de la centrale. "Les pompiers ne peuvent pas atteindre le lieu du feu et l'éteindre. Les tirs tombent très près. La première unité électrique de la centrale a déjà été touchée. Arrêtez ça!", a-t-il poursuivi dans une autre vidéo. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a exhorté la Russie à cesser de viser cette centrale, qui compte six réacteurs nucléaires et fournit une grande partie de l'énergie du pays.
Aujourd’hui, les centrales nucléaires reposent sur des infrastructures informatiques, si bien qu'on s'expose à un type de "danger" inaugural : les cyberattaques. Ce danger ne constitue pas un argument définitif à l’encontre de l’énergie nucléaire — loin de là ! Mais dans un contexte où le spectre de la guerre plane sur l'Europe, il semble légitime de garder toutes les dérives à l’esprit.
Compte tenu de l'attaque de la centrale ukrainienne de Zaporijjia par l'armée russe, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a fait le point sur la situation dans une conférence de presse ce vendredi matin.
Des diplomates russes à Vienne ont informé le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, de l'évolution de la situation en Ukraine. Selon la lettre de l'ambassade de Russie à l'AIEA, le personnel de la centrale nucléaire de Zaporijia continue d'assurer un fonctionnement normal des installations. Les niveaux de radiation y sont normaux, d'après ces mêmes informations.
Un avion-cargo russe transportant du combustible nucléaire destiné à deux centrales nucléaires slovaques est arrivé mardi en Slovaquie, même si ce pays membre de l'UE a fermé l'espace aérien aux avions russes, a annoncé le ministère slovaque de l'Economie.
L'Ukraine a dit vendredi avoir enregistré des données de radiation préoccupantes à la centrale accidentée de Tchernobyl, tombée aux mains de l'armée russe la veille, Moscou affirmant pour sa part que tout y était sous contrôle. "Il y a eu une hausse des indicateurs au-delà des niveaux de contrôle à 03H20 (02H20 heure belge vendredi)", a indiqué à l'AFP le directeur-adjoint du département ukrainien pour les questions de sécurité des installations nucléaires, Alexandre Grigorach. "Mais on ne peut pas vérifier, car tout le personnel a été évacué", a-t-il indiqué, joint par téléphone.
Des gisements en déclin Les 8000 tonnes annuelles d’uranium, qui alimentent les centrales de l’Hexagone, sont extraites principalement au Niger, au Canada et au Kazakhstan. Dans ce contexte, la faillite de l’action Barkhane au Mali sonne comme un signal d’alarme inquiétant. La force russe Wagner, stationnée au Sahel, se trouve à une portée d’obus des mines d’uranium du Niger. De son côté, la Chine grignote de plus en plus l’hégémonie de la France-Afrique. Pour garder la face, Paris a dû s’engager à livrer à Pékin, une partie de la production nigérienne d’uranium. Au Kazakhstan, inutile de rappeler les événements du début d’année et la franche camaraderie avec Vladimir Poutine. Le Kazakhstan est le premier producteur mondial d’uranium et le lien, qui relie les 56 réacteurs français à cette manne, ne tient qu’à la volonté du président russe. Combien de temps encore le Mali et le Kazakhstan seront d’accord et capables de livrer leurs trésors à la France? La question reste ouverte. Du côté géologique, le Niger a
Le problème de corrosion sous contrainte que rencontre EDF n'a pas de précédent, dans aucune autre centrale nucléaire dans le monde. Le groupe va élargir ses contrôles à « l'ensemble des circuits auxiliaires du circuit primaire » de ses réacteurs.
Un ancien membre de la direction de la centrale nucléaire du Tricastin (Drôme) dénonce une « politique de dissimulation et de minimisation » des incidents de sûreté. Et assure qu’on l’a forcé à se taire.
Après un premier article « Les centrales nucléaires vont-elles résister au changement climatique ? » , voici notre deuxième article sur la sûreté par Michaël Mangeon, chercheur associé EVS – Environnement Ville Société (UMR 56000).
Cependant, au fur et à mesure que la question du mix électrique prend de l’ampleur dans le débat public, est régulièrement posée la question légitime de savoir si les centrales nucléaires sont compatibles avec notre futur climat. En effet, comme tout projet d’infrastructure, il se doit d’être compatible avec les conditions climatiques qu’il pourra rencontrer au cours de sa durée de vie.
Au milieu des tonnes de charbon dont il a la charge, Sylvain Krebs avoue avoir un "petit pincement au cœur" devant une page de l'histoire de la Moselle qui se tourne avec la fermeture annoncée, le 31 mars, de la centrale de Saint-avold. En attendant sa mise à mort, cette centrale -l'une des deux dernières fonctionnant au charbon sur le sol français avec celle de Cordemais (Loire-Atlantique)-, tourne pourtant à plein régime afin de pallier l'arrêt impromptu de plusieurs réacteurs nucléaires d'EDF.
EDF a annoncé avoir décelé un nouveau problème sur ses centrales nucléaires alors que la France compte déjà 11 centrales à l’arrêt sur un parc de 56 réacteurs. Il est probable que l’entier du parc français soit contaminé par cette défaillance. Ainsi EDF pourrait devoir arrêter, à tour de rôle, chacun des 56 réacteurs pour un minimum de 5 semaines. Ce problème avait déjà été décelé lors de contrôles effectués tous les 10 ans.
La France avec ses 18 centrales et 56 réacteurs reste le pays au monde le plus dépendant de l'énergie nucléaire pour sa production électrique. Tour d'horizon du nucléaire français et de ses enjeux:
Le gouvernement assouplit les règles d’émission de carbone des centrales à charbon pour fournir la France en électricité cet hiver en raison d’un parc nucléaire diminué par les maintenances et les soucis techniques.
La Commission européenne a annoncé, mercredi, la création d'un label "vert" controversé reconnaissant, sous certaines conditions, la contribution des centrales nucléaires et au gaz à la lutte contre le changement climatique. Certains pays-membres ont toutefois critiqué la mesure, notamment l’Autriche.
Le parc nucléaire a particulièrement bien "tourné" l'an dernier, avec plus de 90% de disponibilité. Il n'y a eu que deux courts arrêts non planifiés, fait savoir Le Soir dans son édition de samedi. En 2021, la Belgique a pu compter sur ses centrales 90% du temps
Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas ! EDF le géant électrique français accumule les revers comme un aimant une boite d’aiguilles. Du côté des bonnes nouvelles, on note en vrac: l’EPR de Flamanville accuse un nouveau retard de 12 mois pendant que la facture va atteindre les €12,7 milliards. La centrale de 3,5 milliards devait entrer en fonction en 2012. A cause de révisions et de problèmes, 10 réacteurs sur 56 sont à l’arrêt. Ca tombe mal, janvier et février sont les mois les plus gourmands en électricité. Des problèmes de corrosion ont été découverts dans une série de 5 réacteurs. On ne sait pas si d’autres unités sont touchés.
Toutes les activités de la filière nucléaire ne sont pas reconnues dans la liste des investissements pouvant bénéficier des avantages de la finance verte (taxonomie de l'UE). Sont concernés la construction de nouvelles centrales pour la production d'électricité et les travaux pour la prolongation de centrales existantes, ainsi que la recherche en vue du développement de technologies minimisant les déchets.
Un réacteur nucléaire de la centrale de Penly (Seine-Maritime) est également concerné par un problème de corrosion sur un système de sécurité déjà détecté sur quatre autres réacteurs EDF actuellement à l'arrêt, a indiqué à l'AFP l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
Les centrales nucléaires européennes de nouvelle génération nécessiteront un investissement de "500 milliards d'ici à 2050", estime le commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton, qui juge "crucial" d'ouvrir la labellisation verte au nucléaire dans le cadre de la transition énergétique.
Nucléaire : EDF prolonge l'arrêt d'un réacteur de la centrale de Chooz, où un défaut a été identifié
(06/01) - AfpEDF a prolongé de trois mois l'arrêt d'un réacteur de la centrale nucléaire de Chooz (Ardennes), indiquant jeudi y avoir détecté un défaut similaire à celui d'une autre centrale à l'arrêt, ce qui privera donc la France de cette source d'électricité pour l'hiver.
La nuit du réveillon de Nouvel an, la Commission a discrètement dévoilé un projet de labellisation verte pour les centrales nucléaires et à gaz. L’objectif de cette proposition : faciliter le financement d’installations contribuant à lutter contre le changement climatique. L’Europe est-elle vraiment en train de dérouler le tapis vert au nucléaire et au gaz naturel ?
Dans ce nouvel article, Greg de Temmerman, docteur en physique expérimentale et chercheur, revient sur la fuite de tritium détectée en décembre dernier par EDF sur le site de la centrale nucléaire de Tricastin. Le traitement médiatique de cette actualité est, selon lui, un bon exemple du manque maîtrise des unités de mesure de la plupart des commentateurs.
La Commission européenne a dévoilé, dans la nuit de vendredi à samedi, un projet de labellisation verte pour les centrales nucléaires et à gaz, qui vise à faciliter le financement d'installations contribuant à lutter contre le changement climatique.
La Commission européenne a dévoilé, dans la nuit de vendredi à samedi, un projet de labellisation verte pour les centrales nucléaires et à gaz, qui vise à faciliter le financement d'installations contribuant à lutter contre le changement climatique.
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Le Premier ministre et la ministre de l’Energie ont présenté ce jeudi l’accord intervenu dans la nuit à propos de l’avenir énergétique du pays. Le Plan A, celui de la fermeture des réacteurs en 2025 est maintenu. Cependant, en raison d’obstacles qui doivent encore être levés pour permettre l’installation d’alternatives au nucléaire, comme des centrales à gaz, le Plan B, celui du maintien de deux réacteurs est gardé en réserve, "au cas où", comme filet de sécurité.
Le pic du prix du gaz, les problèmes des centrales nucléaires françaises, la quasi absence de production éolienne et les températures froides provoquent de nouveaux records de prix sur le marché de l'électricité.
La Chine travaille à la prochaine révolution dans le monde de l’énergie. Le pays souhaite utiliser un navire comme mini-centrale nucléaire, afin de fournir de l’électricité aux plateformes de forage et aux îles coupées du monde. Mais ce n’est pas qu’une idée : l’année prochaine, le réacteur flottant devrait déjà être prêt, annonce le média South China Morning Post ; et il semble pouvoir résister aux conditions météorologiques les plus extrêmes.
Le marché européen de l'énergie est très tendu. En plein hiver, l'Allemagne ferme des centrales nucléaires et des centrales thermiques. Les prix grimpent. Au milieu d’un prix record de l'électricité en Europe, l'Allemagne ne changera pas ses plans et fermera trois réacteurs nucléaires et 11 centrales électriques au charbon en décembre. Le pays perdra 6,4 GW de capacité de production.
EDF a annoncé, ce mercredi 15 décembre 2021, sa décision d’arrêter les deux réacteurs de la centrale de Chooz (Ardennes) les 16 et 18 décembre. Ceci par précaution, car ils sont du même type que ceux de la centrale de Civaux (Vienne), sur lesquels des défauts de qualité de soudures ont été constatés lors d’une visite décennale, en octobre, conduisant à un arrêt des réacteurs, en novembre. Cet arrêt initialement fixé à un mois, a été prolongé mercredi.
Des contrôles sur les autres réacteurs nucléaires français "pourraient s'avérer nécessaires", a jugé jeudi l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), après la décision d'EDF d'arrêter la centrale de Chooz dans les Ardennes pour vérification. EDF avait indiqué mercredi soir avoir pris la décision d'arrêter les deux réacteurs de la centrale de Chooz "par mesure de précaution".
L'autorité finlandaise de sûreté a donné son autorisation pour démarrer le réacteur nucléaire EPR d'Olkiluoto 3 construit par le consortium franco-allemand Areva-Siemens, a annoncé jeudi l'exploitant finlandais de la centrale, qui vise une production commerciale en juin.
EDF a annoncé mercredi soir avoir décidé d'arrêter les deux réacteurs de Chooz "par mesure de précaution", et de prolonger l'arrêt des deux réacteurs de la centrale de Civaux (Vienne), après la détection de défauts à proximité de soudures des tuyauteries du circuit d'injection de sécurité de celle-ci, un circuit qui permet de refroidir le réacteur en cas d'accident.
Quatre réacteurs ont été mis à l’arrêt par EDF, à la centrale de Civaux et celle de Chooz, en raison d’une défaillance sur une pièce essentielle en cas d’accident. De nombreuses incertitudes persistent sur les conséquences de cette découverte.
Des démarches vont être prises pour la construction de ces deux centrales dont on ignore encore l'emplacement. L'activité de celle de Borssele, située à une quinzaine de kilomètres de la frontière belge, va être prolongée.
EDF va commencer à arrêter par précaution à partir de jeudi les deux réacteurs de la centrale nucléaire de Chooz dans les Ardennes pour vérification d'éventuels défauts sur son circuit de refroidissement de secours, après la détection de défauts dans une autre centrale de même modèle.
À l’heure où Rolls-Royce se prépare à construire des mini-centrales moins coûteuses et où le président Emmanuel Macron annonce l’arrivée de nouveaux réacteurs en France, le chercheur Vincent Mignerot explique pourquoi le nucléaire n’est pas une solution au réchauffement climatique.
L'incident qui a conduit en juillet à l'arrêt d'un réacteur à la centrale nucléaire EPR de Taishan (Chine) serait dû à un défaut de conception de la cuve, affirme samedi la CRIIRAD qui met en garde contre le risque de problème identique sur d'autres EPR.
L’incident qui a conduit en juillet à l’arrêt d’un réacteur à la centrale nucléaire EPR de Taishan (Chine) serait dû à un défaut de conception de la cuve. C’est ce qu’a affirmé samedi la CRIIRAD (Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité). Elle met en garde contre le risque de problème identique sur d’autres EPR, des réacteurs pressurisés.
On les appelle les invisibles du nucléaire, ils travaillent dans les zones les plus radioactives des centrales. Plongée dans l’univers des centrales nucléaires françaises.
Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et Greenpeace y sont, en revanche, opposés et prônent un entreposage des combustibles usés, à sec, à côté de chaque centrale, sans retraitement, comme cela se fait à l’étranger.
Porté par le milliardaire américain via sa start-up TerraPower depuis 2006, le premier petit réacteur nucléaire Natrium sera implanté à Kemmerer, dans le Wyoming, et serait opérationnel d’ici sept ans. Sa construction sera financée pour moitié par le plan d’infrastructures de Joe Biden.
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L’enquête publique concernant le démantèlement du cœur du réacteur par EDF s’ouvre ce lundi
La fermeture des centrales nucléaires belges se fera "parce que c'est dans l'accord de gouvernement" et parce que les conditions ne seraient pas réunies pour une éventuelle prolongation, a déclaré vendredi le président du PS, Paul Magnette, en marge de la COP26 à Glasgow.
Les deux partis qui sont le plus partisan de l’option nucléaire, VVD et CDA, souhaitent au moins que huit centrales nucléaires soient construites.
Après le refus de permis pour la centrale au gaz de Vilvoorde et la sortie de Philippe Henry, ministre wallon du Climat et chef de la délégation belge à la COP 26, est-il encore possible que la Belgique parle d’une seule voix en matière de climat ? Pour en parler au micro de Thomas Gadisseux sur la Première, Georges-Louis Bouchez, président du MR, pour qui le nucléaire n'a pas dit son dernier mot.
Moins dépendante au charbon que la Chine, l'Inde ou la Bulgarie, la France, qui mise sur son énergie nucléaire, a décidé de fermer ses quatre dernières centrales thermiques alimentées au charbon. Cette susbstance fossile considérée comme une menace majeure pour le climat est un des sujets clés lors de la COP26.
Dimanche soir, Elia et la Ministre fédérale de l'énergie Tinne Van der Straeten ont annoncé les résultats de la vente aux enchères du mécanisme de rémunération de capacité (CRM) : il y a plus de capacités disponibles qu’il n’en faut pour arrêter nos centrales nucléaires en Belgique d'ici 2025. Et ce, à un coût inférieur aux estimations initiales. Plus rien ne s’oppose à la sortie du nucléaire. L’accord de gouvernement doit être respecté.
L'énergie nucléaire, telle qu'actuellement déployée, ne répond pas, sur le plan environnemental, éthique et sanitaire, aux principes du développement durable, estime dans un avis le Conseil supérieur de la Santé (CSS). L'organe y juge également que l'arrêt des centrales nucléaires est possible en Belgique pour un coût relativement limité, y compris en termes d'impact CO2.
Avec un parc vieillissant et le désastre de l’EPR, industriels et politiques misent sur les petits réacteurs modulaires. Une illusion, selon Stéphane Lhomme, directeur de l’Observatoire du nucléaire.
Le SF6, visé dès 1997 par le Protocole de Kyoto sur le climat, a un potentiel de réchauffement 23.000 fois supérieur à celui du CO2 et reste dans l'atmosphère jusqu'à 3.000 ans. C'est le plus puissant des gaz à effet de serre, même s'il en représente une petite part. "Laisser s'échapper 100 kg de ce gaz revient à émettre plus de 2 millions de kg de C02 dans l'atmosphère", a commenté Sortir du nucléaire dans un communiqué.
La Russie, la Chine, les Etats-Unis, le Canada, la Grande Bretagne se sont déjà lancés dans des projets de centrales SMR (Small Modular Reactors), autrement dit des mini-centrales nucléaires.
Depuis 10 heures ce matin, un groupe de 30 activistes climatiques et des membres de collectifs citoyens occupent le siège de Ecolo/Groen à Bruxelles, selon un communiqué. Ces activistes exigent l’annulation du mécanisme de subventionnement des centrales à gaz fossiles et que les deux partis soutiennent pleinement et inconditionnellement la sortie du nucléaire en 2025.
À la suite de l'offre provisoire de quatre entreprises énergétiques (Electrabel, Tessenderlo, Luminus et Eneco ) pour la construction de cinq centrales électriques au gaz, l'offre est supérieure à la demande.