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Le constat est clair : la sécheresse qui frappe durement la Colombie et l’Équateur est certes liée à un phénomène El Niño d’une ampleur exceptionnelle, mais aussi au déboisement de la plus grande forêt tropicale du monde.
Le président équatorien Daniel Noboa a décrété mardi "l'urgence" dans le secteur de l'électricité et demandé la démission de la ministre qui le supervise, a-t-on appris mardi de source officielle.
Des affrontements entre forces de l’ordre et habitants ont eu lieu à Palo Quemado, une commune rurale équatorienne située à une centaine de kilomètres au sud-est de Quito. En cause, la résistance des habitants à un projet de concession minière accordé à une entreprise canadienne, et qui pourrait menacer la culture de canne à sucre, labellisée bio et rémunératrice pour les communautés locales.
Une enquête germano-équatorienne menée par des scientifiques qui ont fait analyser les enregistrements des bruits de la forêt pluviale par des experts et une intelligence artificielle, afin d’évaluer l’impact du reboisement sur la biodiversité, a débouché sur une conclusion encourageante : le repeuplement est en cours.
Le président équatorien Daniel Noboa a annoncé son intention d'ignorer le référendum mettant fin aux forages pétroliers dans le parc national Yasuni, afin de financer la guerre qu'il mène contre le crime organisé. Une marche arrière qui inquiète les associations environnementales.
Longtemps considéré comme l’un des pays les plus sûrs d’Amérique latine, l’Équateur est aujourd'hui plongé dans une crise sécuritaire sans précédent. Coincé entre le Pérou et la Colombie, deux grands producteurs de coca, Quito fait notamment les frais de la croissance du trafic de cocaïne et de la réorganisation des circuits de distribution qui ont fait exploser la corruption et la violence armée.
Le référendum en marge des élections législatives du dimanche 20 août 2023 s'est prononcé pour la fin de l'exploitation du pétrole dans la réserve naturelle de Yasuni. « Le parc naturel de Yasuni comprend trois champs pétroliers -Ishpingo, Tambococha et Tiputini, abrégés en ITT- qui produisent plus de 850 millions de barils de pétrole brut et représentent 20% des réserves pétrolières du pays.
L'hydroélectricité occupe une place toujours plus importante dans le mix électrique de l'Équateur, souligne l'EIA américaine (Energy Information Administration) dans un article publié ce 21 septembre(1) : cette filière a compté pour 79% de la production nationale d'électricité en 2021, contre 55% en 2011. La richesse de la ressource hydraulique en Équateur rend dans le même temps ce pays de près de 18 millions d'habitants « vulnérable aux sécheresses et aux faibles niveaux d’eau pendant la saison sèche d’octobre à mars ».
Le ministre de l'Energie de l'Equateur, Fernando Santos, a affirmé mercredi qu'il sera compliqué de démanteler en un an le gisement pétrolier de la réserve amazonienne de Yasuni, quelques jours après le vote en faveur d'un arrêt de la production.Réclamé par un groupe environnemental depuis dix ans, ce référendum, qui s'est tenu le 20 août, prévoyait qu'en cas de victoire du "oui", la décision serait exécutoire dans un délai d'un an.
En Équateur, les électeurs ont voté dimanche pour le premier tour des élections présidentielles et législatives ainsi que pour un référendum sur l’exploitation du pétrole dans le parc amazonien Yasuni. 58,9 % d’entre eux ont répondu oui à la question : faut-il laisser indéfiniment cette source brute d’énergie fossile dans le sous-sol ? Une victoire pour les écologistes et le climat dans ce pays lourdement marqué par la pollution pétrolière.
Cette terre indigène, qui s’étend sur près d’un million d’hectares de forêt humide et primaire, constitue une réserve unique de biodiversité. Les défenseurs de l’Amazonie saluent une « victoire historique ».
Une majorité d'Equatoriens ont voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur, a-t-on appris lundi de source officielle.Lors d'un référendum organisé dimanche parallèlement à des élections générales anticipées, les électeurs ont dit oui à 58,99% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les derniers résultats publiés lundi matin et portant sur 93% des bulletins valides.
Le gouvernement équatorien risque de perdre environ 1,2 milliard de dollars par an si le "oui" l'emporte lors d'un référendum sur la suspension des forages pétroliers dans un parc naturel de l'est amazonien du pays, a affirmé mercredi le ministre de l'Energie Fernando Santos.La Cour constitutionnelle a donné mardi son feu vert à cette consultation, réclamée depuis dix ans par les écologistes afin de maintenir "indéfiniment dans le sous-sol" le pétrole du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), également connu sous le nom de bloc 43.
La Cour constitutionnelle de l'Equateur a donné mardi le feu vert à la convocation d'un référendum, réclamé par les écologistes depuis dix ans, sur la poursuite de l'exploitation pétrolière de la célèbre réserve naturelle de Yasuni en Amazonie.Cette instance a annoncé, dans un communiqué, avoir "émis un avis favorable (...) à la demande de consultation populaire" visant à maintenir indéfiniment sous terre le (pétrole) brut du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), connu comme le bloc 43".
Plusieurs dizaines de maisons ont été ensevelies à Alausi, dans le sud du pays, par une coulée de boue provoquée par de fortes pluies tombées dans la nuit de dimanche à lundi.
L'Equateur va suspendre temporairement une partie de ses exportations de pétrole brut en raison d'un contrôle à réaliser sur deux de ses principaux oléoducs, a annoncé Petroecuador vendredi.L'entreprise publique, qui extrait 78% de la production totale de pétrole (481 000 barils par jour de brut en 2022), a indiqué dans un communiqué "mettre en oeuvre le plan technique pour l'arrêt progressif des puits dans les champs de l'entreprise publique situés en Amazonie".
C'est ici que tout a commencé, un jour de février 1967. Le "puits n°1 de Lago Agrio" fut le premier puits de pétrole perforé en Equateur, par le consortium américain Texaco-Gulf, ouvrant l'ère de l'or noir en Amazonie équatorienne."Ce jour là, ministres et officiels se sont baignés dans le pétrole. Puis ils ont tout balancé à la rivière derrière... ça commençait bien...", ironise Donald Moncayo, coordinateur général de l'Union des victimes de Texaco (UDAPT).
L'Equateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador.Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'Etat équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".
L'Équateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador. Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'État équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".
L’archipel est inscrit au patrimoine mondial de l’humanité pour la richesse de sa faune et de sa flore. Une urgence sanitaire a été mise en place en Equateur après la découverte de cas dans le centre.
Une fuite de pétrole brut en Amazonie équatorienne a contaminé une rivière de la province de Sucumbios (nord-est, frontalière de la Colombie), a indiqué vendredi le ministère de l'Environnement, sans préciser la quantité de pétrole déversée. La situation d'urgence, qui s'est produite le 25 septembre et n'a été signalée qu'aujourd'hui, "a atteint la rivière Teteye" dans la ville de Lago Agrio (capitale de Sucumbios), a indiqué le ministère dans un communiqué.
La production de pétrole en Équateur est à un "niveau critique" et cessera d'ici 48 heures si les manifestations et blocages se poursuivent dans le pays, a affirmé dimanche le ministère équatorien de l’Énergie.
n Équateur, la mobilisation indigène contre le gouvernement est entrée ce vendredi 24 juin dans son douzième jour. La veille, signe d’un durcissement des manifestations qui ont fait un total de six morts dans le pays, les manifestants ont tenté de prendre d’assaut le Parlement pour protester contre l’augmentation du coût de la vie.
Aux abords de l'eau fraîche d'une cascade cristalline, la biologiste Andrea Teran lance un eurêka!. Elle tient dans la paume de sa main l'une des deux espèces de grenouilles devenues le centre d'une bataille juridique unique contre l'exploitation minière en Equateur.
La saison des pluies est entrée dans son septième mois en avril et devrait s'intensifier. Des averses exceptionnellement fortes et prolongées ont déjà endommagé ou dévasté plus de 5.455 hectares de terres agricoles, ainsi que plus de 7.000 maisons, écoles ou centres médicaux. Au total, près de 31.000 personnes ont été affectées par des inondations, glissements de terrain et autres dégâts.
L’Équateur montre une nouvelle fois l’exemple. Quatorze ans après avoir inscrit des “droits de la nature” au sein de sa constitution, le pays d’Amérique du Sud reconnaît officiellement des “droits juridiques distincts” aux animaux sauvages. Lumière sur cette avancée historique.
L’Équateur, premier exportateur mondial de bananes, subit les conséquences des sanctions internationales contre la Russie : invendus, surproduction et baisse des cours entraînent l'arrêt de sites de production et chômage forcé.
Plus d’un million de litres de pétrole se sont déversés dans la forêt amazonienne en Équateur, à la suite de la rupture d’un oléoduc, vendredi 28 janvier. Selon OCP, l’entreprise privée qui le gère, il a été endommagé par des chutes de pierres, provoquées par l’érosion et de fortes pluies. OCP a également déclaré que l’incident n’était "pas prévisible". Mais ce n’est pas l'avis de notre Observateur, qui témoigne dans notre émission.
Des pluies torrentielles, les plus fortes enregistrées depuis une vingtaine d’années, ont frappé le 31 janvier la capitale équatorienne pendant près de dix-sept heures.
Les inondations qui ont frappé Quito en début de semaine ont fait au moins 27 morts et 53 blessés, ont annoncé vendredi les autorités qui recherchaient encore deux personnes portées disparues.


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
Équateur

avril 2024

Le constat est clair : la sécheresse qui frappe durement la Colombie et l’Équateur est certes liée à un phénomène El Niño d’une ampleur exceptionnelle, mais aussi au déboisement de la plus grande forêt tropicale du monde.
Le président équatorien Daniel Noboa a décrété mardi "l'urgence" dans le secteur de l'électricité et demandé la démission de la ministre qui le supervise, a-t-on appris mardi de source officielle.
Des affrontements entre forces de l’ordre et habitants ont eu lieu à Palo Quemado, une commune rurale équatorienne située à une centaine de kilomètres au sud-est de Quito. En cause, la résistance des habitants à un projet de concession minière accordé à une entreprise canadienne, et qui pourrait menacer la culture de canne à sucre, labellisée bio et rémunératrice pour les communautés locales.

mars 2024

Une enquête germano-équatorienne menée par des scientifiques qui ont fait analyser les enregistrements des bruits de la forêt pluviale par des experts et une intelligence artificielle, afin d’évaluer l’impact du reboisement sur la biodiversité, a débouché sur une conclusion encourageante : le repeuplement est en cours.

février 2024

Le président équatorien Daniel Noboa a annoncé son intention d'ignorer le référendum mettant fin aux forages pétroliers dans le parc national Yasuni, afin de financer la guerre qu'il mène contre le crime organisé. Une marche arrière qui inquiète les associations environnementales.

janvier 2024

Longtemps considéré comme l’un des pays les plus sûrs d’Amérique latine, l’Équateur est aujourd'hui plongé dans une crise sécuritaire sans précédent. Coincé entre le Pérou et la Colombie, deux grands producteurs de coca, Quito fait notamment les frais de la croissance du trafic de cocaïne et de la réorganisation des circuits de distribution qui ont fait exploser la corruption et la violence armée.

novembre 2023

Le référendum en marge des élections législatives du dimanche 20 août 2023 s'est prononcé pour la fin de l'exploitation du pétrole dans la réserve naturelle de Yasuni. « Le parc naturel de Yasuni comprend trois champs pétroliers -Ishpingo, Tambococha et Tiputini, abrégés en ITT- qui produisent plus de 850 millions de barils de pétrole brut et représentent 20% des réserves pétrolières du pays.

septembre 2023

L'hydroélectricité occupe une place toujours plus importante dans le mix électrique de l'Équateur, souligne l'EIA américaine (Energy Information Administration) dans un article publié ce 21 septembre(1) : cette filière a compté pour 79% de la production nationale d'électricité en 2021, contre 55% en 2011. La richesse de la ressource hydraulique en Équateur rend dans le même temps ce pays de près de 18 millions d'habitants « vulnérable aux sécheresses et aux faibles niveaux d’eau pendant la saison sèche d’octobre à mars ».

août 2023

Le ministre de l'Energie de l'Equateur, Fernando Santos, a affirmé mercredi qu'il sera compliqué de démanteler en un an le gisement pétrolier de la réserve amazonienne de Yasuni, quelques jours après le vote en faveur d'un arrêt de la production.Réclamé par un groupe environnemental depuis dix ans, ce référendum, qui s'est tenu le 20 août, prévoyait qu'en cas de victoire du "oui", la décision serait exécutoire dans un délai d'un an.
En Équateur, les électeurs ont voté dimanche pour le premier tour des élections présidentielles et législatives ainsi que pour un référendum sur l’exploitation du pétrole dans le parc amazonien Yasuni. 58,9 % d’entre eux ont répondu oui à la question : faut-il laisser indéfiniment cette source brute d’énergie fossile dans le sous-sol ? Une victoire pour les écologistes et le climat dans ce pays lourdement marqué par la pollution pétrolière.
Cette terre indigène, qui s’étend sur près d’un million d’hectares de forêt humide et primaire, constitue une réserve unique de biodiversité. Les défenseurs de l’Amazonie saluent une « victoire historique ».
Une majorité d'Equatoriens ont voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur, a-t-on appris lundi de source officielle.Lors d'un référendum organisé dimanche parallèlement à des élections générales anticipées, les électeurs ont dit oui à 58,99% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les derniers résultats publiés lundi matin et portant sur 93% des bulletins valides.

mai 2023

Le gouvernement équatorien risque de perdre environ 1,2 milliard de dollars par an si le "oui" l'emporte lors d'un référendum sur la suspension des forages pétroliers dans un parc naturel de l'est amazonien du pays, a affirmé mercredi le ministre de l'Energie Fernando Santos.La Cour constitutionnelle a donné mardi son feu vert à cette consultation, réclamée depuis dix ans par les écologistes afin de maintenir "indéfiniment dans le sous-sol" le pétrole du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), également connu sous le nom de bloc 43.
La Cour constitutionnelle de l'Equateur a donné mardi le feu vert à la convocation d'un référendum, réclamé par les écologistes depuis dix ans, sur la poursuite de l'exploitation pétrolière de la célèbre réserve naturelle de Yasuni en Amazonie.Cette instance a annoncé, dans un communiqué, avoir "émis un avis favorable (...) à la demande de consultation populaire" visant à maintenir indéfiniment sous terre le (pétrole) brut du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), connu comme le bloc 43".

mars 2023

Plusieurs dizaines de maisons ont été ensevelies à Alausi, dans le sud du pays, par une coulée de boue provoquée par de fortes pluies tombées dans la nuit de dimanche à lundi.

février 2023

L'Equateur va suspendre temporairement une partie de ses exportations de pétrole brut en raison d'un contrôle à réaliser sur deux de ses principaux oléoducs, a annoncé Petroecuador vendredi.L'entreprise publique, qui extrait 78% de la production totale de pétrole (481 000 barils par jour de brut en 2022), a indiqué dans un communiqué "mettre en oeuvre le plan technique pour l'arrêt progressif des puits dans les champs de l'entreprise publique situés en Amazonie".
C'est ici que tout a commencé, un jour de février 1967. Le "puits n°1 de Lago Agrio" fut le premier puits de pétrole perforé en Equateur, par le consortium américain Texaco-Gulf, ouvrant l'ère de l'or noir en Amazonie équatorienne."Ce jour là, ministres et officiels se sont baignés dans le pétrole. Puis ils ont tout balancé à la rivière derrière... ça commençait bien...", ironise Donald Moncayo, coordinateur général de l'Union des victimes de Texaco (UDAPT).

janvier 2023

L'Equateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador.Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'Etat équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".
L'Équateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador. Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'État équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".

décembre 2022

L’archipel est inscrit au patrimoine mondial de l’humanité pour la richesse de sa faune et de sa flore. Une urgence sanitaire a été mise en place en Equateur après la découverte de cas dans le centre.

octobre 2022

Une fuite de pétrole brut en Amazonie équatorienne a contaminé une rivière de la province de Sucumbios (nord-est, frontalière de la Colombie), a indiqué vendredi le ministère de l'Environnement, sans préciser la quantité de pétrole déversée. La situation d'urgence, qui s'est produite le 25 septembre et n'a été signalée qu'aujourd'hui, "a atteint la rivière Teteye" dans la ville de Lago Agrio (capitale de Sucumbios), a indiqué le ministère dans un communiqué.

juin 2022

La production de pétrole en Équateur est à un "niveau critique" et cessera d'ici 48 heures si les manifestations et blocages se poursuivent dans le pays, a affirmé dimanche le ministère équatorien de l’Énergie.
n Équateur, la mobilisation indigène contre le gouvernement est entrée ce vendredi 24 juin dans son douzième jour. La veille, signe d’un durcissement des manifestations qui ont fait un total de six morts dans le pays, les manifestants ont tenté de prendre d’assaut le Parlement pour protester contre l’augmentation du coût de la vie.
Aux abords de l'eau fraîche d'une cascade cristalline, la biologiste Andrea Teran lance un eurêka!. Elle tient dans la paume de sa main l'une des deux espèces de grenouilles devenues le centre d'une bataille juridique unique contre l'exploitation minière en Equateur.

avril 2022

La saison des pluies est entrée dans son septième mois en avril et devrait s'intensifier. Des averses exceptionnellement fortes et prolongées ont déjà endommagé ou dévasté plus de 5.455 hectares de terres agricoles, ainsi que plus de 7.000 maisons, écoles ou centres médicaux. Au total, près de 31.000 personnes ont été affectées par des inondations, glissements de terrain et autres dégâts.
L’Équateur montre une nouvelle fois l’exemple. Quatorze ans après avoir inscrit des “droits de la nature” au sein de sa constitution, le pays d’Amérique du Sud reconnaît officiellement des “droits juridiques distincts” aux animaux sauvages. Lumière sur cette avancée historique.
L’Équateur, premier exportateur mondial de bananes, subit les conséquences des sanctions internationales contre la Russie : invendus, surproduction et baisse des cours entraînent l'arrêt de sites de production et chômage forcé.

février 2022

Plus d’un million de litres de pétrole se sont déversés dans la forêt amazonienne en Équateur, à la suite de la rupture d’un oléoduc, vendredi 28 janvier. Selon OCP, l’entreprise privée qui le gère, il a été endommagé par des chutes de pierres, provoquées par l’érosion et de fortes pluies. OCP a également déclaré que l’incident n’était "pas prévisible". Mais ce n’est pas l'avis de notre Observateur, qui témoigne dans notre émission.
Des pluies torrentielles, les plus fortes enregistrées depuis une vingtaine d’années, ont frappé le 31 janvier la capitale équatorienne pendant près de dix-sept heures.
Les inondations qui ont frappé Quito en début de semaine ont fait au moins 27 morts et 53 blessés, ont annoncé vendredi les autorités qui recherchaient encore deux personnes portées disparues.