Veille 2.1

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Sélection du moment:

Charte sur table. Mercredi 10 janvier, 200 signataires et ami·es de la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique se sont réuni·es à Paris pour phosphorer sur les réussites et les freins à la progression des enjeux climatiques dans les médias.
Il appartient à l’ensemble des journalistes d’être à la hauteur du défi que représente l’emballement du climat pour les générations actuelles et à venir. Face à l’urgence absolue de la situation, n…
Mickaël Correia explique la façon dont il creuse son sillon journalistique : mettre en lumière ce que les multinationales des énergies carbonées feignent d’ignorer, analyser les pouvoirs politiques et économiques de ces entreprises qui contribuent le plus directement au dérèglement climatique. Un travail de fourmi, accessible et nécessaire pour enrayer le statu quo : sans l’instauration d’un rapport de force, ces entreprises continueront à rendre la planète invivable tant qu’elles pourront en tirer profit.
le journaliste Mickaël Correia enquête depuis maintenant plusieurs années, mettant le doigt sur les inégalités criantes qu’ils renforcent et génèrent. Une de ses boussoles : dénoncer les responsables. « Il y a des crimes climatiques, donc des criminels » affirmait-il récemment. Dans ce premier volet, il ne manque pas de tancer une certaine « écologie bourgeoise », et affirme ainsi son souhait de voir advenir un front écologiste qui inclurait pleinement les classes populaires, tout en s’articulant aux questions sociales, féministes et antiracistes.
"Il est plus qu’urgent de changer de regard sur la jeunesse : la solidarité intergénérationnelle est indispensable pour faire face aux bouleversements qui nous menacent tous". Ces mots, ce sont ceux de Salomé Saqué. Journaliste pour le média en ligne Blast, pour France 5 et FranceInfo, est également l’autrice du livre Sois jeune et tais-toi – Réponses à ceux qui critiquent la jeunesse, aux éditions Payot.
Un guide sur l’attribution pour les journalistes - traduction
La crise climatique s’accélère et la question de la transition s’invite dans les médias. Ces derniers l’ont bien compris mais ne sont néanmoins pas épargnés par la critique : trop peu présents ou, au contraire, trop militants. Alors, comment (bien) parler des changements climatiques et de leurs conséquences ? En Belgique, plusieurs académiques ont appelé les médias « à mener en leur sein une réflexion radicale et globale sur la manière d’aborder les enjeux et questions relatives au climat et à la biodiversité ». Un message (en partie) entendu dans les rédactions, notamment au Soir. Un pôle Planète avec sept journalistes a été créé pour traiter l’environnement, la mobilité ou l’énergie de manière globale. Mais les écoles de journalisme ne sont pas en reste et s’interrogent sur l’opportunité de modifier leurs programmes de cours pour y faire une meilleure place aux questions climatiques, environnementales et aux enjeux de la transition. Au-delà des écoles de journalisme, si les universités francophones sont à d
Les questions de durabilité et de transition sont de plus en plus présentes dans les médias. Dans les rédactions et les écoles de journalisme, la manière d’appréhender ces thématiques est en pleine évolution. Et c’est également le cas au « Soir », où s’installe un pôle « Planète »
Les quatorze écoles de journalisme reconnues par la profession ont signé la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence climatique. Et amorcé une mue pédagogique. Reconnue pour sa filière journalisme scientifique et son master pro « Climat et Médias », l'ESJ Lille a aussi musclé son programme pour la filière généraliste. Reportage.
Humanity received a “final warning” Monday from the UN Intergovernmental Panel on Climate Change. The bottom line of the Synthesis Report of the IPCC’s Sixth Assessment Report is to “act now, or it’s too late,” the Guardian wrote. The scale of the emergency screams out from almost every page — climate change is already displacing and killing millions of people globally — but the report also provides what UN Secretary-General António Guterres called a roadmap for defusing the “climate time bomb.”
Fin août, Radio France annonçait son « tournant environnemental » dans un manifeste ; deux semaines plus tard paraissait la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique, notamment signée par le groupe France média monde (FMM), qui compte Radio France international et France 24. Cette semaine, le mouvement se poursuit parmi les mastodontes de l’audiovisuel, public comme privé.
transforment. Des dizaines de journaux, chaînes de télé et radio ont signé la "Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique" initiée par le média indépendant Vert. Les signataires s’engagent ainsi à revoir leur ligne éditoriale pour intégrer davantage les enjeux climatiques, à former leurs journalistes et faire évoluer leurs modes de fonctionnement.
Pour que les journalistes traitent la crise écologique sur le fond, Reporterre s’est joint à plusieurs médias et a élaboré une Charte des bonnes pratiques. Nous appelons la profession à s’engager à les respecter.
TF1, France TV, M6 : aucun des géants de l’info télévisée n’a échappé à l’analyse — parfois piquante — de Climat médias. Depuis plus d’un an, le collectif citoyen les appelle à mieux traiter l’actualité climatique.
Les médias à la plus forte audience doivent avoir un traitement des enjeux environnementaux à la hauteur de la situation. Pour les y aider, un collectif de médias, dont Reporterre, et de journalistes a élaboré une Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique.
Jean-Marc Jancovici, membre du Haut Conseil pour le Climat - C à vous
Ignorance, autocensure ou dépendance à la publicité : en France, les journalistes parlent très peu des questions climatiques ou de celles liées à l’effondrement du vivant. D’où cette question : pourquoi les médias français méprisent-ils autant la question écologique ?
Pour sensibiliser les citoyens au dérèglement climatique, il faut que les médias regagnent leur confiance, en redevenant généralistes et transparents, préconise le philosophe dans une tribune au « Monde ».
Le travail médiatique n’est pas à la hauteur de la catastrophe écologique, écrivent les auteurs de cette tribune. Ils et elles appellent leurs collègues journalistes à s’emparer de cet enjeu, d’autant plus important en cette période de campagne électorale.
Que nous arrive-t-il ? Alors que des élections présidentielle et législatives se profilent, alors que les scientifiques ne cessent de nous alerter sur l’urgence climatique, sur l’effondrement du vivant, le travail médiatique n’est pas à la hauteur des enjeux.
Chers éditeurs de médias du monde entier, Fonte des glaciers, feux de forêt, sécheresses, canicules meurtrières, inondations, ouragans, perte de biodiversité. Ce sont tous les symptômes d’une planète déstabilisée, qui se produisent autour de nous en permanence. ...
C'est chaud. A l’heure où certains médias s’interrogent sur leurs responsabilités dans la création du « phénomène » Zemmour, la profession se questionne également sur son traitement des informations liées à l’urgence climatique.
Si vous avez trouvé la couverture médiatique de la crise sanitaire anxiogène, imaginez ce que pourrait être celle de la crise climatique – peut-on d’ailleurs parler de crise ? N’est-ce pas plutôt une dégringolade inexorable au fond d’un fossé (un précipice) aux parois trop lisses pour remonter ? (Ok, là j’en rajoute un peu – quoique, mais vous allez comprendre).
Alerte maximale ! La planète est en feu et le pire est à venir préviennent les experts du Giec dans leur sixième rapport. Mais pour les médias mainstream, l'écologie passera toujours après le sport, l'économie et les micros-trottoirs sur le Covid. La preuve avec le JT de France 3 du dimanche 8 août.
La crise climatique est bien plus grave que nombre d’entre nous, journalistes, ne semblent le croire. L’une des raisons est que nous ne comprenons pas vraiment comment la crise va changer nos vies au cours des 30 prochaines années. Ceci est une lettre ouverte.
L’ONG Reporters d’Espoirs a réalisé une étude qui analyse le traitement médiatique du changement climatique en France entre 2010 et 2019. Parue en juillet 2020, elle fait partie de l’initiative MédiasClimat, qui propose également un guide interactif destiné aux journalistes travaillant sur ce sujet. Voici les points saillants du rapport, ainsi que quelques conseils pratiques.
Dans l’étude « Comment les médias traitent-ils du changement climatique », parue en juillet 2020, l’association Reporters d’Espoirs constate que la prise de conscience des enjeux environnementaux et climatiques des Français s’accompagne d’une médiatisation qui est certes croissante, mais pas encore à la hauteur des enjeux.
Nous avons besoin des mots adéquats pour décrire la catastrophe climatique et environnementale en cours.
Nous avons besoin des mots adéquats pour décrire la catastrophe climatique et environnementale en cours. Des activistes ont bloqué ce 22 juin la rue devant les bureaux du New York Times, le plus grand journal international américain, afin d'exiger que les journalistes cessent d'utiliser des mots euphémistes et paralysants pour décrire l'urgence climatique scientifiquement avérée ...
L’Association canadienne des journalistes (ACJ) a reconnu mercredi par voie de communiqué l’urgence de la crise climatique et invite les médias à repenser leur couverture médiatique du sujet. L’ACJ répond ainsi à son ancien vice-président, Sean Holman, qui dans une lettre ouverte proche du cri du coeur, appelait les médias généralistes à « parler moins des bébés royaux » du prince Harry et à déplier davantage les tenants et aboutissants de ce qu’il estime être une « catastrophe en cours ». La crise climatique doit-elle engendrer un autre type d’information ?


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janvier 2024

Charte sur table. Mercredi 10 janvier, 200 signataires et ami·es de la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique se sont réuni·es à Paris pour phosphorer sur les réussites et les freins à la progression des enjeux climatiques dans les médias.

septembre 2023

Il appartient à l’ensemble des journalistes d’être à la hauteur du défi que représente l’emballement du climat pour les générations actuelles et à venir. Face à l’urgence absolue de la situation, n…
Mickaël Correia explique la façon dont il creuse son sillon journalistique : mettre en lumière ce que les multinationales des énergies carbonées feignent d’ignorer, analyser les pouvoirs politiques et économiques de ces entreprises qui contribuent le plus directement au dérèglement climatique. Un travail de fourmi, accessible et nécessaire pour enrayer le statu quo : sans l’instauration d’un rapport de force, ces entreprises continueront à rendre la planète invivable tant qu’elles pourront en tirer profit.
le journaliste Mickaël Correia enquête depuis maintenant plusieurs années, mettant le doigt sur les inégalités criantes qu’ils renforcent et génèrent. Une de ses boussoles : dénoncer les responsables. « Il y a des crimes climatiques, donc des criminels » affirmait-il récemment. Dans ce premier volet, il ne manque pas de tancer une certaine « écologie bourgeoise », et affirme ainsi son souhait de voir advenir un front écologiste qui inclurait pleinement les classes populaires, tout en s’articulant aux questions sociales, féministes et antiracistes.

août 2023

"Il est plus qu’urgent de changer de regard sur la jeunesse : la solidarité intergénérationnelle est indispensable pour faire face aux bouleversements qui nous menacent tous". Ces mots, ce sont ceux de Salomé Saqué. Journaliste pour le média en ligne Blast, pour France 5 et FranceInfo, est également l’autrice du livre Sois jeune et tais-toi – Réponses à ceux qui critiquent la jeunesse, aux éditions Payot.

juillet 2023

Un guide sur l’attribution pour les journalistes - traduction

juin 2023

La crise climatique s’accélère et la question de la transition s’invite dans les médias. Ces derniers l’ont bien compris mais ne sont néanmoins pas épargnés par la critique : trop peu présents ou, au contraire, trop militants. Alors, comment (bien) parler des changements climatiques et de leurs conséquences ? En Belgique, plusieurs académiques ont appelé les médias « à mener en leur sein une réflexion radicale et globale sur la manière d’aborder les enjeux et questions relatives au climat et à la biodiversité ». Un message (en partie) entendu dans les rédactions, notamment au Soir. Un pôle Planète avec sept journalistes a été créé pour traiter l’environnement, la mobilité ou l’énergie de manière globale. Mais les écoles de journalisme ne sont pas en reste et s’interrogent sur l’opportunité de modifier leurs programmes de cours pour y faire une meilleure place aux questions climatiques, environnementales et aux enjeux de la transition. Au-delà des écoles de journalisme, si les universités francophones sont à d

mai 2023

Les questions de durabilité et de transition sont de plus en plus présentes dans les médias. Dans les rédactions et les écoles de journalisme, la manière d’appréhender ces thématiques est en pleine évolution. Et c’est également le cas au « Soir », où s’installe un pôle « Planète »
Les quatorze écoles de journalisme reconnues par la profession ont signé la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence climatique. Et amorcé une mue pédagogique. Reconnue pour sa filière journalisme scientifique et son master pro « Climat et Médias », l'ESJ Lille a aussi musclé son programme pour la filière généraliste. Reportage.

mars 2023

Humanity received a “final warning” Monday from the UN Intergovernmental Panel on Climate Change. The bottom line of the Synthesis Report of the IPCC’s Sixth Assessment Report is to “act now, or it’s too late,” the Guardian wrote. The scale of the emergency screams out from almost every page — climate change is already displacing and killing millions of people globally — but the report also provides what UN Secretary-General António Guterres called a roadmap for defusing the “climate time bomb.”

septembre 2022

Fin août, Radio France annonçait son « tournant environnemental » dans un manifeste ; deux semaines plus tard paraissait la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique, notamment signée par le groupe France média monde (FMM), qui compte Radio France international et France 24. Cette semaine, le mouvement se poursuit parmi les mastodontes de l’audiovisuel, public comme privé.
transforment. Des dizaines de journaux, chaînes de télé et radio ont signé la "Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique" initiée par le média indépendant Vert. Les signataires s’engagent ainsi à revoir leur ligne éditoriale pour intégrer davantage les enjeux climatiques, à former leurs journalistes et faire évoluer leurs modes de fonctionnement.
Pour que les journalistes traitent la crise écologique sur le fond, Reporterre s’est joint à plusieurs médias et a élaboré une Charte des bonnes pratiques. Nous appelons la profession à s’engager à les respecter.
TF1, France TV, M6 : aucun des géants de l’info télévisée n’a échappé à l’analyse — parfois piquante — de Climat médias. Depuis plus d’un an, le collectif citoyen les appelle à mieux traiter l’actualité climatique.
Les médias à la plus forte audience doivent avoir un traitement des enjeux environnementaux à la hauteur de la situation. Pour les y aider, un collectif de médias, dont Reporterre, et de journalistes a élaboré une Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique.

août 2022

Jean-Marc Jancovici, membre du Haut Conseil pour le Climat - C à vous

avril 2022

Ignorance, autocensure ou dépendance à la publicité : en France, les journalistes parlent très peu des questions climatiques ou de celles liées à l’effondrement du vivant. D’où cette question : pourquoi les médias français méprisent-ils autant la question écologique ?

janvier 2022

Pour sensibiliser les citoyens au dérèglement climatique, il faut que les médias regagnent leur confiance, en redevenant généralistes et transparents, préconise le philosophe dans une tribune au « Monde ».
Le travail médiatique n’est pas à la hauteur de la catastrophe écologique, écrivent les auteurs de cette tribune. Ils et elles appellent leurs collègues journalistes à s’emparer de cet enjeu, d’autant plus important en cette période de campagne électorale.
Que nous arrive-t-il ? Alors que des élections présidentielle et législatives se profilent, alors que les scientifiques ne cessent de nous alerter sur l’urgence climatique, sur l’effondrement du vivant, le travail médiatique n’est pas à la hauteur des enjeux.

novembre 2021

Chers éditeurs de médias du monde entier, Fonte des glaciers, feux de forêt, sécheresses, canicules meurtrières, inondations, ouragans, perte de biodiversité. Ce sont tous les symptômes d’une planète déstabilisée, qui se produisent autour de nous en permanence. ...

octobre 2021

C'est chaud. A l’heure où certains médias s’interrogent sur leurs responsabilités dans la création du « phénomène » Zemmour, la profession se questionne également sur son traitement des informations liées à l’urgence climatique.
Si vous avez trouvé la couverture médiatique de la crise sanitaire anxiogène, imaginez ce que pourrait être celle de la crise climatique – peut-on d’ailleurs parler de crise ? N’est-ce pas plutôt une dégringolade inexorable au fond d’un fossé (un précipice) aux parois trop lisses pour remonter ? (Ok, là j’en rajoute un peu – quoique, mais vous allez comprendre).

août 2021

Alerte maximale ! La planète est en feu et le pire est à venir préviennent les experts du Giec dans leur sixième rapport. Mais pour les médias mainstream, l'écologie passera toujours après le sport, l'économie et les micros-trottoirs sur le Covid. La preuve avec le JT de France 3 du dimanche 8 août.

décembre 2020

La crise climatique est bien plus grave que nombre d’entre nous, journalistes, ne semblent le croire. L’une des raisons est que nous ne comprenons pas vraiment comment la crise va changer nos vies au cours des 30 prochaines années. Ceci est une lettre ouverte.

juillet 2020

L’ONG Reporters d’Espoirs a réalisé une étude qui analyse le traitement médiatique du changement climatique en France entre 2010 et 2019. Parue en juillet 2020, elle fait partie de l’initiative MédiasClimat, qui propose également un guide interactif destiné aux journalistes travaillant sur ce sujet. Voici les points saillants du rapport, ainsi que quelques conseils pratiques.
Dans l’étude « Comment les médias traitent-ils du changement climatique », parue en juillet 2020, l’association Reporters d’Espoirs constate que la prise de conscience des enjeux environnementaux et climatiques des Français s’accompagne d’une médiatisation qui est certes croissante, mais pas encore à la hauteur des enjeux.

juin 2019

Nous avons besoin des mots adéquats pour décrire la catastrophe climatique et environnementale en cours.
Nous avons besoin des mots adéquats pour décrire la catastrophe climatique et environnementale en cours. Des activistes ont bloqué ce 22 juin la rue devant les bureaux du New York Times, le plus grand journal international américain, afin d'exiger que les journalistes cessent d'utiliser des mots euphémistes et paralysants pour décrire l'urgence climatique scientifiquement avérée ...
L’Association canadienne des journalistes (ACJ) a reconnu mercredi par voie de communiqué l’urgence de la crise climatique et invite les médias à repenser leur couverture médiatique du sujet. L’ACJ répond ainsi à son ancien vice-président, Sean Holman, qui dans une lettre ouverte proche du cri du coeur, appelait les médias généralistes à « parler moins des bébés royaux » du prince Harry et à déplier davantage les tenants et aboutissants de ce qu’il estime être une « catastrophe en cours ». La crise climatique doit-elle engendrer un autre type d’information ?