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En signe de protestation contre les nouvelles règles du Pentagone, la quasi-totalité des journalistes ont quitté leurs bureaux du ministère américain de la Défense, selon les médias d'outre-Atlantique.
L'association générale des journalistes professionnels de Belgique (AGJPB/AVBB) a dénoncé avec force mardi les "attaques incessantes et infondées" du président du MR contre les journalistes, particulièrement ceux de la RTBF.
Déjà ciblés par certaines figures du mouvement Maga, les journalistes étrangers redoutent un durcissement de leurs conditions de travail aux États-Unis, notamment en raison d'un projet de réforme de Donald Trump. Celui-ci réduirait la durée initiale des visas de cinq ans à seulement 240 jours – et même à 90 jours pour les correspondants chinois.
- Le Monde
Dans un message envoyé aux médias, le département de la défense américain menace de révoquer les accès au Pentagone si les correspondants ne se plient pas à cette règle.
Le ministère américain de la Défense a menacé vendredi 19 septembre au soir de révoquer les accréditations des journalistes s’ils ne font pas valider leurs publications à l’avenir.
[Enquête Clubic] Avec l'intelligence artificielle, certaines entités obscures mettent sur pied des médias en ligne qui font tout pour paraître crédibles. Mais en réalité, tout est faux, et la supercherie va loin.
Avec le meurtre de 220 journalistes palestiniens depuis octobre 2023, c’est la liberté de la presse que l’on assassine et c’est la réalité des bombardements et de la famine qui est réduite au silence, dénoncent plus de 40 rédactions et Reporters sans frontières.
À la Une de la presse ce lundi 1er septembre, cette opération de Reporters sans frontières (RSF) dans 150 médias internationaux pour protester contre la mort des journalistes à Gaza, le plan d'évacuation et de reconstruction de l'administration Trump pour l'après-guerre dans l'enclave et le fossé qui se creuse de plus en plus entre l'école publique et l'école privée en France, en ce jour de rentrée des classes.
Dans le monde entier, les rédactions s’inquiètent pour leurs collaborateurs palestiniens à Gaza. Environ 180 médias dans 50 pays devaient relayer, lundi 1ᵉʳ septembre, un appel de Reporters sans frontières et du mouvement Avaaz pour que cessent « les meurtres à Gaza ».
L’ONG, qui estime que 220 journalistes ont été tués par l’armée israélienne depuis l’attaque terroriste du 7 octobre 2023, lance un appel pour que cessent « les meurtres à Gaza ». Les sociétés de journalistes, dont la société des rédacteurs du « Monde », demandent l’ouverture de l’enclave palestinienne aux journalistes internationaux.
En interdisant à la presse d’accéder au territoire palestinien et en menant la guerre la plus meurtrière envers les journalistes dans l’histoire des conflits, l’Etat hébreu détruit la liberté d’informer, sans réelle réaction des Etats-Unis ou des pays de l’Union européenne.
Plus de quarante rédactions françaises, dont France 24 et RFI, participent à une campagne internationale lancée par Reporters sans frontières pour dénoncer les attaques israéliennes contre les journalistes à Gaza. L’initiative rassemble plus de 250 médias dans 72 pays.
L'armée israélienne utiliserait une unité secrète pour façonner le discours autour de Gaza, présentant les reporters palestiniens comme des agents du Hamas afin de justifier ses frappes. Une tactique qui, selon les experts, vise à contrôler l'information dans cette guerre, qualifiée de "pire conflit jamais connu pour les journalistes".
L'ONU a déploré, lundi, l'inaction internationale après qu'une frappe israélienne sur un hôpital de Gaza a tué au moins vingt personnes, dont cinq journalistes. L'organisation a rappelé que ni les hôpitaux ni les journalistes ne doivent "être des cibles", tandis que certaines réactions officielles ont été publiées en fin de journée.
Le principal hôpital du sud de la bande de Gaza, l’hôpital Nasser, a été visé par deux bombardements consécutifs.
La frappe israélienne du dimanche 10 août qui visait délibérément le journaliste palestinien Anas al-Sharif a été vivement condamnée par l’ONU et Reporters sans frontières. Israël assure que l’employé d’Al Jazeera était un «terroriste» du Hamas, ce que réfutent les associations de défense de la presse.
Ces dernières années en France, des centaines de journalistes ont dû signer des clauses de confidentialité lors de leur rupture de contrat, ce qui restreint leur liberté d’expression et les empêche de critiquer ou d’enquêter sur leurs anciens employeurs. Ces pratiques, courantes dans de grands groupes médiatiques français comme celui de Vincent Bolloré (Canal + et CNews), sont beaucoup plus rares en Belgique. Pour autant, elles soulèvent des questions sur leur légalité et leur impact sur l’indépendance des journalistes.
A Gaza, les journalistes présents sur place sont en proie à une famine qui ne cesse de s’accroître. Ils craignent pour leur vie. L’AFP a recueilli leurs témoignages, que Libération publie.
Dans un communiqué paru lundi 21 juillet, la rédaction rappelle travailler avec dix personnes dans le territoire palestinien, toutes menacées par la famine, les tirs ou les maladies.
Le bombardement lancé par l’armée israélienne, qui dit avoir visé des terroristes liés au Hamas, a tué de nombreux civils dans un café réputé de l’enclave palestinienne.
Depuis son investiture, Donald Trump insulte, menace ou intimide les journalistes et les médias qui le critiquent, lui ou son Administration.
Les ONG Reporters sans frontières (RSF) et Truth Hounds ont dénoncé vendredi la "stratégie délibérée" de la Russie consistant, selon elles, à bombarder les hôtels ukrainiens où logent des journalistes pour les "faire taire", des attaques "constitutives de crimes de guerre".
Une majorité silencieuse de la population mondiale souhaite une action climatique plus forte. Il est temps de se réveiller. Environ 89 % des citoyens souhaitent que leurs gouvernements fassent davantage pour lutter contre la crise climatique, mais ils ne savent pas qu’ils constituent la majorité. Le Guardian s’associe à des dizaines de rédactions du monde entier pour lancer le projet 89 % et mettre en évidence le fait que la grande majorité de la population mondiale souhaite une action en faveur du climat.
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
Le média d'investigation De Olho Nos Ruralistas se veut comme la vigie de l'agrobusiness brésilien, de ses atteintes à l'environnement et de ses liens avec les sphères politiques.
Une enquête publiée ce mardi 25 juin par le consortium «Forbidden Stories» révèle que plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués. Tsahal a affirmé «ne pas blesser intentionnellement des journalistes».
70 % des journalistes environnementaux ont subi des agressions ou des menaces, dénonce l’Organisation des Nations Unies. Des reporters, cités dans le rapport présenté au Chili par l’ONU, se confient sur leurs vies chamboulées.
Traiter des sujets portant sur l’environnement est de plus en plus dangereux pour les journalistes, qui payent leurs enquêtes parfois de leur propre vie : 70 % d’entre eux ont été la cible d’attaques, de menaces ou de pressions depuis 2009.
Des correspondants et présentateurs travaillant pour des médias britanniques et américains dénoncent l’interdiction qui leur est faite de se rendre dans l’enclave, où ne sont présents qu’une poignée de médias étrangers.
Au moins 65 journalistes ont été tués dans la guerre à Gaza depuis le début des attaques israéliennes, rapporte l'Institut international de la presse (International Press Institute, IPI).
