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Ukraine
Zelensky appelle l'Europe à soutenir financièrement l'Ukraine pendant deux à trois ans et espère que Donald Trump fera pression sur la Chine pour réduire son aide à Moscou.
En moins de 48 heures, des bénévoles tchèques ont récolté plus de 500 000 euros pour financer un missile de croisière Flamingo pour l'armée ukrainienne.
Le ministère russe de la Défense a annoncé ce lundi 27 octobre que l’attaque, survenue dans la nuit, a fait au moins un mort et cinq blessés.
Avec une croissance qui recule, des troupes armées qui ne parviennent pas à avancer en Ukraine et un Donald Trump humilié puisqu’il n’a pas suivi ses conseils pour un retour à la paix, rien ne va ni dans le paysage ni sur le terrain pour le chef du Kremlin, selon l’eurodéputé Renew.
L’Ukraine a lancé, lundi 27 octobre, une salve de drones visant Moscou. Peu coûteux, précis et stratégiques, les engins volants dictent de plus en plus le rythme d’une guerre qui s’automatise et permettent de combler les déficits humains et logistiques des armées.
Jusqu’alors dépendante des missiles et tanks occidentaux, l’Ukraine a décuplé la production et les capacités de ses engins volants militaires. Modifiant profondément la nature de ce conflit.
De la détection à la destruction, l’armée ukrainienne a dû tout inventer, ou presque, pour faire face à cette « arme du pauvre », désormais utilisée à très grande échelle par les forces de Moscou.
Des troupes russes ont pénétré dans la ville de Pokrovsk, dans l'est de l'Ukraine, après des mois d'assauts contre les positions ukrainiennes dans la région, a annoncé dimanche l'armée ukrainienne.
Kirill Dmitriev, envoyé spécial de Vladimir Poutine pour les investissements et la coopération économique, s'est exprimé ce vendredi.
Donald Trump a écarté l'idée d'une nouvelle rencontre avec Vladimir Poutine, estimant qu'aucune discussion ne serait utile sans perspective d'accord sur la fin du conflit en Ukraine.
Alors que les relations russo-américaines se dégradent, le président russe Vladimir Poutine a menacé jeudi d'une réponse "très forte" en cas d'attaque du territoire russe par des missiles américains Tomahawk, dont l'Ukraine réclame la livraison de la part de Washington.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé vendredi que son gouvernement cherchait des moyens de contourner les sanctions américaines contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes destinées à faire pression sur Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine. "Des sanctions ont été prises contre certaines entreprises de pétrole russe (...). Nous travaillons sur des moyens de les contourner", a déclaré M. Orban lors de son interview radio hebdomadaire. "Quiconque souhaite une baisse des prix" notamment de l'énergie "doit défendre le droit de la Hongrie à acheter du pétrole et du gaz à la Russie, ou au même prix que la Russie, ou moins cher", a ajouté le leader nationaliste.
Donald Trump a laissé éclater son exaspération mercredi envers Vladimir Poutine et annoncé des sanctions qualifiées "d'énormes" contre le secteur pétrolier russe, dans l'espoir d'amener Moscou à mettre fin à la guerre en Ukraine. En parallèle, l'Union européenne a annoncé mercredi avoir trouvé un accord pour durcir ses sanctions sur les hydrocarbures russes et tarir les ressources du Kremlin. "Ce sont des sanctions énormes (...) Et nous espérons qu'elles ne dureront pas trop longtemps. Nous espérons qu'un terme sera mis à la guerre", a affirmé le président américain en recevant le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.
Les Etats-Unis ont annoncé mercredi des sanctions contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes, Rosneft et Lukoil, les premières sanctions d'importance prises par Donald Trump contre la Russie depuis son retour au pouvoir. Voici ce que l'on sait sur ces mesures, leur portée et leurs possibles conséquences économiques et politiques, alors que l'UE a annoncé parallèlement un arrêt total des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe d'ici fin 2026.
L'alimentation électrique de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine a été rétablie après une panne record d'un mois depuis l'invasion russe, a déclaré jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). La reprise de l'alimentation de la plus grande centrale d'Europe, occupée depuis mars 2022 par les forces russes est intervenue après la réparation d'une ligne à l'extérieur du site grâce à un cessez-le-feu local. Elle constitue "une étape cruciale pour la sûreté et la sécurité nucléaires", a indiqué l'organisme de surveillance nucléaire des Nations unies dans un message sur X. L'agence a ajouté continuer de travailler avec la Russie et l'Ukraine pour permettre la restauration d'une autre ligne électrique.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a dénoncé jeudi les sanctions américaines contre les groupes pétroliers Rosneft et Lukoil, affirmant que la Russie était "immunisée" contre ces pressions économiques. "Nous considérons cette démarche comme étant exclusivement contre-productive", a déclaré Maria Zakharova lors de son briefing hebdomadaire.
Les dirigeants de l'UE ont demandé jeudi à la Commission européenne d'explorer les moyens de financer l'Ukraine sur les deux années à venir en laissant le porte ouverte à la mise en place d'un prêt s'appuyant sur les avoirs russes gelés, ont indiqué plusieurs diplomates à l'AFP.
Le président Vladimir Poutine a estimé jeudi que les sanctions prises la veille par Washington contre le secteur pétrolier russe étaient "sérieuses" mais qu'elles n'auraient pas d'"impact significatif" sur l'économie de son pays.
Les Etats-Unis ont annoncé des sanctions contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes, Rosneft et Lukoil, et l'Union européenne a décidé un arrêt total des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe d'ici à fin 2026. Voici ce que l'on sait sur ces mesures, leur portée et leurs possibles conséquences économiques et politiques.
Moscou mène une politique de russification et de militarisation forcées dans les territoires occupés, afin d’en transformer les habitants en soldats. Ces Ukrainiens d’origine, envoyés en nombre sur le front, représentent déjà un quart des prisonniers de guerre aux mains de Kiev, révèle « Le Monde ».
Donald Trump a expliqué mardi le report sine die de sa rencontre avec Poutine en disant qu'il ne voulait pas de discussions "pour rien", alors que les deux dirigeants envisageaient de se réunir à Budapest pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a entamé mercredi par la Norvège une tournée dans plusieurs pays européens pour obtenir plus d'aide face à Moscou, qui a assuré de son côté que le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump était toujours d'actualité. M. Zelensky se rend en Europe juste après une nouvelle vague de frappes russes nocturnes sur le secteur énergétique ukrainien, qui ont fait au moins six morts et provoqué des coupures de courant à travers le pays. Le président ukrainien a atterri en fin de matinée à Oslo pour rencontrer le Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Støre, avant un entretien prévu en Suède avec le Premier ministre Ulf Kristersson dans la ville de Linköping, siège du groupe de défense Saab, qui produit l'avion de chasse Gripen, des systèmes d'armes et sous-marins.
Face à la Russie, l'Ukraine finance une dissuasion à l'échelle de l'Otan, sans intégration au niveau de l'Otan. Il faut reconnaître l'Ukraine comme indispensable à l'avenir de l'Europe et agir en conséquence.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a signé mercredi en Suède une lettre d'intention pour l'achat de jusqu'à 150 avions de chasse Gripen, lors d'une tournée européenne visant à obtenir plus d'aide face à Moscou qui continue de bombarder le pays. Sur le plan diplomatique et alors que les négociations semblent dans l'impasse pour mettre fin au conflit, Moscou a assuré mercredi que le sommet entre le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Donald Trump était toujours d'actualité.
Les dirigeants européens ont affirmé mardi avec le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, que la ligne de front actuelle devait servir de "base" aux discussions avec la Russie, dans une déclaration en soutien aux efforts de paix de Donald Trump.
L'Union européenne a franchi lundi une étape importante dans ses efforts pour assécher l'économie de guerre de la Russie, la majorité des Etats membres ayant approuvé le principe d'une interdiction, d'ici fin 2027, des importations de gaz naturel russe. Cette mesure phare, proposée par la Commission européenne au printemps, était au menu d'un conseil des ministres européens de l'Energie à Luxembourg, où elle a recueilli un large consensus. La Slovaquie et la Hongrie, pays enclavés et très dépendants des hydrocarbures russes, étaient opposés à cette interdiction mais ont été mis en minorité.
Alors que le président américain, Donald Trump, a annoncé une rencontre prochaine avec son homologue russe Vladimir Poutine, les dirigeants européens ont confirmé, mardi, leur soutien aux efforts de paix en Ukraine. Mais la Russie a relativisé les chances que ce sommet intervienne rapidement.
Reçu à la Maison Blanche la semaine dernière, le président ukrainien a non seulement dû renoncer aux missiles tomahawks qu’il espérait obtenir de Trump, mais il a en plus été enjoint à répondre à l’une des principales exigences de Poutine, selon un haut responsable ukrainien.
Le président américain Donald Trump a déclaré dimanche que l'Ukraine et la Russie devaient geler la ligne de front et mettre un terme à la guerre, ce qui impliquerait un partage de la région ukrainienne du Donbass.
Les ministres de l'Énergie de l'Union européenne devraient approuver lundi l'interdiction totale des importations de gaz russe d'ici fin 2027, proposée au printemps par la Commission. Une adoption définitive espérée avant le Nouvel An "Je m'attends à ce que nous ayons la majorité requise pour soutenir cette mesure", a déclaré à la presse le ministre danois de l'Énergie Lars Aagaard, qui préside cette réunion ministérielle à Luxembourg. Une fois endossée par les 27, la mesure devra encore être négociée avec le Parlement européen. Le Danemark, qui exerce la présidence tournante de l'UE jusqu'à la fin de l'année, espère une adoption définitive avant le Nouvel An, a précisé M. Aagaard.
