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Moscou
Sabotages, incendies suspects et câbles sectionnés en mer Baltique : les opérations clandestines imputées à Moscou se multiplient à travers l'Europe. Plusieurs gouvernements tirent la sonnette d'alarme, mais une riposte commune peine à émerger.
Le père d'Elon Musk s'est rendu à Moscou pour assister au "Forum du futur 2050", organisé par l'Institut Tsargrad.
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.
La Russie a dénoncé jeudi les attaques israéliennes dans la bande de Gaza comme une "punition collective de la population civile", en appelant à mettre fin "immédiatement à l'effusion de sang".
Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
La Russie a proposé mercredi à l'Ukraine une deuxième séance de pourparlers directs à Istanbul, le 2 juin, afin de lui transmettre son "mémorandum" censé exposer les conditions russes pour un accord de paix durable
La chercheuse en géopolitique Christine Dugoin-Clément, en revenant sur les actions non revendiquées, cyberattaques et autres campagnes de désinformation lancées par le régime de Vladimir Poutine depuis 2007, celui-ci a sapé avec efficacité l’ordre international.
Le trafic aérien a été suspendu jeudi autour de Moscou en raison d'attaques de drones ukrainiens, a indiqué le ministère russe de la Défense, affirmant que sur un total d'une centaine de drones interceptés, 35 l'avaient été à l'approche de la capitale.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a réaffirmé mardi que la Russie serait visée par un nouveau train de sanctions, en l'absence de "réel progrès cette semaine" dans la recherche d'un cessez-le-feu en Urkaine, a prévenu mardi le nouveau chancelier Friedrich Merz.
La Russie a refusé d’annoncer mardi si le président russe se rendrait à Istanbul pour y rencontrer son homologue ukrainien dans le cadre de négociations directes pour mettre fin au conflit.
Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays européens majeurs se réunissent ce lundi pour des discussions jugées "capitales" sur l'Ukraine, deux jours après l'ultimatum lancé par les alliés de Kiev à Moscou concernant un cessez-le-feu.
"Le langage des ultimatums est inacceptable pour la Russie, il ne convient pas. On ne peut pas parler ainsi à la Russie", a taclé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien auquel participe l'AFP. Le Kremlin a dit lundi vouloir des négociations "sérieuses" pour aboutir à un règlement du conflit en Ukraine et une paix à long terme, après une proposition du président Vladimir Poutine d'organiser jeudi des discussions directes entre Russes et Ukrainiens à Istanbul.
Moscou exige comme condition préalable à un cessez-le-feu avec Kiev que les Etats-Unis et l'Union européenne cessent leurs livraisons d'armes à l'Ukraine, a indiqué le Kremlin samedi.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé vendredi qu'un missile balistique fabriqué en Corée du Nord mais tiré par la Russie lors de frappes sur Kiev, qui ont tué la veille 12 personnes, contenait également des composants de fabrication américaine.
Le président américain Donald Trump a assuré ce mercredi 23 avril qu’un accord de cessez-le-feu en Ukraine était «très proche», accusant toutefois son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky de compliquer les pourparlers avec ses «propos incendiaires» sur la Crimée. Cette nouvelle sortie contre Volodymyr Zelensky intervient au moment où des discussions entre responsables américains, ukrainiens et européens se sont tenues à Londres.
Les sceptiques diront que les positions des belligérants restent diamétralement opposées et qu’aucun accord de paix n’est en vue. Pour autant, les lignes ont bougé, les perspectives des protagonistes aussi. De fait, l’administration Trump a refaçonné l’ordre du jour en mettant la fin des hostilités au cœur des discussions : c’est la fin du "quoi qu’il en coûte aussi longtemps que nécessaire" qui faisait office de stratégie chez les Occidentaux depuis 2022. Cette rupture rebat les cartes, en premier lieu pour l’Ukraine.
Donald Trump a prévenu vendredi que les Etats-Unis étaient prêts à passer à autre chose "très bientôt", si un accord n'était pas trouvé entre Moscou et Kiev pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
"Une frappe avec ces missiles contre des installations russes […] sera considérée comme une participation directe de l’Allemagne aux hostilités aux côtés du régime de Kiev, avec toutes les conséquences que cela implique", a mis en garde la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, citée par les agences de presse russes. Selon elle, "le tir réel de ces missiles de croisière est impossible sans l’assistance directe des militaires de la Bundeswehr", l’armée allemande.
Arrêtée à l’aéroport de Chisinau par le Centre national de lutte contre la corruption, Evguenia Gutsul, la gouverneure de la province autonome de Gagaouzie, a demandé l’aide de Vladimir Poutine. L’affaire pourrait fragiliser la stabilité de la Moldavie, scrutée par la Russie.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusés mercredi de vouloir faire échouer un accord, annoncé la veille par l'intermédiaire des Etats-Unis et qui doit déboucher, sous conditions, à une trêve en mer Noire et à un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques. Mercredi matin, les belligérants ont donc dénoncé les attaques menées dans la nuit par chaque camp.
La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.
Une rencontre attendue entre responsables russes et américains sur la guerre en Ukraine n'a pas abouti à une trêve, même limitée, Moscou ayant posé mardi ses conditions avant tout accord concernant la mer Noire, parmi lesquelles un assouplissement des restrictions sur ses exportations agricoles.
Les États-Unis se sont accordés avec l’Ukraine pour mettre fin aux combats en mer Noire, avant d’annoncer que la Russie allait également cesser les hostilités. [...] La Maison Blanche a annoncé mardi 25 mars s’être mis d’accord avec Kyiv pour cesser les hostilités en mer Noire, avant d’assurer que la Russie allait également suspendre les combats dans cette région. L’Ukraine puis la Russie ont confirmé la cessation des combats sur cette zone.
Kiev et Moscou se sont accusés vendredi davoir attaqué limportante station de mesure de gaz de Soudja, occupée par les forces ukrainiennes depuis lété 2024 dans la région russe frontalière de Koursk et qui autrefois permettait le transport du gaz russe vers lEurope via le territoire ukrainien.La télévision dEtat russe Rossia 24, ainsi que plusieurs chaînes russes dactualités sur Telegram, dont Baza --réputée proche des forces de lordre-- et Mash, ont publié des images de la station en flammes, accusant larmée ukrainienne den être responsable.Aucune annonce officielle na été faite toutefois par les autorités russes.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
"La manipulation et l'interférence des informations constituent une menace majeure pour la sécurité de l'UE", a déclaré la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas, dans un rapport. Dans son dernier rapport annuel sur le sujet, l'UE indique que l'année dernière, elle a identifié des attaques de désinformation contre plus de quatre-vingts pays et plus de deux cents organisations.
La Russie annonce qu'elle compte insister pour que l'Ukraine ne rejoigne par l'Otan pour qu'un traité de paix soit signé, selon les propos du vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.
La trentaine de dirigeants soutenant l'Ukraine qui ont participé samedi à un sommet virtuel organisé par Londres ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre, pour la pousser à accepter un cessez-le-feu.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé samedi Moscou de retarder les discussions sur l'instauration d'une trêve de 30 jours proposée par Kiev et Washington afin de renforcer ses positions sur le champ de bataille.
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Sabotages, incendies suspects et câbles sectionnés en mer Baltique : les opérations clandestines imputées à Moscou se multiplient à travers l'Europe. Plusieurs gouvernements tirent la sonnette d'alarme, mais une riposte commune peine à émerger.
Le père d'Elon Musk s'est rendu à Moscou pour assister au "Forum du futur 2050", organisé par l'Institut Tsargrad.
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.
La Russie a dénoncé jeudi les attaques israéliennes dans la bande de Gaza comme une "punition collective de la population civile", en appelant à mettre fin "immédiatement à l'effusion de sang".
Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
La Russie a proposé mercredi à l'Ukraine une deuxième séance de pourparlers directs à Istanbul, le 2 juin, afin de lui transmettre son "mémorandum" censé exposer les conditions russes pour un accord de paix durable
La chercheuse en géopolitique Christine Dugoin-Clément, en revenant sur les actions non revendiquées, cyberattaques et autres campagnes de désinformation lancées par le régime de Vladimir Poutine depuis 2007, celui-ci a sapé avec efficacité l’ordre international.
Le trafic aérien a été suspendu jeudi autour de Moscou en raison d'attaques de drones ukrainiens, a indiqué le ministère russe de la Défense, affirmant que sur un total d'une centaine de drones interceptés, 35 l'avaient été à l'approche de la capitale.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a réaffirmé mardi que la Russie serait visée par un nouveau train de sanctions, en l'absence de "réel progrès cette semaine" dans la recherche d'un cessez-le-feu en Urkaine, a prévenu mardi le nouveau chancelier Friedrich Merz.
La Russie a refusé d’annoncer mardi si le président russe se rendrait à Istanbul pour y rencontrer son homologue ukrainien dans le cadre de négociations directes pour mettre fin au conflit.
Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays européens majeurs se réunissent ce lundi pour des discussions jugées "capitales" sur l'Ukraine, deux jours après l'ultimatum lancé par les alliés de Kiev à Moscou concernant un cessez-le-feu.
"Le langage des ultimatums est inacceptable pour la Russie, il ne convient pas. On ne peut pas parler ainsi à la Russie", a taclé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien auquel participe l'AFP. Le Kremlin a dit lundi vouloir des négociations "sérieuses" pour aboutir à un règlement du conflit en Ukraine et une paix à long terme, après une proposition du président Vladimir Poutine d'organiser jeudi des discussions directes entre Russes et Ukrainiens à Istanbul.
Moscou exige comme condition préalable à un cessez-le-feu avec Kiev que les Etats-Unis et l'Union européenne cessent leurs livraisons d'armes à l'Ukraine, a indiqué le Kremlin samedi.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé vendredi qu'un missile balistique fabriqué en Corée du Nord mais tiré par la Russie lors de frappes sur Kiev, qui ont tué la veille 12 personnes, contenait également des composants de fabrication américaine.