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Elon Musk défie la domination de ChatGPT avec sa propre intelligence artificielle : Grok. Avec un style provocateur et un « humour rebelle », la nouvelle IA de Musk promet d’être un grand rival de ChatGPT et est directement intégrée à X (anciennement Twitter), la plateforme qu’il contrôle depuis 2022.Grok n’est pas simplement un autre chatbot : c’est le pari personnel de Musk pour redéfinir la manière dont nous interagissons avec l’intelligence artificielle. Disponible pour les abonnés Premium+ de X, ce modèle a été conçu pour offrir des réponses plus audacieuses, moins politiquement correctes et avec des informations actualisées en temps réel. Selon Musk lui-même, son IA « ne permettra pas la censure politiquement correcte », un slogan qui vise à attirer ceux qui se plaignent des filtres des modèles concurrents comme ChatGPT.
Après une mise à jour visant à le rendre plus « politiquement incorrect », le chatbot, qui répond aux questions des utilisateurs de X, a déraillé. L’entreprise a rétropédalé.
Grok, le logiciel d'intelligence artificielle d'Elon Musk, a dérapé ces derniers jours en émettant une tirade antisémite. Il a notamment indiqué qu'Hitler pourrait régler le problème migratoire aux Etats-Unis. Cette publication étrange est survenue après une mise à jour voulue par M. Musk destinée à ne pas éliminer systématiquement tous les contenus politiquement incorrects.
"Ridicule", a commenté Donald Trump, après l’annonce par Elon Musk du lancement de son Parti de l’Amérique. La rupture entre les deux anciens alliés est aussi brusque que violente. L’homme le plus riche du monde a décidé de se lancer lui-même en politique, furieux des choix budgétaires du 47e président des Etats-Unis. Il a en ligne de mire les élections de mi-mandat, avec l’objectif de priver Donald Trump de sa majorité au Congrès et de pourrir sa fin de mandat.
L'ancien allié de Donald Trump, Elon Musk, a annoncé samedi créer sa propre formation politique, appelée le "parti de l'Amérique". Il avait lancé un sondage sur cette idée sur son réseau social X vendredi, jour de la fête nationale américaine et de la promulgation en grande pompe de la "grande et belle loi" de Donald Trump."Par un rapport de deux contre un, vous voulez un nouveau parti politique, et vous l'aurez !", a lancé samedi le magnat de la tech, alors que 65 % des quelque 1,2 millions de votants ont répondu "oui" à la question de savoir s'ils souhaitaient que le "parti de l'Amérique" voie le jour.
« Aujourd’hui, le Parti de l’Amérique est créé pour vous rendre votre liberté », a écrit le patron de Tesla et de SpaceX sur son réseau social X. Sa relation avec le président républicain avait explosé, début juin, dans une violente escalade verbale, à la suite de leur désaccord sur la loi budgétaire.
Elon Musk ne soutient pas la "grande et belle loi budgétaire" proposée par Trump.
Il y a dix ans entrait en vigueur la loi relative à l'économie sociale et solidaire (ESS), dite loi Hamon, qui a défini le périmètre de cette économie solidaire, démocratique et à lucrativité limitée. A cette occasion, Novethic a rencontré celui qui fut l'instigateur de cette loi, Benoît Hamon, ancien ministre et désormais président d'ESS France, pour évoquer l'importance de ce secteur, face aux dérives du capitalisme contemporain.
Le père d'Elon Musk s'est rendu à Moscou pour assister au "Forum du futur 2050", organisé par l'Institut Tsargrad.
L'entrepreneur démocrate Andrew Yang, ancien candidat à la présidence américaine, aimerait créer un nouveau parti.
Donald Trump a menacé samedi Elon Musk de représailles s'il venait à soutenir des élus démocrates opposés à sa vaste loi budgétaire. "S'il le fait, il devra en payer les conséquences", a assuré le président américain alors que les deux hommes ont violemment affiché leurs désaccords ces derniers jours.
Elon Musk a annoncé jeudi qu'il allait mettre hors service son vaisseau spatial Dragon, utilisé notamment par la Nasa pour acheminer des astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS), après la menace de Donald Trump d'annuler les contrats du multimilliardaire avec l'Etat.
La mission gouvernementale d'Elon Musk à peine terminée, les insultes et les révélations fusent entre le patron de Tesla et le président américain.
Elon Musk s'en est pris de manière inédite et virulente au président américain Donald Trump. Les sociétés des deux personnalités en paient les frais à la Bourse de New York.
Après avoir paradé en binôme infernal pendant plusieurs mois, le président américain et le magnat de la tech s’écharpent désormais sur les réseaux sociaux. Des bisbilles qui ont fait chuter la valeur du titre de Tesla de plus de 14 %.
L’homme d’affaires, qui a officiellement mis un terme à sa mission à la tête du «Doge» cette semaine, a donné une ultime conférence de presse lunaire avec Donald Trump, vendredi 30 mai au soir.
Le patron de SpaceX et Tesla quitte son poste de conseiller du président américain à la tête du département pour l’efficacité gouvernementale (DOGE) juste avant la date butoir du 28 mai, au-delà de laquelle il n’aurait pu rester dans l’équipe de Donald Trump sans remplir des obligations de transparence et de contrôle du Congrès.
Cent soixante quinze milliards de dollars d’économies, 1 086 dollars par contribuable : tel est le bilan affiché par le site du département d’efficacité gouvernementale (DOGE) qu’a dirigé Elon Musk depuis le début du second mandat de Donald Trump et qu’il vient de quitter. Ce chiffre est très en deçà des 1 000 milliards visés initialement. Les dépenses fédérales américaines atteignaient, en 2024, 6 750 milliards de dollars et le déficit laissé par Joe Biden 1 825 milliards.
L’une des plus grandes entreprises danoises a décidé de remplacer les Tesla de sa flotte par des voitures européennes. Tscherning, la plus grande entreprise de construction du Danemark, a déclaré avoir restitué l’intégralité de sa flotte de véhicules Tesla. Et l’entreprise danoise ne se cache pas derrière un discours convenu pour justifier cette annonce puisqu’elle dit clairement qu’elle a rendu ses véhicules électriques en raison des inquiétudes suscitées par l’engagement politique de son PDG, Elon Musk.
Mercredi 14 mai, durant quelques heures, Grok, l’agent conversationnel du réseau social X, a fait montre d’une étrange obsession. Dans ses réponses, l’intelligence artificielle (IA) propriété d’Elon Musk a évoqué répétitivement la thèse d’un « génocide blanc » en Afrique du Sud, même lorsqu’on l’interrogeait sur tout autre chose – comme sur le salaire d’un joueur de baseball, ou la méthode pour changer de logiciel.
Les financements accordés par la Commission européenne ont été rendus publics à la suite d'une demande d'un député européen.
Destructions par les Blancs, le monde après le capitalisme... Ailton Krenak, l’une des voix des peuples indigènes du Brésil, partage sa vision inspirante pour retarder la fin du monde.
Digne d’un épisode de Black Mirror, une nouvelle tendance aux allures dystopiques se pointe sur le réseau X ce début de semaine : des utilisateurs demandent à Grok, l’IA générative d’Elon Musk, de déshabiller les femmes sur leurs publications.
Le multimilliardaire américain Elon Musk a remporté son pari, samedi 3 mai, de créer une petite ville au Texas autour du complexe industriel de son entreprise spatiale, SpaceX. Près de 100 % des 283 personnes appelées aux urnes – des salariés ou des personnes liées au site de Boca Chica Bay, à la frontière mexicaine – ont approuvé la transformation de « Starbase » (« base dans les étoiles »), un terrain côtier de 4 kilomètres carrés, en municipalité à part entière du même nom, dont le maire sera un cadre supérieur de SpaceX.
Considéré par ses partisans comme un visionnaire, Elon Musk incarne le modèle du « leader gourou ». Mais la chute des résultats de Tesla et ses prises de position controversées mettent en lumière les limites d’un leadership fondé sur le culte de la personnalité.
Instauré dès le premier jour de la présidence de Donald Trump, le DOGE, confié à Elon Musk, visait à réaliser 2 000 milliards de dollars d’économie. Cent jours plus tard, il est loin d’avoir accompli cet objectif. Mais pour le camp Trump, DOGE reste un succès idéologique majeur de ce début de mandat.
Elon Musk est devenu l’un des critiques les plus ardents de l’Ukraine et de son président Volodymyr Zelensky, notamment sur X, où il publie régulièrement des messages favorables au Kremlin. La rédaction des Observateurs de France 24 a analysé plus de 15 000 tweets publiés par le milliardaire pendant cinq mois - à partir de la veille de l’élection de Donald Trump - conjointement avec la RTBF et France Info, dans le cadre d’un projet de l’association des Médias Francophones Publics.
Sur son réseau social X, Elon Musk publie des centaines de messages dénigrant l’Europe et ses valeurs, qu’il juge trop “woke”. Une démarche révélatrice de la stratégie globale du milliardaire, lancé dans une offensive idéologique contre le Vieux Continent. […] Ce deuxième volet de notre enquête décrypte son positionnement anti-européen, et ses interactions appuyées avec certaines personnalités de l’extrême droite européenne.
À l’occasion des cent jours du second mandat de Donald Trump, la rédaction des Observateurs de France 24 s’est associée avec la RTBF et France Info pour analyser le discours d’Elon Musk, l’un des plus proches conseillers du président américain sur la période. Notre enquête, réalisée dans le cadre de l’Association des Médias Francophones Publics, est une plongée en deux volets dans les tweets du propriétaire de la plateforme X : elle documente comment le milliardaire, devenu un relais actif de l'administration américaine à l'international, diffuse une idéologie hostile à l’Ukraine et favorable à l’extrême droite européenne.
Ce mardi 29 avril, le 47ème président des États-Unis célèbre ses «100 jours» au pouvoir. En trois mois, le leader républicain a brutalisé la société américaine et bousculé l’équilibre économique et géopolitique mondial. Récit, depuis son investiture jusqu’à aujourd’hui, de dix moments marquants.