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océans

avril 2024

La Bretagne ne suivra pas l’exemple de la Grèce, qui a récemment annoncé vouloir interdire, d’ici deux ans, le chalutage de fond dans ses parcs nationaux. Le 19 avril, le Conseil régional de Bretagne, présidé par l’ancien socialiste Loïg Chesnais-Girard, a rejeté un vœu déposé par les Écologistes de Bretagne, qui proposait d’interdire les techniques de pêche destructrices – comme le chalutage de fond ou la senne démersale – dans les aires marines protégées. Voter en faveur de ce vœu aurait pu marquer « un (...)
Bonne nouvelle ! Le gouvernement grecque a annoncé l’interdiction du chalutage de fond dans toutes ses aires protégées d’ici 2030.
La Grèce a annoncé vouloir interdire le chalutage de fond dans ses aires marines protégées d’ici 2030. Une pratique de pêche destructrice, que la France refuse encore de bannir. Une lueur d’espoir pour la Méditerranée ? Lors de la conférence « Our Ocean », qui s’est tenue du 15 au 17 avril à Athènes, la Grèce a annoncé vouloir interdire le chalutage de fond dans ses parcs nationaux d’ici deux ans. Elle prévoit de bannir cette pratique de pêche destructrice de l’ensemble de ses aires marines protégées — qui (...)
Planche de chalut. Cette décision inédite s’accompagne de la création de nouveaux parcs nationaux marins et de moyens renforcés pour protéger ces écosystèmes.
Malgré les menaces que l’humanité fait peser sur son environnement, le gouvernement tient des discours déconnectés du réel et pratique la course de lenteur, fustige un collectif de 260 scientifiques, dont le climatologue Jean Jouzel, dans une tribune au « Monde ».
Raies manta, requins-bouledogues et autres espèces marines sont menacées par un phénomène peu connu, l’“upwelling”, renforcé par le dérèglement climatique, révèle une étude.
The law will come into force in national parks within two years and in all of the country’s marine protected areas by 2030
Ils manquent pas d’aires. Paris reproche à Londres de mettre en danger la filière de la pêche en interdisant le chalutage dans certaines aires marines protégées du Royaume-Uni.
Pour la deuxième fois en dix ans, tous les coraux de la planète connaissent un épisode massif de blanchissement du fait de températures océaniques extrêmes, alerte lundi l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Au moment où le Royaume-Uni fait preuve d’une détermination exemplaire pour mettre en œuvre les recommandations scientifiques et les engagements internationaux en matière de protection de l’océan et où le gouvernement britannique commence à interdire le chalutage de fond dans quelques zones restreintes de ses aires marines protégées, un axe anti-écologique formé par la droite et l’extrême droite françaises refait surface pour tenter de faire plier Londres et la Commission européenne et empêcher une réelle protection des eaux britanniques. Comble de l’ironie, le pays qui a quitté l’UE est le seul à appliquer sérieusement les règles européennes en matière de protection des océans, des écosystèmes et du climat.
Pour la première fois depuis l’aire préindustrielle (1850-1900), le fameux seuil de +1.5°C a été atteint ou presque (+1.48°C signalé par Copernicus (*) à l’échelle globale pulvérisant le précédent record (2017) de +0.17°C. Depuis juillet 2023, c’est en fait tous les jours ou presque que la température bat les précédents records journaliers avec des anomalies à l’échelle globale atteignant parfois les +2°C ces derniers mois. Enfin, la hausse du niveau des mers a fait un « bon » en 2023 en augmentant de presque un facteur deux par rapport aux précédentes années. Si une telle accélération de la hausse du niveau marin a été observée, ce n’est pas à cause d’une fonte subite des calottes polaires mais, à cause de l’expansion thermique des océans qui se sont « subitement » réchauffés en 2023. En Atlantique Nord par exemple, la température de surface a augmenté de +0.4°C par rapport à 2022 alors qu’elle n’avait quasiment plus évolué sur la période 2020-2022. Mais pourquoi un tel emballement des températures des océan
De nombreux posts sur Facebook et X citent une étude, affirmant que ses conclusions démontrent que la superficie de certaines îles augmente et ainsi que le niveau des mers ne monte pas. Or, l’étude en question conclut que certaines îles ont gagné du terrain sur la mer, notamment en raison d’activités humaines, mais ne remet en aucun cas en question la hausse du niveau de la mer et son lien avec le réchauffement climatique.
Dans cet archipel des Caraïbes, plus d’une centaine de sites archéologiques sont menacés par l’érosion côtière, dont «une quinzaine sont déjà en train de partir à la mer».
Alors que l’antenne française de l’ONG de défense des océans vient de remporter en justice une bataille fratricide, sa présidente Lamya Essemlali s’interroge sur l’indépendance et les modes d’actions des organisations internationales.
Le ministère de la Transition écologique a dévoilé ce vendredi 5 avril plusieurs cartes des zones concernées par l’érosion du littoral, avec des projections à horizon 2028, 2050 et 2100.