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L’année 2024 vient de marquer un tournant climatique que les scientifiques redoutaient depuis des décennies. Pour la première fois depuis le début des enregistrements, le dioxyde de carbone a atteint un niveau record qui ne laisse aucune place au doute : notre planète s’engage vers un réchauffement dont les effets se feront sentir pendant des siècles. Ce n’est pas une hypothèse, c’est un constat établi par l’Organisation météorologique mondiale.
La concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère a connu l’an dernier sa plus forte hausse depuis 1957, a alerté mercredi l’Organisation météorologique des Nations unies (OMM). En cause, l’augmentation continue des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine, qui affaiblit la capacité des forêts et des océans à absorber le carbone.
Les chiffres tombent, et ils racontent une histoire que personne ne peut plus ignorer. Septembre 2025 vient d’entrer dans les annales climatiques avec un statut qui en dit long sur la trajectoire de notre planète. L’observatoire européen Copernicus, référence mondiale en matière de surveillance climatique, a publié jeudi des données qui confirment une tendance désormais installée : la Terre continue de se réchauffer, et les records s’enchaînent avec une régularité troublante.
Par rapport à 2023, la concentration moyenne mondiale de dioxyde de carbone a enregistré l’année dernière sa « plus forte hausse depuis le début des mesures modernes en 1957 », a précisé, mercredi, l’Organisation météorologique mondiale dans son 21ᵉ bulletin annuel.
Des records de chaleur ont été frôlés en septembre, non loin de celui de 2023 et du deuxième septembre le plus chaud, en 2024.
Les émissions de carbone dans l’atmosphère en 2025 sont les plus importants jamais enregistrés. Une hausse liée aux nombreux feux de forêt.
Much attention today focuses on uncertainties affecting the future evolution of oil and natural gas demand, with less consideration given to how the supply picture could develop. However, understanding decline rates – the annual rate at which production declines from existing oil and gas fields – is crucial for assessing the outlook for oil and gas supply and, by extension, for market balances. The International Energy Agency (IEA) has long examined this issue, and a detailed understanding of decline rates is at the heart of IEA modelling and analysis, underpinning the insights provided by the scenarios in the World Energy Outlook. This new report – based on analysis of the production records of around 15 000 oil and gas fields around the world – explores the implications of accelerating decline rates, growing reliance on unconventional resources, and evolving project development patterns for the global oil and gas supply landscape, for energy security and for investment. It also provides regional insights
Jamais une telle superficie de forêts n’avait brûlé en Europe à cette période de l’année. Certains pays habituellement épargnés sont fortement touchés.
La préfecture des Ardennes a interdit la consommation de l’eau du robinet pour près de 3 000 habitant·es de treize communes du département, forcé·es de changer leurs habitudes. En cause, la présence de PFAS dépassant largement les limites sanitaires. Reportage.
Aux Etats-Unis, en Asie, au Moyen-Orient comme en Europe, les relevés historiques de température s’enchaînent cet été. Battant de précédents records pourtant déjà très élevés et récents, explique le climatologue Pascal Yiou.
Extreme heat is breaking records around the world, with wildfires and poor air quality compounding the crisis, according to a report from the World Meteorological Organization (WMO) released Thursday.
La population japonaise a diminué d’un nombre record – plus de 900.000 personnes – en 2024, selon les données officielles nippones publiées mercredi, malgré les efforts du gouvernement pour tenter de relancer la natalité.
Le Japon a enregistré ce mardi une température historique de 41,8°C, a annoncé l'agence météorologique nationale (JMA). Cette température caniculaire constatée dans la ville d'Isesaki (est) est la plus élevée jamais enregistrée dans le pays depuis le début des relevés. Elle dépasse le précédent record de 41,2°C constaté mercredi dernier dans la ville de Tamba, de la région occidentale de Hyogo. Le Japon a déjà connu cette année les mois de juin et juillet les plus chauds de son histoire.
Cette chaleur caniculaire constatée dans la ville d’Isesaki (est) est la plus élevée jamais enregistrée dans le pays depuis le début des relevés.
Les pays nordiques souffrent d’une période prolongée de températures élevées, particulièrement dans les zones les plus au Nord, situées dans le cercle polaire.
Comme en 2023 et 2024, des brasiers monstres consument le centre et l’ouest du pays d’Amérique du Nord, qui subit une saison des feux particulièrement précoce. La barre des 5 millions d’hectares partis en fumée a déjà été franchie.
2024 was the hottest year on record [1], with global temperatures exceeding 1.5 °C above preindustrial climate conditions for the first time and records broken across large parts of Earth’s surface. Among the widespread impacts of exceptional heat, rising food prices are beginning to play a prominent role in public perception, now the second most frequently cited impact of climate change experienced globally, following only extreme heat itself [2]. Recent econometric analysis confirms that abnormally high temperatures directly cause higher food prices, as impacts on agricultural production [3] translate into supply shortages and food price inflation [4, 5]. These analyses track changes in overall price aggregates which are typically slow-moving, but specific food goods can also experience much stronger short-term price spikes in response to extreme heat.
Les autorités iraniennes ont appelé les habitants à réduire leur consommation d'eau à un moment où le pays est confronté à de graves pénuries en raison d'une vague de chaleur persistante, ont rapporté dimanche des médias d'Etat. Pays aride, l'Iran est régulièrement confronté à des épisodes de sécheresse, en particulier dans ses provinces méridionales. Le pays est par ailleurs confronté à la semaine la plus chaude de l'année avec des températures qui dépassent localement les 50°C, selon la météo nationale.
Présenté comme une réponse à la crise agricole de janvier 2024, le texte prévoit notamment la réintroduction d’un insecticide interdit, l’acétamipride.
Des chercheurs sud-coréens ont mis au point un nouveau procédé électrochimique permettant de convertir le CO₂ en alcool allylique, un composé aux nombreuses applications industrielles, avec un rendement record. Ils ont notamment atteint un rendement Faraday de 66,9 %, soit environ quatre fois supérieur aux rendements des meilleures techniques existantes. La technique pourrait ouvrir la voie à une mise à l’échelle industrielle du recyclage du CO₂ en produits chimiques utiles, un défi de longue date pour les technologies de ce type.
Terwijl Europa zucht onder recordhittegolven, lijkt de politiek de kop in het zand te steken en blijven concrete klimaatplannen uit. Hoe is het mogelijk dat, terwijl de aarde steeds sneller opwarmt, er minder actie wordt ondernomen dan ooit tevoren?
La France vient de connaître son second mois de juin le plus chaud, a annoncé le 2 juillet le gouvernement. Depuis le début des mesures, en 1900, seul le mois de juin 2003 a été plus chaud. L’anomalie de température a atteint +3,3 °C contre +3,6 °C en juin 2003, a précisé à l’AFP le ministère de la Transition écologique. L’Hexagone avait déjà connu lundi 30 juin sa nuit puis sa journée les plus chaudes jamais enregistrées pour un mois de juin, avec une moyenne de 20,2 °C durant la nuit et de 28 °C durant la journée. Mardi 1er juillet, Météo-France a relevé 41,3 °C à Nîmes, 39,3 °C à Toulouse et 38,1 °C à Paris.
Le pic de l'épisode caniculaire qui touche la France est attendu mardi, avec des températures pouvant grimper jusqu’à 41 °C et 16 départements placés en vigilance rouge. Fermetures d’écoles, ralentissement de l’activité économique, hausse de la pollution et orages violents : les effets de la canicule se multiplient.
Avec une température moyenne de 19,3°C, soit 2,6°C au-dessus des normales, juin 2025 se classe comme le deuxième mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Belgique,
Les scientifiques alertent sur la hausse des températures en cours en Europe, notamment sur le littoral méditerranéen. Entre la surchauffe des nuits et le risque accentué d’orages surpuissants, les conséquences ne se cantonneront pas à la mer.
Tout le sud du continent est frappé par cette canicule particulièrement précoce. En Italie comme en Grèce, les autorités ont pris des mesures drastiques pour limiter les activités professionnelles en pleine journée.
Extreme heat ‘the new normal’, says UN chief, as authorities across the continent issue health warnings
Brazil records 62% jump in area burned by forest fires: monitor
Avec 46 °C, ce village de l’Hérault avait enregistré le 28 juin 2019 la température la plus élevée jamais connue en France. Alors que le Sud-Est connaît en ce moment un pic de chaleur, la commune tente de s’adapter au réchauffement climatique.
La chaleur est restée la nouvelle norme dans le monde au mois de mai, aussi bien sur terre que sur les mers, nombre d'entre elles connaissant toujours des températures "inhabituellement élevées" comme depuis plus de deux ans.
