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[...] Sous pression américaine, Kiev a accepté, mi-mars, une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours. La Russie avait rejeté cette initiative en l'état mais accepté une trêve plus limitée en mer Noire et dans les frappes sur les infrastructures énergétiques, dont la mise en œuvre reste incertaine. [...] Ces derniers jours, Kiev a dénoncé une multiplication des frappes russes, notamment un tir de missile qui a touché vendredi une zone d'habitation à Kryvyï Rig (centre) et qui a fait 20 morts, dont neuf enfants, selon Kiev.
Alors que les marchés financiers s'effondrent en réaction aux droits de douane réciproques imposés par le président américain, un homme persiste à défendre cette stratégie commerciale agressive. Peter Navarro, l'influent conseiller au commerce de Donald Trump, est l'artisan de cette politique qui fait vaciller l'économie mondiale. L'histoire devient surréaliste, quand il apparaît que dans ce livre, comme dans d'autres publications plus anciennes, Peter Navarro s'appuie régulièrement sur les travaux d'un certain Ron Vara pour justifier son hostilité à Pékin, et dénoncer les pratiques chinoises. Or, ce Ron Vara n'existe pas. C’est tout simplement l'anagramme de Navarro, un avatar qu'il a fini par reconnaître avoir inventé comme un "dispositif fantaisiste".
L’homme le plus riche du monde s’en est pris à la guerre commerciale du président américain via une vidéo de l’économiste Milton Friedman, avant de cibler publiquement ce mardi 8 avril son inspirateur Peter Navarro. [...] Ça sent le sapin pour la bromance Trump-Musk. Le second s’en est violemment pris au conseiller au commerce du premier ce mardi 8 avril, dans deux messages successifs publiés sur X. Elon Musk a estimé que Peter Navarro - l’inspirateur de la politique de droits de douane du président américain - est un «crétin», «bête comme ses pieds».
La proclamation tonitruante par Donald Trump, le 2 avril dernier, d’une hausse brutale des tarifs douaniers à l’encontre de très nombreux pays du monde ne répond pas uniquement à une (très discutable, par ailleurs) logique économique. Elle s’inscrit pleinement de la vision du monde éminemment conflictuelle chère au locataire de la Maison Blanche.
Après un week-end passé à jouer au golf, Donald Trump s’est montré inflexible, bluffant sur des «négociations» avec certains alliés, vite démenties par ses conseillers, faisant de la surenchère contre la Chine, appelant les Américains à «tenir bon» et à ne pas vendre leurs avoirs financiers. Mais 90 % des actions en bourse appartiennent à 10 % des investisseurs, et ceux-là risquent d’avoir besoin d’argent liquide pour rembourser des clients plus inquiets – ou plus lucides – que les autres. On atteindrait dans ce cas la dynamique tant redoutée du krash de 2008, voire de 1929.
Des dizaines de milliers de manifestants sont attendus ce samedi à travers les États-Unis, au Canada, au Mexique, ainsi que dans des pays européens, pour dénoncer les réformes radicales impulsées depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Plus de 1 200 rassemblements sont prévus sur le sol américain.
Lors d’un discours mercredi à la Maison Blanche, le président américain a détaillé par le menu les taxes douanières «réciproques» qui s’imposeront désormais aux partenaires économiques des Etats-Unis. La Chine, avec 34 %, et l’Union européenne, avec 20 % de tarifs douaniers, sont parmi les plus touchés.
Engagé de longue date dans le soutien aux parents d’enfants neuroatypiques, le président des Etats-Unis défend des positions archaïques sur l’autisme. Depuis vingt ans, sa vision est influencée par la fille d’un couple d’amis, passée de l’errance médicale à un combat antivax. C’est l’histoire d’une lubie trumpiste pas comme les autres. En mars, le nouveau ministre de la santé des Etats-Unis, le lobbyiste Robert F. Kennedy Jr, a confié aux Centres de contrôle des maladies (CDC), la principale agence de santé du pays, la mission d’étudier le lien fantasmatique entre autisme et vaccination.
L’ancien vice-président américain et défenseur de l'environnement Al Gore a accordé un entretien à France 24. Selon lui, "la révolution des énergies renouvelables est inarrêtable". Mais la transition verte peut-elle survivre à Donald Trump, qui a promis de faire de l'Amérique la championne des énergies fossiles ? Nicolas Berghmans, spécialiste de l'énergie et du climat, analyse les propos d'Al Gore.
L'OMS fait face à un manque à gagner de près de 600 millions de dollars en 2025 et n'a "pas d'autre choix" que de commencer à faire des coupes, a expliqué le directeur général de l'institution, Tedros Adhanom Ghebreyesus, dans ce message envoyé vendredi au personnel de l'agence de santé de l'ONU. Le président américain Donald Trump a justifié sa décision en janvier de retirer son pays de l'OMS par l'écart des contributions financières américaines et chinoises, accusant l'organisation d'"arnaquer" son pays.
Un courrier de l’ambassade des États-Unis demande aux sociétés françaises de prouver qu’elles ne mettent pas en œuvre de programmes de promotion de la diversité, de l’équité et de l’inclusion qui enfreignent les lois fédérales, sous peine de ne pas pouvoir travailler avec le gouvernement américain.
Les musées et le zoo Smithsonian à Washington sont parmi les principales attractions touristiques de la capitale américaine, en raison notamment de leur caractère gratuit. Parmi les plus prisés, figurent notamment le musée d'histoire naturelle, la galerie nationale d'art, ou encore le musée national de l'histoire et de la culture afro-américaine, inauguré en 2016 par Barack Obama.
L’ancien vice-président américain est toujours impliqué dans la lutte contre le réchauffement climatique. A l’occasion d’une conférence donnée à Paris vendredi, il a défendu une transition écologique selon lui inéluctable. [...] Il fait partie des points de repère dans un monde chaotique. Alors que l’arrivée de Donald Trump au pouvoir aux Etats-Unis, les guerres en Ukraine et à Gaza et l’austérité budgétaire soumettent la transition écologique à rude épreuve, Al Gore, militant infatigable de la cause climatique, a voulu insuffler, une fois de plus, de l’optimisme dans la bataille contre le réchauffement.
Géochimiste de renommée internationale, Charles Langmuir est professeur à Harvard. Il s'intéresse en particulier à l'évolution de notre planète et à la place de l'être humain sur Terre. Le scientifique américain lance l'alerte pour la planète et "les attaques contre la science" dans son pays.
"Il s'agit de projets sérieux de la part des États-Unis concernant le Groenland, projets qui ont des racines historiques anciennes", a déclaré M. Poutine lors d'une conférence à Mourmansk consacrée à l'Arctique.
Le président américain Donald Trump a signé mardi 25 mars un décret exécutif visant à imposer aux États américains des contrôles renforcés sur les listes électorales et à restreindre le vote par correspondance. Le républicain s'insurge depuis des années contre un système électoral supposément en sa défaveur.
"C'est une île dont nous avons besoin d'un point de vue défensif et offensif", a insisté le président américain dans un entretien avec le podcasteur Vince Coglianese, ajoutant, sans dire comment les Etats-Unis comptaient s'y prendre: "Je n'aime pas le dire comme ça, mais il va nous falloir" prendre possession de l'immense territoire arctique.
En multipliant les menaces contre les personnes et les institutions qu’il considère comme hostiles, le président américain instaure un climat délétère qui fragilise les institutions américaines.
En engageant le pays sur la voie de l’autoritarisme, en s’alignant sur des despotes qui partagent son mépris de la démocratie et de l’Etat de droit, Donald Trump rompt avec une tradition qui faisait des États-Unis un modèle de liberté et de souveraineté, dénonce le sénateur de l’Etat du Vermont dans une tribune publiée par « Le Monde ».
Mais qu’en pensent les Européens ? Sont-ils aussi enclins que leurs dirigeants à soutenir l’achat d’armes, à vouloir augmenter le budget de défense, à craindre la guerre ou Donald Trump ? Une enquête de grande ampleur a sondé l’opinion publique dans neuf Etats de l’Union européenne.
L’administration du président américain, Donald Trump, s’est tournée, lundi 24 mars, vers la Cour suprême des États-Unis pour obtenir la validation de ses coupes dans les effectifs des fonctionnaires, alors qu’un juge de Californie a ordonné que des milliers de personnes soient réembauchées par l’Etat fédéral. [...] Selon la requête gouvernementale auprès de la Cour suprême, « plus de quarante » décisions émanant de juridictions locales bloquent actuellement les orientations données par Donald Trump, une « tendance intenable ».
Donald Trump a suggéré mercredi, dans un appel avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, que les Etats-Unis prennent "possession" des centrales électriques ukrainiennes, ce qui "constituerait la meilleure protection et le meilleur soutien possibles".
Le président américain prévoit de ratifier, ce jeudi 20 mars, un décret visant à fermer le ministère de l’Education et à transférer ses compétences aux Etats. Mais ce démantèlement n’est pas possible sans l’adoption d’une loi au Sénat.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Mais sur la scène intérieure, la tension monte aussi entre le président américain et les médias qui osent s’opposer à sa vision du monde.Ces tensions entraînent une profonde polémique aux États-Unis, en effet, de nombreux observateurs dénoncent une véritable censure et une remise en cause du premier amendement, qui garantit la liberté d’expression. Malgré les plaintes déposées par AP, l’administration Trump est bel et bien en position de force car, comme on l’a vu, les ventes des titres de presses sont en chute libre et beaucoup de journaux dépendent des abonnements gérés par l’État fédéral.
Selon Trust Matsilele, maître de conférences en journalisme, le président américain « alimente des stéréotypes existants et les gens ne s’intéressent pas forcément à la vérité tant qu’elle correspond à leurs attentes politiques ». ... La désinformation à propos de l’Afrique s’est démultipliée depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, y compris sur le continent. Les chercheurs observent un « changement radical » dans les médias en ligne, poussé par l’agitation géopolitique et la méfiance. Quelques exemples dans trois grands pays d’Afrique ces dernières semaines, dont certains démêlés par AFP Fact Check.
C’EPA fini. L’administration de Donald Trump poursuit sa vague de licenciements dans les agences fédérales, et les scientifiques sont toujours en première ligne. Le patron de l’Agence américaine de protection de l’environnement, Lee Zeldin, prévoit de congédier plus de mille biologistes, chimistes et autres expert·es, selon le New York Times.
Washington a suspendu les négociations sur le traité du fleuve Columbia, qui serpente sur près de 2 000 kilomètres entre les deux pays. États-Unis
La Cour suprême, la plus haute instance judiciaire des Etats-Unis, a lancé un rappel à l’ordre public à Donald Trump, mardi 18 mars, en déclarant que le président américain n’était pas fondé à exiger la destitution d’un juge fédéral.
La Vrije Universiteit Brussel (VUB) souhaite attirer des chercheurs américains à Bruxelles, en réponse à ce qu'elle considère comme une "ingérence préoccupante" de l'administration Trump dans la liberté de la recherche académique aux États-Unis. L'université a ouvert un total de 12 postes postdoctoraux avec une attention particulière pour les chercheurs américains, annonce-t-elle lundi.
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[...] Sous pression américaine, Kiev a accepté, mi-mars, une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours. La Russie avait rejeté cette initiative en l'état mais accepté une trêve plus limitée en mer Noire et dans les frappes sur les infrastructures énergétiques, dont la mise en œuvre reste incertaine. [...] Ces derniers jours, Kiev a dénoncé une multiplication des frappes russes, notamment un tir de missile qui a touché vendredi une zone d'habitation à Kryvyï Rig (centre) et qui a fait 20 morts, dont neuf enfants, selon Kiev.
Alors que les marchés financiers s'effondrent en réaction aux droits de douane réciproques imposés par le président américain, un homme persiste à défendre cette stratégie commerciale agressive. Peter Navarro, l'influent conseiller au commerce de Donald Trump, est l'artisan de cette politique qui fait vaciller l'économie mondiale. L'histoire devient surréaliste, quand il apparaît que dans ce livre, comme dans d'autres publications plus anciennes, Peter Navarro s'appuie régulièrement sur les travaux d'un certain Ron Vara pour justifier son hostilité à Pékin, et dénoncer les pratiques chinoises. Or, ce Ron Vara n'existe pas. C’est tout simplement l'anagramme de Navarro, un avatar qu'il a fini par reconnaître avoir inventé comme un "dispositif fantaisiste".
L’homme le plus riche du monde s’en est pris à la guerre commerciale du président américain via une vidéo de l’économiste Milton Friedman, avant de cibler publiquement ce mardi 8 avril son inspirateur Peter Navarro. [...] Ça sent le sapin pour la bromance Trump-Musk. Le second s’en est violemment pris au conseiller au commerce du premier ce mardi 8 avril, dans deux messages successifs publiés sur X. Elon Musk a estimé que Peter Navarro - l’inspirateur de la politique de droits de douane du président américain - est un «crétin», «bête comme ses pieds».
La proclamation tonitruante par Donald Trump, le 2 avril dernier, d’une hausse brutale des tarifs douaniers à l’encontre de très nombreux pays du monde ne répond pas uniquement à une (très discutable, par ailleurs) logique économique. Elle s’inscrit pleinement de la vision du monde éminemment conflictuelle chère au locataire de la Maison Blanche.
Après un week-end passé à jouer au golf, Donald Trump s’est montré inflexible, bluffant sur des «négociations» avec certains alliés, vite démenties par ses conseillers, faisant de la surenchère contre la Chine, appelant les Américains à «tenir bon» et à ne pas vendre leurs avoirs financiers. Mais 90 % des actions en bourse appartiennent à 10 % des investisseurs, et ceux-là risquent d’avoir besoin d’argent liquide pour rembourser des clients plus inquiets – ou plus lucides – que les autres. On atteindrait dans ce cas la dynamique tant redoutée du krash de 2008, voire de 1929.
Des dizaines de milliers de manifestants sont attendus ce samedi à travers les États-Unis, au Canada, au Mexique, ainsi que dans des pays européens, pour dénoncer les réformes radicales impulsées depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Plus de 1 200 rassemblements sont prévus sur le sol américain.
Lors d’un discours mercredi à la Maison Blanche, le président américain a détaillé par le menu les taxes douanières «réciproques» qui s’imposeront désormais aux partenaires économiques des Etats-Unis. La Chine, avec 34 %, et l’Union européenne, avec 20 % de tarifs douaniers, sont parmi les plus touchés.
Engagé de longue date dans le soutien aux parents d’enfants neuroatypiques, le président des Etats-Unis défend des positions archaïques sur l’autisme. Depuis vingt ans, sa vision est influencée par la fille d’un couple d’amis, passée de l’errance médicale à un combat antivax. C’est l’histoire d’une lubie trumpiste pas comme les autres. En mars, le nouveau ministre de la santé des Etats-Unis, le lobbyiste Robert F. Kennedy Jr, a confié aux Centres de contrôle des maladies (CDC), la principale agence de santé du pays, la mission d’étudier le lien fantasmatique entre autisme et vaccination.
L’ancien vice-président américain et défenseur de l'environnement Al Gore a accordé un entretien à France 24. Selon lui, "la révolution des énergies renouvelables est inarrêtable". Mais la transition verte peut-elle survivre à Donald Trump, qui a promis de faire de l'Amérique la championne des énergies fossiles ? Nicolas Berghmans, spécialiste de l'énergie et du climat, analyse les propos d'Al Gore.
L'OMS fait face à un manque à gagner de près de 600 millions de dollars en 2025 et n'a "pas d'autre choix" que de commencer à faire des coupes, a expliqué le directeur général de l'institution, Tedros Adhanom Ghebreyesus, dans ce message envoyé vendredi au personnel de l'agence de santé de l'ONU. Le président américain Donald Trump a justifié sa décision en janvier de retirer son pays de l'OMS par l'écart des contributions financières américaines et chinoises, accusant l'organisation d'"arnaquer" son pays.
Un courrier de l’ambassade des États-Unis demande aux sociétés françaises de prouver qu’elles ne mettent pas en œuvre de programmes de promotion de la diversité, de l’équité et de l’inclusion qui enfreignent les lois fédérales, sous peine de ne pas pouvoir travailler avec le gouvernement américain.
Les musées et le zoo Smithsonian à Washington sont parmi les principales attractions touristiques de la capitale américaine, en raison notamment de leur caractère gratuit. Parmi les plus prisés, figurent notamment le musée d'histoire naturelle, la galerie nationale d'art, ou encore le musée national de l'histoire et de la culture afro-américaine, inauguré en 2016 par Barack Obama.
L’ancien vice-président américain est toujours impliqué dans la lutte contre le réchauffement climatique. A l’occasion d’une conférence donnée à Paris vendredi, il a défendu une transition écologique selon lui inéluctable. [...] Il fait partie des points de repère dans un monde chaotique. Alors que l’arrivée de Donald Trump au pouvoir aux Etats-Unis, les guerres en Ukraine et à Gaza et l’austérité budgétaire soumettent la transition écologique à rude épreuve, Al Gore, militant infatigable de la cause climatique, a voulu insuffler, une fois de plus, de l’optimisme dans la bataille contre le réchauffement.
Géochimiste de renommée internationale, Charles Langmuir est professeur à Harvard. Il s'intéresse en particulier à l'évolution de notre planète et à la place de l'être humain sur Terre. Le scientifique américain lance l'alerte pour la planète et "les attaques contre la science" dans son pays.
"Il s'agit de projets sérieux de la part des États-Unis concernant le Groenland, projets qui ont des racines historiques anciennes", a déclaré M. Poutine lors d'une conférence à Mourmansk consacrée à l'Arctique.