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Le ministère russe de la Défense a annoncé ce lundi 27 octobre que l’attaque, survenue dans la nuit, a fait au moins un mort et cinq blessés.
L’Ukraine a lancé, lundi 27 octobre, une salve de drones visant Moscou. Peu coûteux, précis et stratégiques, les engins volants dictent de plus en plus le rythme d’une guerre qui s’automatise et permettent de combler les déficits humains et logistiques des armées.
Jusqu’alors dépendante des missiles et tanks occidentaux, l’Ukraine a décuplé la production et les capacités de ses engins volants militaires. Modifiant profondément la nature de ce conflit.
De la détection à la destruction, l’armée ukrainienne a dû tout inventer, ou presque, pour faire face à cette « arme du pauvre », désormais utilisée à très grande échelle par les forces de Moscou.
Derrière son écran, l'opérateur donne le top départ: une tête laser montée sur un bras robotique s'attaque à la découpe d'une tuyauterie, une opération-test en réalité virtuelle menée au Commissariat à l'énergie atomique pour répondre aux enjeux du démantèlement des vieilles centrales nucléaires. Des outils de découpe robotisés aux drones d'investigation, ces assistants permettent aux intervenants d'"être moins exposés radiologiquement", explique Hubert-Alexandre Turc, ingénieur-chercheur au CEA, à plusieurs journalistes, lors d'une visite du site de Marcoule (Gard), berceau de l'industrie nucléaire française.
L'armée américaine a déployé des drones au-dessus de la bande de Gaza afin de surveiller le respect du cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, rapporte samedi le New York Times, citant des sources militaires américaines et israéliennes.
Dans le sud de l’Ukraine, un convoi d’aide humanitaire de l’ONU a été ciblé mardi 14 octobre par des drones kamikazes russes, qui ont détruit deux camions. Quelques heures plus tard, des blogueurs militaires russes publiaient triomphalement une vidéo de l’attaque. Des images qui permettent de décrypter les tactiques des opérateurs de drones.
L’Alliance atlantique et l’Union européenne annoncent de nouvelles initiatives pour repérer et neutraliser les engins volants. Mais les spécialistes estiment qu’il n’existe pas aujourd’hui de solution décisive pour les contrer.
La Belgique va signer un accord avec les Pays-Bas concernant l'acquisition de nouveaux systèmes de défense anti-aériens, a annoncé le ministre belge de la Défense Theo Francken mercredi, à l'ouverture d'une réunion avec ses homologues des pays membres de l'Otan à Bruxelles.
La Commission européenne propose que le "mur" anti-drones, annoncé après les récentes incursions de drones russes dans le ciel européen, soit pleinement opérationnel d'ici à 2027, selon un projet consulté par l'AFP et confirmé par des responsables européens.
Face à la recrudescence d'intrusions de drones russes dans son espace aérien, l'Otan annonce un renforcement de sa posture défensive.
La chercheuse Amélie Zima expose, dans une tribune au « Monde », les solutions dont dispose l’Alliance atlantique face à la violation de l’espace aérien européen par des engins russes, afin d’adopter une réponse ferme face à la Russie, sans pour autant entraîner d’escalade.
En visite lundi en Ukraine, la cheffe de la diplomatie de l'Union européenne Kaja Kallas a dénoncé la position de la Russie, qui "joue avec la guerre" et risque "l'escalade". Ces déclarations ont lieu après une série de violations de l'espace aérien européen imputées à des appareils russes ces dernières semaines.
Depuis le début de la guerre en 2022, pas un jour sans qu’un drone ou un missile ne s’abatte sur l’Ukraine. Face à un danger devenu omniprésent, militaires, humanitaires et civils s’équipent en masse de détecteurs de drones.
Les élus européens sont de plus en plus attentifs à cette drôle de guerre que mène Vladimir Poutine pour nous punir de notre soutien à l’Ukraine : une guerre hybride, mélange d’intimidation et de manipulation. Le Kremlin est clairement à l’origine de campagnes de désinformation intense à l’occasion des différentes élections en Europe : des médias pro-russes arrosent les réseaux sociaux, situation observée encore récemment en République tchèque, où le sulfureux Andrej Babis l’a emporté. Auparavant, c’était en Roumanie et en Allemagne, sans oublier la Moldavie, aux portes de l’UE.
Le gouvernement Merz va réformer la loi sur la sécurité aérienne après des alertes aux drones à l’aéroport de Munich, début octobre. Une décision tardive alors que le pays est la cible privilégiée de la guerre hybride de Poutine depuis des mois.
L'Allemagne va autoriser sa police à abattre les drones jugés menaçants, a annoncé mercredi le ministre de l'Intérieur Alexander Dobrindt, alors que Berlin soupçonne la Russie de vols au-dessus de sites sensibles.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a appelé mercredi l'Europe à réagir face à la "guerre hybride" menée par la Russie, avertissant que l'inaction pourrait laisser la zone grise s'étendre sur le continent.
Des centaines de tankers, dont les propriétaires sont dissimulés derrière des sociétés-écrans, permettent à la Russie d’écouler 60 % de son pétrole. Moscou est accusé d’utiliser ces navires pour endommager des câbles sous-marins et lancer des drones.
La Russie a annoncé mardi avoir intercepté 209 drones ukrainiens dans la nuit et la matinée, l'une des attaques de Kiev les plus massives depuis le début de l'offensive à grande échelle de Moscou en Ukraine en février 2022. Entre 04H00 et 05H00 GMT mardi, 25 drones ont été neutralisés, dont 16 au-dessus de la mer Noire, a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué.
Une attaque de drones a visé lundi une raffinerie à Tioumen, en Sibérie, à plus de 1.800 km de l'Ukraine, marquant la première incursion de ce type dans la région depuis le début de l'offensive russe.
La provocation du 10 septembre a entraîné en Pologne une vague de messages sur les réseaux sociaux en provenance de comptes russes et biélorusses attribuant pour partie la responsabilité de l’incident à l’Ukraine ou à l’OTAN.
En représailles aux frappes russes sur le réseau électrique ukrainien ces derniers jours, Kyiv a intensifié ses bombardements dans la nuit de dimanche à lundi 6 octobre, notamment dans la région de la mer Noire.
Zelensky a dénoncé lundi la présence de milliers de composants étrangers, notamment américains, allemands et japonais, dans les missiles et drones russes ayant frappé l'Ukraine ce week-end.
L'aéroport de la capitale lituanienne Vilnius a annoncé dans la nuit de samedi à dimanche sa fermeture temporaire en raison d'une alerte concernant des "ballons" suspects.
Depuis le printemps, l’ampleur des salves de drones russes monte en flèche. En augmentant leur nombre et leur fréquence, la Russie cherche à imposer à Kiev et à ses alliés des coûts sans commune mesure avec ses propres dépenses.
Les vols ont repris progressivement samedi matin à l'aéroport de Munich, en Allemagne, fermé vendredi soir pour la deuxième nuit consécutive après une alerte aux drones. Ce type d'incidents se multiplie en Europe, les membres de l'Union européenne soupçonnant la Russie d'en être à l'origine.
L’attaque aérienne des forces russes a visé la gare ferroviaire de Chostka, dans la région de Soumy, dans le nord de l’Ukraine. Volodymyr Zelensky évoque un bilan provisoire de 30 blessés.
Dix-sept vols prévus dans la soirée de jeudi ont été annulés et 15 autres devant atterrir ont été déroutés vers d’autres aéroports. Des avions ont pu décoller à nouveau vendredi matin.
Les récentes incursions de drones en Europe montrent que la Russie cherche "l'escalade", a averti le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en appelant les Européens à se mobiliser aux côtés de l'Ukraine, lors d'un sommet à Copenhague jeudi.