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Le Parlement iranien a voté mercredi en faveur d'une suspension de la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui reste pourtant "une obligation" selon son patron, après douze jours de guerre marquée par des frappes israéliennes et américaines sur des installations nucléaires.
Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Durant la Guerre Froide il y a près d’une demi-siècle, le gouvernement britannique distribuait aux civils un livret assez spécial. Celui-ci contenait des mesures à prendre afin de se prémunir en cas de guerre nucléaire. Au menu : nécessaire de survie, protection du logement et attitude à adopter durant l’attaque.
Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Les chefs d'Etats membres de l'OTAN se sont réunis à) La Haye pour discuter de l'avenir de leur alliance.
Pourquoi la guerre nucléaire, et non la crise climatique, est la plus grande menace qui pèse sur l’humanité, selon Mark Lynas Mark Lynas a passé des décennies à faire pression pour que l’on agisse sur les émissions de gaz à effet de serre, mais il affirme aujourd’hui que la guerre nucléaire est une menace encore plus grande.
Donald Trump, visiblement énervé, a accusé mardi l’Iran et Israël d’avoir violé le cessez-le-feu qu’il a annoncé la veille et s’en est particulièrement pris à son allié israélien, se disant "vraiment pas content" d’Israël.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
Israël a mené lundi une nouvelle attaque contre le site nucléaire iranien de Fordo, enfoui sous une montagne au sud de Téhéran, a rapporté un média local. "L'agresseur a de nouveau attaqué le site nucléaire de Fordo", a rapporté l'agence de presse Tasnim, citant un porte-parole de l'autorité de gestion des crises de la province de Qom, où est situé le site.
Le détroit d'Ormuz est un point de passage clé pour le commerce mondial de pétrole, que l'Iran a souvent menacé de bloquer dans les situations de crise. Des députés iraniens ont à nouveau brandi cette menace après les frappes américaines sur des installations nucléaires en Iran, mais la décision reste aux mains du Conseil national de sécurité, la plus haute instance de sécurité du pays.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes qui auront des "conséquences éternelles", a prévenu Téhéran, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël où 16 blessés ont été recensés par les secours israéliens et de nombreux dégâts observés par des journalistes de l'AFP. Après avoir laissé planer le doute sur une intervention contre l'Iran, réclamée par son allié israélien, le président américain, Donald Trump, a annoncé que les installations d'enrichissement nucléaire du pays, soupçonné par les Occidentaux de vouloir se doter de l'arme atomique, avaient été "totalement détruites" par les frappes américaines.
Le programme nucléaire de l'Iran, dont Donald Trump affirme que la totalité des capacités d'enrichissement a été "détruite" par des frappes américaines, comporte plusieurs sites qui ont permis son développement rapide. "Les installations essentielles d'enrichissement nucléaire de l'Iran ont été intégralement et totalement détruites" lors d'attaques aériennes dimanche sur les sites de Natanz, Ispahan et Fordo, lequel a été visé par une "charge complète de bombes", a déclaré le président américain.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».
Dans une allocution télévisée, le président des Etats-Unis s’est félicité des frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens.
Donald Trump a salué "un succès militaire spectaculaire" après les frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens, affirmant que les principales installations d'enrichissement d'uranium de l'Iran "ont été complètement et totalement détruites". France 24 fait le point sur cette opération qui marque l'entrée officielle des États-Unis dans le conflit opposant Israël à l'Iran.
Voici les principales réactions internationales à l’attaque américaine contre plusieurs sites nucléaires iraniens dimanche, par laquelle les Etats-Unis ont rejoint Israël dans sa guerre contre la République islamique.
Le président américain a communiqué dans la nuit de samedi à dimanche que les forces américaines avaient conduit des frappes contre trois sites d’enrichissement, engageant ainsi son pays au côté d’Israël dans une guerre contre l’Iran.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a remercié dimanche le président américain Donald Trump pour l'attaque "audacieuse" des Etats-Unis contre des sites nucléaires iraniens, estimant qu'elle créait un "tournant historique" susceptible de mener le Moyen-Orient à la paix.
Le président américain Donald Trump a prononcé une courte allocution solennelle samedi soir à 22H00 heure locale, 04H en Belgique dimanche) après les frappes qu'il a ordonnées contre des sites nucléaires iraniens.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes accusées par Téhéran de "faire exploser" les chances d'un règlement diplomatique du dossier nucléaire, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël, qui ont fait de nombreux dégâts et 16 blessés, selon les services de secours israéliens.
Les frappes américaines sans précédent menées dimanche en Iran ont "dévasté" le programme nucléaire iranien, a affirmé dimanche le Pentagone, précisant qu'elles ne visaient pas à un changement de régime à Téhéran, tandis que Téhéran accusait Washington d'avoir franchi une "ligne rouge" majeure. Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a condamné l'"agression" menée contre trois importants sites nucléaires iraniens et accusé les Etats-Unis d'être "derrière" l'opération militaire israélienne déclenchée le 13 juin contre l'Iran. L'agence de presse iranienne Irna a fait état après ces raids du tir de 40 missiles sur Israël, qui ont fait de nombreux dégâts et 23 blessés, selon les secours israéliens.
Rappel des principales étapes, alors que les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois importants sites nucléaires iraniens, en appui de l’offensive lancée le 13 juin par Israël.
Le chef d’état-major de l’armée américaine, le général Dan Caine, a livré un récit détaillé de l’opération menée contre les principales installations nucléaires iraniennes.
Israël estime avoir "déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, après une semaine de frappes sur des centaines de sites militaires et nucléaires, affirme le ministre des Affaires étrangères israélien dans un entretien publié samedi.
Alors que les tensions explosent au Moyen-Orient entre Israël et l’Iran, une nouvelle révélation jette une ombre encore plus lourde sur la région : le programme nucléaire israélien serait bien plus avancé qu’on ne l’imaginait. D’après des analyses récentes, Israël pourrait posséder non pas 90, mais jusqu’à 300 ogives nucléaires, soit trois fois plus que les estimations précédentes. Et ce chiffre change tout.
Ces bombardiers stratégiques furtifs, seuls capables de transporter des puissantes bombes anti-bunker de type GBU-57, ont décollé de la base de l’armée de l’air Whiteman dans le Missouri et ont été repérés au large de la Californie par des sites de suivi de vol.
Depuis 2003, les Européens sont engagés dans les négociations nucléaires avec l’Iran avec un objectif clef : éviter l’éclatement d’une nouvelle guerre au Moyen-Orient 1. Face à Donald Trump, cette approche, qui visait à faire de l’Europe un pôle de stabilité au sein d’un ensemble occidental plus vaste, vole en éclats.
“Je vais peut-être le faire, peut-être pas" a déclaré Donald Trump mercredi devant la presse. Le chef d’État a affirmé, depuis la Maison Blanche, ne pas encore avoir pris de décision concernant une potentielle intervention en Iran, ajoutant que “toutes les options (étaient) sur la table”. En retour, la république islamique promet des "dommages irréparables".
L’Iran a déclaré jeudi que la cible principale d’une attaque au missile qui a touché un hôpital dans le sud d’Israël était une base militaire et de renseignement israélien, et non l’établissement de santé. L’hôpital Soroka de Beer Sheva (sud) et deux villes proches de Tel-Aviv ont été frappés par des tirs de missiles iraniens et les secouristes israéliens ont fait état d’au moins 47 blessés dans ces dernières attaques.
Des figures de la base trumpiste s’opposent à toute implication des Etats-Unis dans l’affrontement, allant jusqu’à évoquer un « schisme », alors que des membres de l’entourage présidentiel encouragent un changement de régime à Téhéran.


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juin 2025

Le Parlement iranien a voté mercredi en faveur d'une suspension de la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui reste pourtant "une obligation" selon son patron, après douze jours de guerre marquée par des frappes israéliennes et américaines sur des installations nucléaires.
Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Durant la Guerre Froide il y a près d’une demi-siècle, le gouvernement britannique distribuait aux civils un livret assez spécial. Celui-ci contenait des mesures à prendre afin de se prémunir en cas de guerre nucléaire. Au menu : nécessaire de survie, protection du logement et attitude à adopter durant l’attaque.
Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Les chefs d'Etats membres de l'OTAN se sont réunis à) La Haye pour discuter de l'avenir de leur alliance.
Pourquoi la guerre nucléaire, et non la crise climatique, est la plus grande menace qui pèse sur l’humanité, selon Mark Lynas Mark Lynas a passé des décennies à faire pression pour que l’on agisse sur les émissions de gaz à effet de serre, mais il affirme aujourd’hui que la guerre nucléaire est une menace encore plus grande.
Donald Trump, visiblement énervé, a accusé mardi l’Iran et Israël d’avoir violé le cessez-le-feu qu’il a annoncé la veille et s’en est particulièrement pris à son allié israélien, se disant "vraiment pas content" d’Israël.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
Israël a mené lundi une nouvelle attaque contre le site nucléaire iranien de Fordo, enfoui sous une montagne au sud de Téhéran, a rapporté un média local. "L'agresseur a de nouveau attaqué le site nucléaire de Fordo", a rapporté l'agence de presse Tasnim, citant un porte-parole de l'autorité de gestion des crises de la province de Qom, où est situé le site.
Le détroit d'Ormuz est un point de passage clé pour le commerce mondial de pétrole, que l'Iran a souvent menacé de bloquer dans les situations de crise. Des députés iraniens ont à nouveau brandi cette menace après les frappes américaines sur des installations nucléaires en Iran, mais la décision reste aux mains du Conseil national de sécurité, la plus haute instance de sécurité du pays.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes qui auront des "conséquences éternelles", a prévenu Téhéran, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël où 16 blessés ont été recensés par les secours israéliens et de nombreux dégâts observés par des journalistes de l'AFP. Après avoir laissé planer le doute sur une intervention contre l'Iran, réclamée par son allié israélien, le président américain, Donald Trump, a annoncé que les installations d'enrichissement nucléaire du pays, soupçonné par les Occidentaux de vouloir se doter de l'arme atomique, avaient été "totalement détruites" par les frappes américaines.
Le programme nucléaire de l'Iran, dont Donald Trump affirme que la totalité des capacités d'enrichissement a été "détruite" par des frappes américaines, comporte plusieurs sites qui ont permis son développement rapide. "Les installations essentielles d'enrichissement nucléaire de l'Iran ont été intégralement et totalement détruites" lors d'attaques aériennes dimanche sur les sites de Natanz, Ispahan et Fordo, lequel a été visé par une "charge complète de bombes", a déclaré le président américain.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».
Dans une allocution télévisée, le président des Etats-Unis s’est félicité des frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens.
Donald Trump a salué "un succès militaire spectaculaire" après les frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens, affirmant que les principales installations d'enrichissement d'uranium de l'Iran "ont été complètement et totalement détruites". France 24 fait le point sur cette opération qui marque l'entrée officielle des États-Unis dans le conflit opposant Israël à l'Iran.