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Iran
Le Parlement iranien a voté mercredi en faveur d'une suspension de la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui reste pourtant "une obligation" selon son patron, après douze jours de guerre marquée par des frappes israéliennes et américaines sur des installations nucléaires.
Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Donald Trump a annoncé dans la nuit de lundi à mardi qu’un cessez-le-feu "total" entre l’Iran et Israël entrait en vigueur, après douze jours d’un conflit marqué par une escalade sans précédent et une intervention militaire directe des États-Unis. Mais les conditions restent floues, les échanges de tirs se poursuivent, et Téhéran conditionne toute désescalade à un arrêt immédiat des frappes israéliennes.
Donald Trump, visiblement énervé, a accusé mardi l’Iran et Israël d’avoir violé le cessez-le-feu qu’il a annoncé la veille et s’en est particulièrement pris à son allié israélien, se disant "vraiment pas content" d’Israël.
Le président américain Donald Trump a affirmé mardi que la Chine pouvait "désormais continuer à acheter du pétrole à l'Iran" dans une apparente inflexion de la politique des Etats-Unis qui essayaient jusqu'ici d'endiguer ce commerce.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a exhorté dimanche la Chine à contribuer à dissuader l'Iran de fermer le détroit d'Ormuz, une route commerciale essentielle, à la suite des frappes américaines sur les sites nucléaires iraniens. "J'encourage le gouvernement chinois à Pékin à les appeler à ce sujet, car ils dépendent fortement du détroit d'Ormuz pour leur pétrole", a déclaré M. Rubio sur la chaîne américaine Fox News.
L'Iran a menacé de s'en prendre aux bases militaires des Etats-Unis au Moyen-Orient en représailles aux frappes américaines sans précédent contre les sites nucléaires iraniens, faisant craindre un embrasement hors de contrôle de la région. Un conseiller de l'ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême iranien, a affirmé que les Etats-Unis "n'avaient plus leur place" au Moyen-Orient et qu'ils devaient s'attendre à des "conséquences irréparables" après leur attaque dans la nuit de samedi à dimanche.
Iran’s parliament approved a measure to close the vital global trade route, through which more than a fifth of the world’s oil supply passes through daily
Israël a mené lundi une nouvelle attaque contre le site nucléaire iranien de Fordo, enfoui sous une montagne au sud de Téhéran, a rapporté un média local. "L'agresseur a de nouveau attaqué le site nucléaire de Fordo", a rapporté l'agence de presse Tasnim, citant un porte-parole de l'autorité de gestion des crises de la province de Qom, où est situé le site.
Le détroit d'Ormuz est un point de passage clé pour le commerce mondial de pétrole, que l'Iran a souvent menacé de bloquer dans les situations de crise. Des députés iraniens ont à nouveau brandi cette menace après les frappes américaines sur des installations nucléaires en Iran, mais la décision reste aux mains du Conseil national de sécurité, la plus haute instance de sécurité du pays.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes qui auront des "conséquences éternelles", a prévenu Téhéran, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël où 16 blessés ont été recensés par les secours israéliens et de nombreux dégâts observés par des journalistes de l'AFP. Après avoir laissé planer le doute sur une intervention contre l'Iran, réclamée par son allié israélien, le président américain, Donald Trump, a annoncé que les installations d'enrichissement nucléaire du pays, soupçonné par les Occidentaux de vouloir se doter de l'arme atomique, avaient été "totalement détruites" par les frappes américaines.
Le programme nucléaire de l'Iran, dont Donald Trump affirme que la totalité des capacités d'enrichissement a été "détruite" par des frappes américaines, comporte plusieurs sites qui ont permis son développement rapide. "Les installations essentielles d'enrichissement nucléaire de l'Iran ont été intégralement et totalement détruites" lors d'attaques aériennes dimanche sur les sites de Natanz, Ispahan et Fordo, lequel a été visé par une "charge complète de bombes", a déclaré le président américain.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».
Dans une allocution télévisée, le président des Etats-Unis s’est félicité des frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens.
Donald Trump a salué "un succès militaire spectaculaire" après les frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens, affirmant que les principales installations d'enrichissement d'uranium de l'Iran "ont été complètement et totalement détruites". France 24 fait le point sur cette opération qui marque l'entrée officielle des États-Unis dans le conflit opposant Israël à l'Iran.
Voici les principales réactions internationales à l’attaque américaine contre plusieurs sites nucléaires iraniens dimanche, par laquelle les Etats-Unis ont rejoint Israël dans sa guerre contre la République islamique.
Le président américain a communiqué dans la nuit de samedi à dimanche que les forces américaines avaient conduit des frappes contre trois sites d’enrichissement, engageant ainsi son pays au côté d’Israël dans une guerre contre l’Iran.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a remercié dimanche le président américain Donald Trump pour l'attaque "audacieuse" des Etats-Unis contre des sites nucléaires iraniens, estimant qu'elle créait un "tournant historique" susceptible de mener le Moyen-Orient à la paix.
Le président américain Donald Trump a prononcé une courte allocution solennelle samedi soir à 22H00 heure locale, 04H en Belgique dimanche) après les frappes qu'il a ordonnées contre des sites nucléaires iraniens.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes accusées par Téhéran de "faire exploser" les chances d'un règlement diplomatique du dossier nucléaire, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël, qui ont fait de nombreux dégâts et 16 blessés, selon les services de secours israéliens.
Les frappes américaines sans précédent menées dimanche en Iran ont "dévasté" le programme nucléaire iranien, a affirmé dimanche le Pentagone, précisant qu'elles ne visaient pas à un changement de régime à Téhéran, tandis que Téhéran accusait Washington d'avoir franchi une "ligne rouge" majeure. Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a condamné l'"agression" menée contre trois importants sites nucléaires iraniens et accusé les Etats-Unis d'être "derrière" l'opération militaire israélienne déclenchée le 13 juin contre l'Iran. L'agence de presse iranienne Irna a fait état après ces raids du tir de 40 missiles sur Israël, qui ont fait de nombreux dégâts et 23 blessés, selon les secours israéliens.
Rappel des principales étapes, alors que les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois importants sites nucléaires iraniens, en appui de l’offensive lancée le 13 juin par Israël.
Le chef d’état-major de l’armée américaine, le général Dan Caine, a livré un récit détaillé de l’opération menée contre les principales installations nucléaires iraniennes.
Israël estime avoir "déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, après une semaine de frappes sur des centaines de sites militaires et nucléaires, affirme le ministre des Affaires étrangères israélien dans un entretien publié samedi.
Une décision qui souligne les tensions croissantes autour de la stabilité du régime.
Ces bombardiers stratégiques furtifs, seuls capables de transporter des puissantes bombes anti-bunker de type GBU-57, ont décollé de la base de l’armée de l’air Whiteman dans le Missouri et ont été repérés au large de la Californie par des sites de suivi de vol.
Le soutien occidental à Israël contre l’Iran s’inscrit dans une logique d'intervention "préventive" qui, selon ses détracteurs, contribue à l’érosion du droit international mis en place après la Seconde Guerre mondiale. Ce glissement vers une forme de "loi de la jungle", où la force prime sur le droit, pourrait avoir des conséquences graves pour la stabilité mondiale et la coopération entre États.
Une attaque directe contre la centrale nucléaire iranienne de Bouchehr, en activité, aurait les conséquences les plus "graves" en relâchant de grandes quantités de radiation dans l’environnement, a mis en garde vendredi le patron de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
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Le Parlement iranien a voté mercredi en faveur d'une suspension de la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui reste pourtant "une obligation" selon son patron, après douze jours de guerre marquée par des frappes israéliennes et américaines sur des installations nucléaires.
Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Donald Trump a annoncé dans la nuit de lundi à mardi qu’un cessez-le-feu "total" entre l’Iran et Israël entrait en vigueur, après douze jours d’un conflit marqué par une escalade sans précédent et une intervention militaire directe des États-Unis. Mais les conditions restent floues, les échanges de tirs se poursuivent, et Téhéran conditionne toute désescalade à un arrêt immédiat des frappes israéliennes.
Donald Trump, visiblement énervé, a accusé mardi l’Iran et Israël d’avoir violé le cessez-le-feu qu’il a annoncé la veille et s’en est particulièrement pris à son allié israélien, se disant "vraiment pas content" d’Israël.
Le président américain Donald Trump a affirmé mardi que la Chine pouvait "désormais continuer à acheter du pétrole à l'Iran" dans une apparente inflexion de la politique des Etats-Unis qui essayaient jusqu'ici d'endiguer ce commerce.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a exhorté dimanche la Chine à contribuer à dissuader l'Iran de fermer le détroit d'Ormuz, une route commerciale essentielle, à la suite des frappes américaines sur les sites nucléaires iraniens. "J'encourage le gouvernement chinois à Pékin à les appeler à ce sujet, car ils dépendent fortement du détroit d'Ormuz pour leur pétrole", a déclaré M. Rubio sur la chaîne américaine Fox News.
L'Iran a menacé de s'en prendre aux bases militaires des Etats-Unis au Moyen-Orient en représailles aux frappes américaines sans précédent contre les sites nucléaires iraniens, faisant craindre un embrasement hors de contrôle de la région. Un conseiller de l'ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême iranien, a affirmé que les Etats-Unis "n'avaient plus leur place" au Moyen-Orient et qu'ils devaient s'attendre à des "conséquences irréparables" après leur attaque dans la nuit de samedi à dimanche.
Iran’s parliament approved a measure to close the vital global trade route, through which more than a fifth of the world’s oil supply passes through daily
Israël a mené lundi une nouvelle attaque contre le site nucléaire iranien de Fordo, enfoui sous une montagne au sud de Téhéran, a rapporté un média local. "L'agresseur a de nouveau attaqué le site nucléaire de Fordo", a rapporté l'agence de presse Tasnim, citant un porte-parole de l'autorité de gestion des crises de la province de Qom, où est situé le site.
Le détroit d'Ormuz est un point de passage clé pour le commerce mondial de pétrole, que l'Iran a souvent menacé de bloquer dans les situations de crise. Des députés iraniens ont à nouveau brandi cette menace après les frappes américaines sur des installations nucléaires en Iran, mais la décision reste aux mains du Conseil national de sécurité, la plus haute instance de sécurité du pays.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes qui auront des "conséquences éternelles", a prévenu Téhéran, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël où 16 blessés ont été recensés par les secours israéliens et de nombreux dégâts observés par des journalistes de l'AFP. Après avoir laissé planer le doute sur une intervention contre l'Iran, réclamée par son allié israélien, le président américain, Donald Trump, a annoncé que les installations d'enrichissement nucléaire du pays, soupçonné par les Occidentaux de vouloir se doter de l'arme atomique, avaient été "totalement détruites" par les frappes américaines.
Le programme nucléaire de l'Iran, dont Donald Trump affirme que la totalité des capacités d'enrichissement a été "détruite" par des frappes américaines, comporte plusieurs sites qui ont permis son développement rapide. "Les installations essentielles d'enrichissement nucléaire de l'Iran ont été intégralement et totalement détruites" lors d'attaques aériennes dimanche sur les sites de Natanz, Ispahan et Fordo, lequel a été visé par une "charge complète de bombes", a déclaré le président américain.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».