Sélection du moment:
Les centres commerciaux à Téhéran fermeront deux heures plus tôt à compter de mardi pour économiser l'énergie, au moment où l'Iran est confronté à une pénurie énergétique exacerbée par une vague de froid. "Si les centres commerciaux ne respectent pas cette décision, ils seront fermés et leur alimentation en gaz et électricité coupée", a mis en garde à la télévision d'Etat un responsable de la Chambre des métiers de Téhéran, Hamidreza Rastegar.
Ecoles et bâtiments publics resteront fermés mardi à Téhéran pour le troisième jour consécutif, a rapporté lundi la télévision d'Etat iranienne, tandis que plusieurs centrales électriques ont été mises à l'arrêt dans un contexte de pénurie énergétique.L'Iran est un géant sur le plan énergétique, qui dispose des deuxièmes plus grandes réserves de gaz naturel au monde, selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), et était le septième producteur mondial de pétrole brut en 2022.
Plusieurs centrales électriques en Iran ont été mises hors service en raison d'une pénurie de carburant aggravée par une vague de froid qui pèse sur l'approvisionnement énergétique, ont rapporté lundi des médias locaux.RationnementsL'Iran est un géant sur le plan énergétique, qui dispose des deuxièmes plus grandes réserves de gaz naturel au monde, selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), et était le septième producteur mondial de pétrole brut en 2022.
Une partie des écoliers, étudiants et fonctionnaires en Iran ont été appelés mercredi et jeudi à rester à la maison en raison d’une forte pollution atmosphérique, qui touche Téhéran et plusieurs villes, ont rapporté les médias d’Etat.
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont exhorté mardi l'Iran "à mettre immédiatement fin à son escalade nucléaire", selon les porte-paroles des trois ministères des Affaires étrangères, qui condamnent les mesures prises par Téhéran pour augmenter fortement le rythme de production d'uranium hautement enrichi.
L'Iran veut "fortement augmenter" son rythme de production d'uranium hautement enrichi, selon l'AIEA
- Afp,L'Iran a commencé à alimenter de nouvelles centrifugeuses qui vont lui permettre "d'augmenter fortement" son rythme de production d'uranium hautement enrichi, selon un rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique consulté par l'AFP vendredi.Ce changement au sein du site de Fordo aura comme effet "d'augmenter de manière significative le taux de production d'uranium enrichi jusqu'à 60%", selon le rapport de l'AIEA.
Les États-Unis ont imposé mardi des sanctions économiques visant 35 navires de la "flotte fantôme" permettant à l'Iran d'exporter son pétrole vers les marchés étrangers en contournant les restrictions occidentales, a annoncé le département américain du Trésor."Les revenus pétroliers fournissent au régime iranien les ressources nécessaires pour financer son programme nucléaire, développer des drones et des missiles avancés, et apporter un soutien financier et matériel permanent aux activités terroristes de ses mandataires régionaux", a déclaré le Trésor dans un communiqué.
C’est bientôt Noël et avec le nombre de politiciens bien sages qu’il y a sur notre planète, le Père-Noël n’a pas eu besoin de passer trop de temps dans le BlackFriday. Aura-t-il acheté le parfum pour enfant que Nabilla vient de lancer avec son fiston de 5 ans ? A elle seule, cette dernière phrase indique l’état actuel du monde. Une certitude : les démocraties ne sont pas faîtes pour survivre à la frénésie des réseaux sociaux et des médias.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), chargée de surveiller le programme nucléaire iranien, a confirmé le projet de Téhéran destiné à enrichir de l’uranium à un faible niveau.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
L'Iran dispose d'abondantes ressources énergétiques mais le pays est contraint de rationner l'électricité, faute de carburant pour alimenter ses centrales, avec des coupures en journée qui exacerbent le mécontentement et fragilisent une économie sous sanctions.
En visite à Beyrouth au lendemain d’une frappe israélienne qui a fait 29 morts au cœur de la capitale libanaise, le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la sécurité a plaidé pour un cessez-le-feu immédiat.
L'Iran a annoncé vendredi la mise en service de "nouvelles centrifugeuses avancées", en représailles à l'adoption d'une résolution critique à Vienne condamnant les activités nucléaires de Téhéran, pointé du doigt pour son manque de coopération.Un texte « politiquement motivé »Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé jeudi par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon des sources diplomatiques interrogées par l'AFP.
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) examine jeudi une résolution admonestant l'Iran pour son manque de coopération sur le dossier nucléaire, avec le risque d'une riposte immédiate de Téhéran.Les Occidentaux persistent et signent: après déjà un rappel à l'ordre en juin, ils ont soumis un nouveau texte, mettant en avant l'absence d'avancées ces derniers mois.
Un programme nucléaire "troublant": les diplomates occidentaux ont dressé jeudi à Vienne un réquisitoire sévère contre l'Iran et fait adopter une nouvelle résolution critique, dénoncée par Téhéran comme "politiquement motivée".Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), ont indiqué à l'AFP des sources diplomatiques.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a salué mercredi un engagement "concret" de l'Iran, après la mise en place par Téhéran de mesures pour stopper l'expansion de son stock d'uranium hautement enrichi. «»"Je pense que c'est un pas concret dans la bonne direction", et ce "pour la première fois", a-t-il déclaré devant la presse, au premier jour du Conseil des gouverneurs de l'instance onusienne, à Vienne.
Les frappes aériennes menées par Israël fin octobre contre l'Iran ont touché "un élément du programme nucléaire" de la République islamique, a déclaré lundi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. "Ce n'est pas un secret, ça été publié, un élément du programme nucléaire a été touché dans cette attaque mais le programme en soi et sa capacité à fonctionner n'ont pas encore été éliminés", a dit à la Knesset (Parlement) M. Netanyahu, dont le pays est considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, s'est rendu vendredi sur deux importants sites nucléaires en Iran, au moment où Téhéran affirme vouloir lever "doutes et ambiguïtés" sur son programme controversé.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a été reçu jeudi à Téhéran par le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, au moment où la montée en puissance du programme nucléaire de l'Iran cristallise les tensions avec les pays occidentaux. Abbas Araghchi était en 2015 le négociateur en chef côté iranien des pourparlers sur le nucléaire avec les grandes puissances.
Les autorités iraniennes ont annoncé un plan de rationnement électrique à partir de lundi dans Téhéran et d'autres provinces du pays en raison d'une pénurie de carburant dans les centrales, a indiqué l'agence de presse officielle Irna.Selon un programme publié par Irna, l'électricité sera coupée dans différents secteurs de la capitale pendant deux heures entre 09H00 et 17H00. Un plan similaire a été annoncé pour plusieurs autres provinces du pays, notamment Qom (centre), Kerman (sud-est), et Guilan et Ardabil dans le nord, selon Irna.
L’armée israélienne dit avoir conduit des «frappes de précision» sur des cibles militaires en Iran, en représailles à l’attaque iranienne du 1er octobre. Plusieurs explosions ont retenti dans le pays. Téhéran parle de «dégâts limités».
Le Pentagone a annoncé dimanche l'envoi en Israël d’un système de défense antimissiles à haute altitude THAAD ainsi que d'une centaine de militaires américains pour le faire fonctionner. Considéré comme l'un des plus perfectionnés au monde, ce système doit permettre de renforcer la sécurité de l'État hébreu face à la menace balistique de l'Iran.
Après onze mois de guerre d’usure, septembre 2024 a vu une nette intensification du conflit, qui semble désormais impliquer plus que jamais la plupart des alliés régionaux de l’Iran face à Israël.
Des militantes du mouvement féministe Femen ont manifesté seins nus vendredi à Kiev devant l’ambassade d’Iran, pays qui est accusé d’aider Moscou dans son effort de guerre contre l’Ukraine, en lui fournissant drones et missiles. Les membres de Femen, mouvement de femmes créé en Ukraine mais également présent dans d’autres pays, ont pour habitude de protester torse nu avec des slogans écrits sur le corps.
Joe Biden a déconseillé vendredi à Israël de s'en prendre aux sites pétroliers iraniens et demandé au monde de se mobiliser pour éviter une guerre totale au Moyen-Orient. Lors d'une intervention surprise devant la presse à la Maison Blanche, le président américain a estimé que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ferait bien de "se rappeler" de l'aide apportée à son pays par les Etats-Unis, allié numéro un et soutien militaire d'Israël.
France, États-Unis, Russie, ONU... La communauté internationale a condamné d'une seule voix mardi les tirs de missiles par l'Iran sur Israël. Seul le Hamas palestinien a salué une "vengeance pour nos martyrs héroïques".
L’Iran a ciblé pour la seconde fois en quelques mois, ce 1er octobre, le territoire israélien. Israël a promis de répliquer. "Cette attaque aura des conséquences. Nous avons des plans et nous agirons à l’endroit et au moment que nous aurons décidés", a averti le porte-parole de l’armée israélienne, le contre-amiral Daniel Hagari.
Quelque 200 missiles auraient été lancés par Téhéran sur l’État hébreu, qui mène au Liban une guerre contre le Hezbollah, allié de l’Iran. L’attaque avait été annoncée par les services de renseignement américains plus tôt dans la journée.
Le Hezbollah libanais a confirmé samedi, dans un communiqué, que son chef, Hassan Nasrallah, a été tué et s'est engagé à poursuivre la bataille contre Israël "en soutien à Gaza et à la Palestine". Pour l'heure, l'État hébreu et des soutiens du mouvement chiite ont notamment commenté l'assassinat du leader chiite. Les réactions de l'Occident se font bien plus discrètes.