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Téhéran a affirmé samedi ne plus être tenu par les "restrictions" liées à son programme nucléaire, tout en réitérant son "engagement" pour la diplomatie, le jour de l'expiration d'un accord international conclu il y a dix ans. Un accord qui était déjà devenu caduc à la suite du retrait unilatéral des États-Unis en 2018.
L'accord historique destiné à encadrer le programme nucléaire iranien a expiré officiellement samedi. Mais il avait déjà été enterré dès la fin septembre par le rétablissement des sanctions contre l'Iran décidé à l'ONU. Signé à Vienne en 2015 par la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, ainsi que par les États-Unis, la Russie et la Chine, le pacte avait ensuite été entériné par l'ONU via la résolution 2231. Connu sous l'acronyme JCPOA (Joint comprehensive plan of action), il avait pour objectif de contrôler les activités nucléaires de Téhéran, soupçonné de développer militairement l'arme atomique, sous couvert de programme civil. En échange, la communauté internationale devait lever les sanctions qui asphyxiaient son économie.
L’Europe et son système démocratique sont une cible privilégiée des campagnes de désinformation. Dans toute l’Union européenne, les responsables politiques et les organismes de surveillance tirent la sonnette d’alarme face à la recrudescence des mécanismes d’intox venus de Russie, de Chine ou d’Iran. Les journalistes du réseau de radio Euranet + et Nina Lamparski ont analysé les dernières tendances de fausses informations venues de l’étranger et qui circulent aujourd’hui dans l’Union européenne.
Les services d’immigration américains prévoient d’expulser en tout environ 400 ressortissants de la République islamique. Un premier vol a décollé lundi soir. […] Les services d’immigration américains prévoient d’expulser en tout environ 400 ressortissants de la République islamique. Un premier vol a décollé lundi soir.Cette expulsion constitue «la tentative la plus flagrante à ce jour par l’administration Trump d’expulser des migrants sans tenir compte des conditions en matière de droits humains auxquelles ils pourraient être confrontés», observe le New York Times.
EU officials warn climate breakdown and wildlife loss ‘are ruining ecosystems that underpin the economy’ […] The European way of life is being jeopardised by environmental degradation, a report has found, with EU officials warning against weakening green rules. The continent has made “important progress” in cutting planet-heating pollution, according to the European Environment Agency, but the death of wildlife and breakdown of the climate are ruining ecosystems that underpin the economy.
La télévision d’État iranienne a diffusé le 24 septembre un documentaire prétendant révéler des documents confidentiels liés au programme nucléaire israélien. Cependant, une partie des informations présentées comme inédites dans le documentaire peuvent être trouvées sur internet.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran ont été rétablies samedi soir. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'est enclenché à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran, seront rétablies samedi soir, sauf coup de théâtre de dernière minute. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'enclenchera à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche. Cela réactivera les dispositions antérieures qui avaient été suspendues avec l'accord de 2015, connu sous l'acronyme JCPOA.
Alors que les mesures coercitives doivent être rétablies ce samedi soir, le régime s’insurge et affirme qu’il ne cédera «jamais à la pression».
Le mécanisme inédit visant à obliger le Conseil de sécurité de l'ONU à rétablir les sanctions internationales contre l'Iran pour non-respect de ses engagements nucléaires doit intervenir samedi soir. Explications.
L'Iran et son allié la Russie ont signé un contrat valorisé à 25 milliards de dollars pour la construction de quatre centrales nucléaires dans le sud de l'Iran, a annoncé vendredi la télévision iranienne. L'Iran dispose actuellement d'une seule centrale nucléaire opérationnelle à Bouchehr, d'une capacité de production de 1.000 mégawatts, qui ne représente qu'une fraction des besoins électriques du pays. "Un accord pour la construction de quatre centrales nucléaires d'une valeur de 25 milliards de dollars à Sirik", dans la province du Hormozgan (sud), "a été signé entre la société Iran Hormoz et Rosatom", a indiqué la télévision d'Etat. Aucun détail n'a été donné sur le calendrier.
L’Iran « ne cédera jamais à la pression » sur son programme nucléaire, a déclaré, vendredi, son ministre des affaires étrangères, Abbas Araghtchi. Il a annoncé que des inspecteurs de l’AIEA se trouvaient actuellement dans le pays.
A moins que Téhéran n’accepte les conditions posées par Paris, Londres et Berlin, notamment le retour des inspecteurs de l’AIEA, l’embargo sur les exportations iraniennes de pétrole sera rétabli le 28 septembre.
L'Iran a décidé de retirer à la dernière minute jeudi soir une résolution appelant à l'interdiction de toute attaque contre des installations nucléaires, faisant état de pressions américaines. […] Sa motion, introduite lors de l'assemblée générale annuelle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), était soutenue par la Chine, la Russie, le Bélarus, le Nicaragua, le Venezuela et le Zimbabwe. Les membres de l'AIEA ont dit aux représentants iraniens "subir de fortes pressions et intimidations de la part des États-Unis pour ne pas voter en faveur de la résolution", a affirmé à l'AFP l'ambassadeur iranien à Vienne, Reza Najafi.
Les Israéliens ont récemment livré aux autorités françaises leur propre bilan des frappes qui ont visé, en juin, l’arsenal nucléaire de Téhéran. Ces échanges sont précieux pour Paris car, selon les informations du « Monde », les services de renseignement américains ont cessé toute coopération avec leurs partenaires européens sur le dossier nucléaire iranien.
L'Iran a annoncé mardi avoir convenu d'un nouveau cadre de coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), après avoir suspendu sa collaboration avec le gendarme onusien du nucléaire dans le sillage de la guerre contre Israël en juin. Le directeur de l'AIEA, Rafael Grossi, a salué "une étape importante dans la bonne direction". Il a indiqué sur X s'être entendu lors d'une réunion au Caire avec le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi "sur des modalités pratiques pour reprendre les inspections en Iran" des activités nucléaires. La rencontre au Caire, à laquelle a participé le ministre égyptien des Affaires étrangères Badr Abdelatty, était la première entre MM. Araghchi et Grossi depuis la guerre de 12 jours déclenchée par une attaque israélienne sur l'Iran en juin. Le dossier du nucléaire iranien empoisonne de longue date les relations de l'Iran avec les Occidentaux.
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a appelé dimanche à une augmentation de la production pétrolière du pays et une diversification des marchés d'exportation, au moment où Téhéran est confronté à de nouvelles menaces de sanctions internationales. "La production pétrolière du pays, dont l'importance pour l'économie est évidente, est faible", a déclaré M. Khamenei lors d'une réunion avec les membres du gouvernement. "Nos méthodes de production pétrolière sont anciennes, les outils sont vieux (...) Nous sommes en retard par rapport à de nombreuses régions riches en pétrole dans le monde", a-t-il ajouté. L'industrie pétrolière iranienne est soumise à des sanctions occidentales depuis que les États-Unis se sont retirés en 2018, pendant le premier mandat de Donald Trump, de l'accord international sur le nucléaire iranien conclu trois ans plus tôt.
L'Iran a accéléré le rythme de production de ses réserves d'uranium enrichi à 60%, seuil proche des 90% nécessaires pour fabriquer une arme nucléaire, selon un rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) consulté par l'AFP mercredi. Cette hausse a été calculée au 13 juin, soit le début de la guerre de 12 jours déclenchée par une attaque d'Israël contre l'Iran. A cette date, l'AIEA a constaté que le total d'uranium enrichi à 60% de l'Iran s'élevait à 440,9 kg, soit une hausse de 32,3 kg par rapport au 17 mai (à comparer à une hausse de 133,8 kilos sur la période précédente). Depuis, l'agence onusienne qui siège à Vienne n'a pas été en mesure de mener ses activités sur le terrain pour collecter les informations nécessaires.
La Russie a mis en garde vendredi contre des "conséquences irréparables" en cas de nouvelles sanctions internationales contre l'Iran, après l'annonce par Paris, Londres et Berlin du lancement d'une procédure à l'ONU pour rétablir de telles sanctions contre Téhéran dans trente jours. "Nous les appelons avec insistance à retrouver la raison et à réviser leurs décisions erronées avant que celles-ci n'aboutissent à des conséquences irréparables et une nouvelle tragédie", a déclaré dans un communiqué le ministère russe des Affaires étrangères.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, signataires de l’accord de 2015 encadrant le programme nucléaire de l’Iran, ont notifié leur décision au Conseil de sécurité des Nations unies, en raison des violations de ses engagements par la République islamique.
Leur retour ne marque pas une reprise complète de la coopération en matière de nucléaire avec Téhéran, a affirmé le chef de la diplomatie iranienne.
Depuis le début de l'année 2025, la Russie multiplie les raids de drones kamikazes Shahed. Cet engin de conception iranienne s’abat en nombre toujours plus grand sur les villes ukrainiennes, terrorisant les populations. Pour alimenter ces attaques, la Russie a construit des aéroports spécialement conçus pour le lancement en masse de drones. La rédaction des Observateurs a consulté des images satellites permettant de localiser ces sites.
Le ministre iranien de la Défense a annoncé, mercredi, que Téhéran dispose désormais de missiles plus performants que ceux employés lors de la guerre des 12 jours en juin. L'Iran se dit prêt à les utiliser en cas de nouvelle attaque israélienne, alors que des manœuvres militaires doivent débuter en mer d'Oman et dans le nord de l'océan Indien.
Le niveau des réserves d’eau dans les barrages inquiète. Il est critique dans la province de Téhéran, les quatre principales retenues d’eau alimentant la capitale n’étant remplies qu’à 12 % de leur capacité, contre 60 % à 70 % habituellement.
La pénurie d'eau dans la capitale iranienne Téhéran devient de plus en plus grave. Les autorités ont désormais également fermé les toilettes publiques, selon les sites d'information Didehban-Iran et Shargh.
Le message envoyé par une partie de la classe politique belge est clair : le droit du peuple iranien à l'autodétermination et sa quête pour une république démocratique et laïque doivent être reconnus. Ce large soutien politique pourrait influencer les débats futurs au sein de l'Union européenne.
« Il a été arrêté parce que, oui, les dommages sont graves et sérieux. Mais il est évident que nous ne pouvons pas renoncer à l’enrichissement », a reconnu Abbas Araghtchi dans une interview à Fox News.
Une vague de chaleur en Iran provoque des pénuries d'eau et d'électricité dans une grande partie du pays, au moment où les réservoirs d'eau sont mis à rude épreuve avec des niveaux anormalement bas, ont rapporté mardi des médias d'Etat. Au moins 18 des 31 provinces que compte l'Iran, incluant celle de la capitale Téhéran, sont touchées par des températures extrêmes, qui ont débuté vendredi et devraient s'atténuer à partir de jeudi, a indiqué la télévision d'Etat, citant les services météorologiques.
Les autorités iraniennes ont appelé les habitants à réduire leur consommation d'eau à un moment où le pays est confronté à de graves pénuries en raison d'une vague de chaleur persistante, ont rapporté dimanche des médias d'Etat. Pays aride, l'Iran est régulièrement confronté à des épisodes de sécheresse, en particulier dans ses provinces méridionales. Le pays est par ailleurs confronté à la semaine la plus chaude de l'année avec des températures qui dépassent localement les 50°C, selon la météo nationale.
Heat caused 2,300 deaths across 12 cities, of which 1,500 were down to climate crisis, scientists say