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mars 2024

Au moins vingt développements de champs pétroliers et gaziers ont fait l’objet d’une décision finale d’investissement en 2023. Ils devraient déboucher sur une production de 8 milliards de barils équivalent pétrole (bep), selon l’édition annuelle du Global Oil and Gas Extraction Tracker, publiée par l’ONG étasunienne Global Energy Monitor jeudi 28 mars.
Il est détenu pour avoir dénoncé l'assaut de la Russie contre l'Ukraine.
Le géant britannique du pétrole et gaz a indiqué jeudi qu'il maintenait sa stratégie climatique tout en y ajoutant de nouveaux objectifs, d'après un communiqué.Le groupe veut toujours diviser par deux les émissions polluantes générées par ses propres opérations (activités dites de "Scope" ou périmètre 1 et 2) d'ici 2030, comparé à 2016, et dit l'avoir déjà atteint à 60% à fin 2023. Le groupe veut aussi désormais réduire les émissions générées par l'utilisation de ses produits pétroliers par ses clients (émissions dites de scope 3) de 15 à 20% d'ici 2030, comparé à 2021.
Les cultures issues des nouvelles techniques génomiques doivent-elles être traitées comme celles des OGM traditionnels ? La question se pose parce que les deux technologies divergent, mais elle n’a pas encore été tranchée au niveau européen.
Elles s'appellent Jimmy, Calogena ou Naarea: l'émergence de start-up promettant de décarboner l'industrie grâce à de petits réacteurs nucléaires soulève des questions inédites et de nouveaux enjeux de sûreté.- SMR, AMR: de quoi parle-t-on ? -Plus petits, moins puissants que leurs grands frères du parc nucléaire historique, les PRM (petits réacteurs modulaires) pourront produire de l'électricité, mais aussi fournir de la chaleur aux industries lourdes (verre, chimie, acier...), aujourd'hui très dépendantes d'énergies fossiles.
Les nouvelles techniques d'édition du génome sont en discussion au parlement européen. En jeu : la diversité de l'agriculture de demain.

février 2024

Le débat sur les nouveaux OGM est biaisé par les lobbies qui défendent toute une série d’intérêts économiques. A la faveur de sa présidence européenne, la Belgique doit se positionner dans ce dossier en facilitant l’élaboration d’une politique européenne qui donne la priorité à l’équité, à l’autonomie des agriculteur.e.s, à la santé publique et à l’environnement.
Dans un document que s’est procuré Reporterre, la région Bretagne prévoit une politique pro-pêche industrielle jusqu’en 2027. Un cap « absolument scandaleux », déplorent les associations écologistes.
Une branche du CNRS a poussé ses chercheurs à se positionner publiquement en faveur des nouveaux OGM. Le retour de cette vieille technique de propagande industrielle a choqué de nombreux scientifiques, notamment écologues.
Le ministre délégué à l'Energie Roland Lescure s'est dit favorable dimanche au projet de huit nouveaux forages pétroliers en Gironde qui mécontente riverains et ONG, alors que l'exploitation du pétrole doit s'arrêter progressivement en France d'ici 2040.Interrogé pour savoir s'il y est "favorable", le ministre a répondu: "Oui, et pour une simple et bonne raison: c'est qu'on l'a voté", a-t-il dit sur France 3 dans l'émission Dimanche en politique. "Je suis pour" le feu vert de l'Etat à ce forage, a-t-il ajouté plus tard.
Si rien n’indique que les « nouveaux OGM » soient sanitairement dangereux, ils ne sont pas exempts d’inquiétudes scientifiquement légitimes sur leurs conséquences biologiques. En plus de leurs coûts et conséquences sur les paysans.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré dans le monde et, pour la première fois, la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle a été franchie sur 12 mois consécutifs, selon les données de l'observatoire européen Copernicus.
Le Parlement européen débat mardi d'un assouplissement de la réglementation entourant les NGT, de nouveaux organismes génétiquement modifiés qui permettraient, selon leurs partisans, de renforcer l'agriculture européenne. Leurs détracteurs font valoir que les risques qu'ils représentent pour la santé et l’environnement sont mal évalués.
Prix des semences, brevets et droits de licence, présomption de contrefaçon : le projet de réglementation sur les nouveaux OGM menace les petits semenciers et les paysans, au bénéfice des multinationales agrochimiques.
Nous invitons le gouvernement à lancer une révision de la Constitution en interaction avec les citoyen·nes pour leur donner une juste place dans l’action politique.