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L’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science font partie des priorités énoncées, lundi, par le chef de l’Etat.
Ces 30 et 31 mars, l’évènement organisé par l’Elysée réunira des personnalités comme l’acteur Harrison Ford, des scientifiques, des décideurs politiques ou des philanthropes. Le rendez-vous sera clôturé par Emmanuel Macron, qui présentera les ambitions océaniques tricolores à deux mois du sommet de l’ONU à Nice.
Alors que la France organise à Paris le sommet SOS Océan, dimanche et lundi, pour annoncer des mesures en faveur de sa protection, les associations de défense de l’environnement dénoncent le manque d’ambition du gouvernement. Elles réclament l’interdiction totale de la pêche au chalut dans les aires marines protégées.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
Un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l’Ukraine" se tient à Paris, ce jeudi, à l’initiative du président Français Emmanuel Macron, pour mettre en place des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie. C’est la troisième fois qu’un tel sommet est organisé pour constituer une "coalition des volontaires". Les précédents avaient eu lieu à Paris et à Londres.
La trentaine de dirigeants soutenant l'Ukraine qui ont participé samedi à un sommet virtuel organisé par Londres ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre, pour la pousser à accepter un cessez-le-feu.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
Après avoir officialisé jeudi la création d'une "réserve nationale" américaine de cryptomonnaies, Donald Trump accueille vendredi à la Maison Blanche un sommet dédié à ces actifs virtuels.
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour pallier l’arrêt de l’aide américaine à Kyiv. Ce qui signe peut-être, enfin, une meilleure politique de défense commune.
Les États membres de l'Union européenne et Volodymyr Zelensky se retrouvent jeudi pour un sommet extraordinaire sur l'Ukraine. Cette réunion est destinée à rassurer le pays, suite à son invasion par la Russie il y a plus de trois ans, et à muscler la défense européenne après l'altercation spectaculaire entre Donald Trump et le président ukrainien.
Les chefs d'État et de gouvernement de l'Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l'Europe" à 800 milliards d'euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine.
Le Premier ministre britannique a annoncé dimanche que plusieurs pays européens étaient prêts à soumettre un plan de paix aux États-Unis, avec l’espoir d’obtenir un soutien américain à des garanties de sécurité pour Kiev face à la Russie. Cette semaine pourrait “marquer un tournant”, note la presse européenne.
Les alliés européens se sont réunis dimanche au Royaume-Uni afin de montrer leur soutien à Kiev et d'afficher leur engagement à se réarmer face à la Russie. Paris et Londres ont proposé une trêve partielle d'un mois en Ukraine.
Une quinzaine de dirigeants alliés de Kiev se réunissent à Londres dimanche pour un sommet sur l'Ukraine et la sécurité. Quelques heures avant son ouverture, le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé que Londres et Paris travaillaient avec Kiev à un "plan" pour un cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie, qui sera ensuite soumis aux États-Unis.
L’Europe "doit faire le gros du travail" en Ukraine mais avec le soutien des États-Unis, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer à l’issue du sommet organisé dimanche à Londres avec une quinzaine d’alliés de Kiev. "L’Europe doit faire le gros du travail, mais pour défendre la paix sur notre continent, et pour réussir, cet effort doit être fortement soutenu par les États-Unis", a déclaré le dirigeant britannique lors d’une conférence de presse.
Dimanche dans la capitale britannique, s’est tenu un sommet réunissant 19 pays occidentaux, en soutien au président ukrainien bousculé par Trump vendredi. Une réponse musclée de l’Europe qui montre qu’elle s’est réveillée.
Le président ukrainien est arrivé à la mi-journée au Royaume-Uni, au lendemain de sa dispute avec Donald Trump et à la veille d’une réunion d’urgence sur la défense, présentée par la presse britannique comme “la plus importante depuis Yalta” pour le Vieux Continent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est invité au sommet spécial de l'UE sur la défense le 6 mars pour discuter des "garanties de sécurité" en faveur de l'Ukraine, a annoncé jeudi le président du Conseil européen Antonio Costa.
Huit dirigeants arabes se réunissent, vendredi, en Arabie saoudite, pour discuter d'un projet alternatif à celui exposé par Donald Trump sur l'avenir de Gaza. Un plan égyptien en trois phases est à l'étude.
Face aux initiatives de Washington sur le dossier ukrainien, des dirigeants européens se sont réunis en urgence à Paris lundi : ils ont appelé à augmenter les dépenses de défense mais n’ont pas réussi à s’entendre sur l’hypothèse d’un envoi de troupes de maintien de la paix en Ukraine. Cette question constitue pourtant “un véritable test d’unité”, note la presse européenne.
Emmanuel Macron réunissait huit dirigeants européens et les chefs de l’OTAN et des instances communautaires, lundi, moins d’une semaine après que Washington et Moscou ont convenu de lancer des négociations « immédiates » pour mettre fin au conflit.
De la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen au chef de l’Otan Mark Rutte en passant par Keir Starmer, les dirigeants européens ont multiplié les réactions ce lundi 17 février au soir à l’issue de la réunion d’urgence.
Varsovie a affirmé samedi que la réunion, prévue lundi et organisée à l’initiative d’Emmanuel Macron, visait à discuter des défis posés par le plan de paix ukrainien de l’administration Trump. Pour la presse européenne, la rapidité de la réponse européenne témoigne de “l’ampleur de l’anxiété” sur le continent.
Un contre-sommet dénonçant les dérives de l'intelligence artificielle s'est tenu à Paris le 10 février. L'occasion pour les participants de partager leurs craintes, mais aussi leurs solutions.
Une soixantaine de pays dont la France et la Chine ont signé mardi un partenariat global pour une IA "ouverte" et "éthique", auquel n'ont pas souscrit les États-Unis et le Royaume-Uni. Le vice-président américain J.D Vance s'est démarqué par son discours très offensif sur la bataille de l'IA et sur la position hégémonique que son pays entend conserver.
« Nous avons besoin de continuer à faire avancer une gouvernance internationale de l’intelligence artificielle », a déclaré Emmanuel Macron en clôture de l’événement.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ne figurent pas parmi les 61 premiers pays signataires d’une déclaration pour une intelligence artificielle «durable pour les populations et la planète» publiée mardi à l’issue du Sommet sur l'IA.
En parallèle du Sommet mondial sur l’IA organisé à Paris, un contre-sommet était organisé, lundi, au théâtre de la Concorde. Non loin du Grand Palais, des professionnels de l’image et de la voix ont, entre autres, témoigné de leurs inquiétudes au quotidien avec l’intelligence artificielle. De la BD au cinéma en passant par les doubleurs de voix, reportage avec ceux qui dénoncent un “pillage” de leur travail.
Vice-président américain, vice-Premier ministre chinois, chancelier allemand... Des dirigeants politiques du monde entier et des patrons de la tech se retrouvent lundi et mardi à Paris lors d'un Sommet international sur l'intelligence artificielle (IA), une technologie qui a rapidement bouleversé de nombreux pans de la société et dont chaque pays tente de tirer avantage.
À l’occasion du Sommet pour l’action sur l’IA, lundi, différents acteurs politiques et de la tech se sont réunis pour débattre au Grand Palais de l’intelligence artificielle et de ce qu'elle apporte, ou non, aux démocraties. Menace ou solution ? France 24 a assisté à une table ronde sur le sujet, en l'absence des protagonistes du secteur de l'IA.
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L’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science font partie des priorités énoncées, lundi, par le chef de l’Etat.
Ces 30 et 31 mars, l’évènement organisé par l’Elysée réunira des personnalités comme l’acteur Harrison Ford, des scientifiques, des décideurs politiques ou des philanthropes. Le rendez-vous sera clôturé par Emmanuel Macron, qui présentera les ambitions océaniques tricolores à deux mois du sommet de l’ONU à Nice.
Alors que la France organise à Paris le sommet SOS Océan, dimanche et lundi, pour annoncer des mesures en faveur de sa protection, les associations de défense de l’environnement dénoncent le manque d’ambition du gouvernement. Elles réclament l’interdiction totale de la pêche au chalut dans les aires marines protégées.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
Un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l’Ukraine" se tient à Paris, ce jeudi, à l’initiative du président Français Emmanuel Macron, pour mettre en place des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie. C’est la troisième fois qu’un tel sommet est organisé pour constituer une "coalition des volontaires". Les précédents avaient eu lieu à Paris et à Londres.
La trentaine de dirigeants soutenant l'Ukraine qui ont participé samedi à un sommet virtuel organisé par Londres ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre, pour la pousser à accepter un cessez-le-feu.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
Après avoir officialisé jeudi la création d'une "réserve nationale" américaine de cryptomonnaies, Donald Trump accueille vendredi à la Maison Blanche un sommet dédié à ces actifs virtuels.
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour pallier l’arrêt de l’aide américaine à Kyiv. Ce qui signe peut-être, enfin, une meilleure politique de défense commune.
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Les chefs d'État et de gouvernement de l'Union européenne ont donné un premier feu vert, jeudi à Bruxelles, au grand plan "Réarmer l'Europe" à 800 milliards d'euros. La Commission européenne est appelée à le développer en urgence, alors que les États-Unis ont amorcé un désengagement en Ukraine.
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Une quinzaine de dirigeants alliés de Kiev se réunissent à Londres dimanche pour un sommet sur l'Ukraine et la sécurité. Quelques heures avant son ouverture, le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé que Londres et Paris travaillaient avec Kiev à un "plan" pour un cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie, qui sera ensuite soumis aux États-Unis.
L’Europe "doit faire le gros du travail" en Ukraine mais avec le soutien des États-Unis, a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer à l’issue du sommet organisé dimanche à Londres avec une quinzaine d’alliés de Kiev. "L’Europe doit faire le gros du travail, mais pour défendre la paix sur notre continent, et pour réussir, cet effort doit être fortement soutenu par les États-Unis", a déclaré le dirigeant britannique lors d’une conférence de presse.