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A l’heure où Israël lance une attaque d’ampleur sur l’Iran, dénonçant le fait que la république islamique a atteint un “point de non-retour” vers la bombe atomique, l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) sort un rapport qui alerte : le monde se dirige vers une nouvelle course aux armements nucléaires.
Quand on pense aux guerres de demain, on imagine souvent des robots humanoïdes ou des avions furtifs invisibles au radar. La réalité, pourtant, est déjà là – et elle est bien plus discrète. De petits engins volants, parfois à peine plus grands qu’un modèle réduit, capables de choisir leur cible, de décider d’attaquer… et de tuer, sans qu’aucun humain n’ait à valider la frappe.
Dans l’ombre des conflits modernes, une nouvelle révolution technologique se prépare. L’US Air Force, via son laboratoire de recherche (AFRL), vient d’attribuer un contrat de près de 100 millions de dollars à General Atomics pour développer un drone militaire d’un genre nouveau. Son nom : GHOST. Un acronyme mystérieux pour une machine tout aussi énigmatique, conçue pour être furtive, endurante et redoutablement efficace.
Et si, dans un futur proche, les drones de guerre ressemblaient à de simples pies ou goélands ? Ce n’est pas un scénario de science-fiction, mais une réalité que la Chine vient de dévoiler lors de la 10e Exposition des technologies intelligentes militaires (CMITE 2025). Parmi une impressionnante gamme d’engins autonomes, un type de drone en particulier a captivé l’attention : les ornithoptères, des drones biomimétiques qui volent, bougent et ressemblent à s’y méprendre à de vrais oiseaux. Et ce n’est pas juste pour faire joli.
Le 27 mai 2025, dans le port militaire de Cherbourg, un géant silencieux a été mis à l’eau. Son nom : De Grasse. Ce n’est pas seulement un sous-marin nucléaire d’attaque de plus — c’est le dernier-né d’un programme de 10 milliards d’euros qui redéfinit la puissance navale française pour les décennies à venir. Ce lancement marque une étape majeure dans la modernisation de la flotte française, mais aussi dans l’équilibre stratégique des forces sous-marines au sein de l’OTAN.
L’intelligence artificielle (IA) révolutionne déjà notre quotidien, de la médecine à l’industrie, mais son impact dans le domaine militaire est en train de franchir un cap inédit. Une équipe chinoise dirigée par le professeur Fu Yanfang, de l’Université technologique de Xi’an, a mis au point un système d’IA capable de générer automatiquement des milliers de scénarios de combat simulés, réduisant drastiquement le temps nécessaire à la planification militaire. Cette innovation, incarnée par le modèle de langage étendu appelé DeepSeek, pourrait transformer les stratégies de guerre et bouleverser l’équilibre mondial.
À l’ère des tensions croissantes sous les mers, la Royal Navy britannique mise sur l’intelligence artificielle pour surveiller les profondeurs. Son nouveau système baptisé Lura, conçu pour traquer les sous-marins ennemis, promet une révolution dans la guerre sous-marine. Et le tout… sans torpilles ni humains à bord.
Des scientifiques chinois travaillent sur une technologie aussi impressionnante que risquée : permettre à un avion de chasse furtif de sixième génération, le J-36, d’atterrir en toute sécurité sur un porte-avions… même en pleine mer agitée. Ce défi colossal pourrait bien redéfinir la manière dont les puissances navales envisagent la guerre aéronavale dans les prochaines décennies.
Le ciel de Cap Canaveral a récemment été traversé par une arme futuriste : Dark Eagle, le missile hypersonique développé par les États-Unis. Ce test secret, réalisé sans annonce préalable, marque une nouvelle étape dans la course aux armements hypersoniques. Et pour cause : cette arme est conçue pour atteindre une vitesse cinq fois supérieure à celle du son et frapper une cible située à près de 2 800 kilomètres… en quelques minutes seulement.
Selon différents experts, les Américains peuvent rendre nos futurs avions de combat F-35 inutilisables. Plutôt problématique, alors que notre allié de toujours devient de plus en plus hostile.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a remercié dimanche Donald Trump pour avoir fourni à son pays des "outils nécessaires", après que le président américain a laissé entendre qu'il avait débloqué la livraison à Israël de bombes de 2.000 livres.
La Chine a indiqué mercredi avoir suspendu des discussions avec les Etats-Unis sur le contrôle des armes et la non-prolifération nucléaire, précisant que cette décision venait en représailles à des ventes d'armes par Washington à Taïwan.
Un pays a dépensé plus en armes nucléaires que tous les autres pays réunis l'année dernière. Saurez-vous deviner lequel ?
Les puissances nucléaires modernisent leurs arsenaux face à l'augmentation des tensions géopolitiques dans le monde, avec une multiplication d'un tiers des dépenses dans ce domaine au cours des cinq dernières années, selon deux rapports publiés lundi.
Les dépenses militaires mondiales ont atteint un nouveau record en 2023, pour la neuvième année consécutive, rapporte l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI).
Israël possède l’un des systèmes de défense aérienne les plus sophistiqués et coûteux au monde. Sa grande force est de pouvoir répondre à des attaques multiples de projectiles.
Alors que l’Iran a montré sa capacité à envoyer une salve de missiles et de drones sur Israël, la Suisse s’apprête à rejoindre le projet allemand de défense antimissiles qui s’appuie sur le système israélien Arrow 3 et les Patriot américains. Une initiative onéreuse et complexe critiquée par la France.
Depuis le début de l’offensive israélienne, les États-Unis ont procédé à plus de 100 livraisons d’armes à leurs alliés israéliens, malgré les inquiétudes croissantes sur les tactiques militaires employées à Gaza, souligne le “Washington Post”.
Le chancelier Olaf Scholz a appelé lundi les Européens à se tourner vers une production de masse de matériel militaire, en privilégiant commandes groupées et de long terme, mettant en garde contre la menace durable représentée par la Russie.
Steadfast Noon, c’est le nom d’une opération militaire qui a lieu en ce moment dans notre ciel. Les forces aériennes chargées de missions nucléaires entamaient ce lundi, au départ de la base aérienne de Kleine-Brogel (Limbourg), cet exercice "de dissuasion" de routine impliquant une soixantaine d’avions de divers types, dont des bombardiers stratégiques B-52 Stratofortress américains.
Javelin, Caesar, Himars… Derrière ces noms emblématiques, de nombreux autres matériels expliquent la résistance de l’armée ukrainienne.
Centre de documentation et de recherche sur la paix et les conflits
Il y des drones de toutes les tailles. Avec caméra, électronique et/ou armement embarqué. La genèse de ces véhicules sans pilote est plus longue que l’on ne pourrait le penser. Mais, c’est une autre histoire. Celle qui nous intéresse, c’est celle d’engins actuels, de plus en plus perfectionnés, fabriqués et vendus de tous les côtés.
La Russie a intensifié son offensive en Ukraine samedi, annonçant l'emploi, pour la première fois, d'un missile hypersonique tandis que le président ukrainien Volodymyr Zelensky jugeait qu'il était temps pour Moscou d'accepter de "discuter" sérieusement de paix. Le ministère russe de la Défense a assuré avoir utilisé la veille des missiles hypersoniques "Kinjal" pour détruire un entrepôt souterrain d'armements dans l'ouest de l'Ukraine, une première selon l'agence d'Etat Ria Novosti. Ce type de missiles, très manoeuvrable, défie tous les système de défense anti-aérienne, selon Moscou.
Il s'agit de munitions de diversion provenant des missiles à courte portée Iskander M et qui empêchent le système de défense antimissile ukrainien de détecter correctement les projectiles. La communauté internationale ignorait que la Russie possédait ou utilisait ces dispositifs de diversion. Il s'agit, selon une source anonyme du renseignement américain qui s'est confiée au NYT, d'engins d'environ 12 pouces (30 centimètres) de long qui ressemblent à une flèche blanche avec une queue orange. Ils produisent des signaux radio qui interfèrent avec le radar signalant les missiles Iskander M et ils peuvent se charger en chaleur pour attirer les missiles anti-aériens ukrainiens.
Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a annoncé de nouvelles mesures de rétorsion contre le régime de Vladimir Poutine, dimanche 27 février au soir.
Rapprochement économique, alliance militaire, "complicité" dans l'invasion de l'Ukraine... La Biélorussie, devenu un état vassal de la Russie, multiplie les signes d'allégeance envers Moscou et pourrait même accueillir une partie de l'arsenal nucléaire russe à la faveur d'une modification de la constitution prévue dimanche.
Pour garantir l’accès aux informations qui font défaut sur le sujet du démantèlement des installations, une « implication parlementaire » est indispensable, estiment le directeur de l’Observatoire des armements, Patrice Bouveret, et le porte-parole d’ICAN France, Jean-Marie Collin, dans une tribune au « Monde ».
Le secteur de l’armement a bien résisté au choc économique provoqué par la pandémie en 2020 : alors que l’économie mondiale a reculé de 3,1%, les ventes d’armes ont, elles, augmenté de 1,3% en termes réels. C’est ce que montrent les nouvelles données publiées par le Sipri (Stockholm International Peace Research Institute).


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juin 2025

A l’heure où Israël lance une attaque d’ampleur sur l’Iran, dénonçant le fait que la république islamique a atteint un “point de non-retour” vers la bombe atomique, l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) sort un rapport qui alerte : le monde se dirige vers une nouvelle course aux armements nucléaires.
Quand on pense aux guerres de demain, on imagine souvent des robots humanoïdes ou des avions furtifs invisibles au radar. La réalité, pourtant, est déjà là – et elle est bien plus discrète. De petits engins volants, parfois à peine plus grands qu’un modèle réduit, capables de choisir leur cible, de décider d’attaquer… et de tuer, sans qu’aucun humain n’ait à valider la frappe.
Dans l’ombre des conflits modernes, une nouvelle révolution technologique se prépare. L’US Air Force, via son laboratoire de recherche (AFRL), vient d’attribuer un contrat de près de 100 millions de dollars à General Atomics pour développer un drone militaire d’un genre nouveau. Son nom : GHOST. Un acronyme mystérieux pour une machine tout aussi énigmatique, conçue pour être furtive, endurante et redoutablement efficace.

mai 2025

Et si, dans un futur proche, les drones de guerre ressemblaient à de simples pies ou goélands ? Ce n’est pas un scénario de science-fiction, mais une réalité que la Chine vient de dévoiler lors de la 10e Exposition des technologies intelligentes militaires (CMITE 2025). Parmi une impressionnante gamme d’engins autonomes, un type de drone en particulier a captivé l’attention : les ornithoptères, des drones biomimétiques qui volent, bougent et ressemblent à s’y méprendre à de vrais oiseaux. Et ce n’est pas juste pour faire joli.
Le 27 mai 2025, dans le port militaire de Cherbourg, un géant silencieux a été mis à l’eau. Son nom : De Grasse. Ce n’est pas seulement un sous-marin nucléaire d’attaque de plus — c’est le dernier-né d’un programme de 10 milliards d’euros qui redéfinit la puissance navale française pour les décennies à venir. Ce lancement marque une étape majeure dans la modernisation de la flotte française, mais aussi dans l’équilibre stratégique des forces sous-marines au sein de l’OTAN.
L’intelligence artificielle (IA) révolutionne déjà notre quotidien, de la médecine à l’industrie, mais son impact dans le domaine militaire est en train de franchir un cap inédit. Une équipe chinoise dirigée par le professeur Fu Yanfang, de l’Université technologique de Xi’an, a mis au point un système d’IA capable de générer automatiquement des milliers de scénarios de combat simulés, réduisant drastiquement le temps nécessaire à la planification militaire. Cette innovation, incarnée par le modèle de langage étendu appelé DeepSeek, pourrait transformer les stratégies de guerre et bouleverser l’équilibre mondial.
À l’ère des tensions croissantes sous les mers, la Royal Navy britannique mise sur l’intelligence artificielle pour surveiller les profondeurs. Son nouveau système baptisé Lura, conçu pour traquer les sous-marins ennemis, promet une révolution dans la guerre sous-marine. Et le tout… sans torpilles ni humains à bord.
Des scientifiques chinois travaillent sur une technologie aussi impressionnante que risquée : permettre à un avion de chasse furtif de sixième génération, le J-36, d’atterrir en toute sécurité sur un porte-avions… même en pleine mer agitée. Ce défi colossal pourrait bien redéfinir la manière dont les puissances navales envisagent la guerre aéronavale dans les prochaines décennies.

avril 2025

Le ciel de Cap Canaveral a récemment été traversé par une arme futuriste : Dark Eagle, le missile hypersonique développé par les États-Unis. Ce test secret, réalisé sans annonce préalable, marque une nouvelle étape dans la course aux armements hypersoniques. Et pour cause : cette arme est conçue pour atteindre une vitesse cinq fois supérieure à celle du son et frapper une cible située à près de 2 800 kilomètres… en quelques minutes seulement.

janvier 2025

Selon différents experts, les Américains peuvent rendre nos futurs avions de combat F-35 inutilisables. Plutôt problématique, alors que notre allié de toujours devient de plus en plus hostile.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a remercié dimanche Donald Trump pour avoir fourni à son pays des "outils nécessaires", après que le président américain a laissé entendre qu'il avait débloqué la livraison à Israël de bombes de 2.000 livres.

juillet 2024

La Chine a indiqué mercredi avoir suspendu des discussions avec les Etats-Unis sur le contrôle des armes et la non-prolifération nucléaire, précisant que cette décision venait en représailles à des ventes d'armes par Washington à Taïwan.

juin 2024

Un pays a dépensé plus en armes nucléaires que tous les autres pays réunis l'année dernière. Saurez-vous deviner lequel ?
Les puissances nucléaires modernisent leurs arsenaux face à l'augmentation des tensions géopolitiques dans le monde, avec une multiplication d'un tiers des dépenses dans ce domaine au cours des cinq dernières années, selon deux rapports publiés lundi.

avril 2024

Les dépenses militaires mondiales ont atteint un nouveau record en 2023, pour la neuvième année consécutive, rapporte l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI).