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Les Etats-Unis ont refusé ou révoqué des visas à des responsables palestiniens, dont le président de l’Autorité palestinienne, pour l’Assemblée générale de l’ONU en septembre à New York, où la France plaidera pour la reconnaissance d’un Etat palestinien.
Toute la journée de mardi, des manifestants se sont réunis, à l’appel du Forum des familles d’otages, à des carrefours et devant des domiciles de ministres pour réclamer du gouvernement de Benyamin Nétanyahou un accord de trêve à Gaza.
Pour nuancer (voire dépasser) l’idée selon laquelle les spécialistes de droit international seraient divisé.es sur la question de Gaza, les signataires de cette carte blanche font le point sur les différents aspects du conflit : illicéité de l’occupation, caractère criminel des attaques du 7 octobre, absence de « légitime défense » au sens de la Charte des Nations unies pour un Etat occupant, caractère disproportionné et criminel de la riposte israélienne au regard du droit international humanitaire et des droits humains, établissement d’un génocide, devoirs des Etats tiers…
Le chef de l'opposition israélienne, Yair Lapid, a exhorté mardi le gouvernement religieux de droite à conclure un accord avec le mouvement islamiste palestinien Hamas afin de mettre fin à la guerre et d'obtenir la libération des otages.
Organisé à la va-vite dimanche, le déplacement conjoint des principaux dirigeants européens illustre, surtout, leur volonté d’être impliqués dans toute négociation entre les Russes et les Américains.
Au lendemain de sa rencontre en Alaska avec son homologue russe Vladimir Poutine, le président américain Donald Trump a abandonné samedi toute exigence d'un cessez-le-feu préalable en Ukraine, prônant désormais un "accord de paix" pour mettre fin au conflit. Le locataire de la Maison Blanche doit recevoir le président ukrainien lundi à Washington, et une réunion avec les pays de la "coalition des volontaires" alliés de Kiev doit avoir lieu dimanche.
Un accord de paix maintenant « dépend vraiment de Volodymyr Zelensky », a déclaré le président américain sur la chaîne Fox News après l’entretien avec son homologue russe, qui n’a débouché sur aucune annonce concrète.
Le président américain a déclaré, vendredi 15 août, n’avoir pas conclu d’accord avec son homologue russe à propos de la guerre en Ukraine à l’issue de discussions “productives” de près de trois heures, mais il a fait part de “progrès”.
Volodymyr Zelensky est attendu lundi après-midi à la Maison Blanche, deux jours après un sommet très attendu en Alaska entre le président américain et son homologue russe Vladimir Poutine. Désormais, Donald Trump écarte un "cessez-le-feu" et plaide pour "un accord de paix" en Ukraine.
Présenté au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, un nouveau texte de compromis comportait encore plus d’une centaine de points à clarifier. Après dix jours d’intenses négociations, les chefs de délégation n’ont pas réussi à se mettre d’accord.
La commissaire européenne à l'Environnement, Jessika Roswall, a appelé mardi à faire aboutir les négociations très difficiles en vue d'un traité sur la pollution plastique, censées se conclure jeudi après 10 jours de tractations à Genève.
Les deux pays se sont engagés vendredi à Washington à «cesser définitivement», selon Donald Trump, le conflit territorial qui les oppose depuis des décennies.
Crimes de guerre, crimes contre l’humanité, intention génocidaire : «Libération» publie un appel signé par plus de 150 professeurs francophones de droit international qui s’unissent autour huit constats juridiques sur la situation au Proche-Orient.
L’amiral Bernard Rogel, ancien chef de l’état-major particulier du président de la République, analyse la déclaration commune de Londres et Paris du 10 juillet, premier pas vers une nouvelle architecture de défense européenne sans les Etats-Unis.
L'accord conclu entre Washington et Bruxelles prévoit que l'Union européenne achète pour 250 milliards de dollars par an d'énergies fossiles américaines sur 3 ans (soit 750 milliards de dollars au total), une promesse qui s'annonce difficile à tenir, voire qui est "irréaliste" selon des experts de l'énergie interrogés par l'AFP. En 2024, la facture totale des importations énergétiques de l'UE s'est élevée à 375 milliards d'euros, ou 435,5 milliards de dollars, ce qui signifie que l'Europe des 27 devrait désormais acheter aux États-Unis plus de la moitié de son énergie importée.
L'Union européenne s'est engagée à importer d'énormes quantités d'énergie américaine pour éviter une guerre commerciale avec Donald Trump. Des commandes de gaz naturel liquéfié, de pétrole ou de charbon qui pourraient mettre en péril les objectifs de décarbonation européens.
D'une dépendance à l'autre. A mesure que l'Union européenne se sèvre du gaz russe, elle ouvre grands ses portes (et ses ports) au GNL américain. En échange de droits de douane abaissés à 15%, Ursula von der Leyen a promis d'augmenter significativement les importations d'hydrocarbures américains. Un deal loin d'être gagnant pour la transition.
C'est ce que révèle ce mardi De Standaard, sur base d'une question parlementaire du député Groen Aimen Horch au ministre-président flamand Matthias Diependaele (N-VA), en charge de la politique industrielle.
Le deal conclu comprend l'achat de 750 milliards de dollars d'énergie américaine sur trois ans. Cette hausse des importations concerne notamment le gaz naturel liquéfié. Un signal environnemental et climatique catastrophique.
Le Premier ministre français François Bayrou a regretté lundi "un jour sombre" pour l'Europe qui "se résout à la soumission" en signant l'accord commercial annoncé dimanche entre l'Union européenne et les États-Unis.
L’accord conclu entre Donald Trump et Ursula von der Leyen dimanche 27 juillet n’est pas accueilli de la même manière par tous les Etats européens. Et pour cause : les intérêts économiques des 27 membres de l’UE divergent.
En signant l’accord qui fixe à 15% les taxes sur les produits européens, l’UE semble s’être pliée aux règles du président américain. Peut-être pouvait-elle montrer plus de muscles face à un interlocuteur qui ne comprend que la force.
L’accord politique conclu dimanche entre Donald Trump et Ursula von der Leyen, doit encore être précisé par des négociations techniques. Mais l’essentiel est connu : l’Europe n’obtient rien et fait moins bien que le Royaume-Uni, ce qui souligne la faiblesse politique de ce géant commercial.
Sous le feu des critiques, Bruxelles a présenté lundi l'accord commercial avec les États-Unis de Donald Trump comme le "meilleur" compromis possible dans un contexte "très difficile". Il doit encore être précisé dans une déclaration commune des deux partenaires attendue d'ici au 1er août. Voici ce que l'on sait à ce stade: Que prévoit l'accord?
Dans le cadre de l'accord sur les droits de douane obtenu ce dimanche, l’Union européenne et les États-Unis ont annoncé un accord de principe pour l’achat de 750 milliards de dollars d’énergie américaine sur les trois prochaines années. Derrière cette annonce spectaculaire se dessine un projet stratégique de réorientation énergétique, destiné à réduire la dépendance à la Russie. Mais cet accord est encore très flou, comme le fait remarquer l’économiste Sophie Meritet, spécialiste de l’énergie.
Donald Trump et Ursula von der Leyen concluent un accord commercial entre lUE et les États-Unis en Ecosse. Donald Trump a annoncé des droits de douane à 15 %.
La Russie et l'Ukraine se sont accordées à l'issue de pourparlers à Istanbul mercredi sur un nouvel échange de prisonniers concernant 1.200 personnes de chaque côté, et Moscou a proposé à Kiev de lui remettre les corps de 3.000 nouveaux soldats, a annoncé le négociateur russe.
Les Etats-Unis et Bahreïn ont paraphé mercredi un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil, peu avant une rencontre à la Maison Blanche entre le président Donald Trump et Salmane ben Hamad Al-Khalifa, prince héritier de cette monarchie du Golfe. "Il s'agit d'une signature importante", a déclaré le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio lors d'une cérémonie de signature au côté de son homologue bahreïni, Abdellatif ben Rachid Al-Zayani.
La France a fait figure de pionnière en sortant du Traité sur la charte de l'énergie (TCE) en 2023, un accord qui permet de protéger l'intérêt des investisseurs dans le secteur énergétique. Mais au-delà du TCE, le pays est lié à des dizaines d'autres traités tout aussi néfastes mais dont il n'a pas l'intention de sortir à date.
Les travaux pour mettre en place des mesures de sûreté sur les sites d’EDF s’étaleront jusqu’en 2040. Cette annonce survient quelques semaines après la signature par le gouvernement du contrat de filière nucléaire pour la période 2025-2028, qui acte la relance de l’atome en France.