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Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Rappel des principales étapes, alors que les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois importants sites nucléaires iraniens, en appui de l’offensive lancée le 13 juin par Israël.
Israël estime avoir "déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, après une semaine de frappes sur des centaines de sites militaires et nucléaires, affirme le ministre des Affaires étrangères israélien dans un entretien publié samedi.
L’armée de l’Etat hébreu a touché samedi 14 juin deux sites pétroliers près de Téhéran ainsi qu’un complexe de production gazière au sud. Les cours de l’or noir avaient déjà bondi de plus de 10 % vendredi.
Au-delà de la seule opération militaire, l’attaque d’Israël sur l’Iran s’est appuyée, affirment des analystes, sur un méticuleux travail du Mossad, son service de renseignement extérieur, capable depuis des années d’infiltrer le pouvoir de la République islamique.
Les frappes israéliennes et iraniennes se poursuivent sans relâche ce dimanche, faisant au moins treize morts en Israël et près de 80 victimes en Iran, où le ministère de la Défense a été ciblé.
Le service de renseignement extérieur israélien a réussi à infiltrer le territoire et le pouvoir de la République islamique, pour détruire des défenses aériennes et réduire la capacité de riposte iranienne.
Après le lancement de l’opération «Rising Lion» par Israël, la veille, l’Iran a riposté et engagé un bras de fer à coups de bombardements inédits qui se sont poursuivis jusque tard dans la nuit, dans les deux pays.
Israël a mené vendredi des frappes d'une ampleur sans précédent contre des sites militaires et nucléaires en Iran, et tué de hauts responsables, Téhéran lançant en retour des vagues de missiles balistiques. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération, "une des plus grandes opérations militaires de l'histoire", durerait "de nombreux jours". Les frappes, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre). L'Iran a tiré en retour vendredi et samedi matin des dizaines de missiles balistiques contre Israël dont certains ont atteint le territoire israélien.
L’Iran a lancé dans la nuit de vendredi à samedi sa riposte contre Israël, après les bombardements sans précédent de l’État hébreu sur ses installations nucléaires. Malgré les appels de la communauté internationale à la retenue, Israël a promis de poursuivre ses frappes.
Téhéran a tiré plusieurs salves de missiles sur le territoire de l’Etat hébreu vendredi soir et dans la nuit de samedi, en réponse à l’opération israélienne «Rising Lion». Certains missiles se sont abattus dans la région de Tel-Aviv.
Israël et l'Iran poursuivent samedi leurs échanges de frappes meurtrières, déclenchés par une attaque israélienne massive contre des sites militaires et nucléaires iraniens à laquelle Téhéran riposte avec ses missiles balistiques. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération durerait "de nombreux jours". Les premières frappes israéliennes de vendredi, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran.
Selon le dernier bilan officiel - encore provisoire -, les attaques menées par Israël auraient tué au moins 78 personnes en Iran. Parmi elles, des profils bien loin de généraux ou de scientifiques nucléaires.
L'attaque d'une ampleur sans précédent lancée vendredi par Israël contre l'Iran a porté un coup à son programme nucléaire sans que l'impact, à ce stade, ne soit fatal, selon des experts interrogés par l'AFP. L'opération durera "autant de jours que nécessaire", a prévenu le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, disant disposer de renseignements prouvant que l'Iran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Quelle est l'étendue des dégâts?
Vendredi, l'Iran a riposté après l'attaque israélienne massive contre ses sites militaires et nucléaires. À l'aide de missiles balistiques, l'Iran a réussi à déjouer le "Dôme de fer" qui protège Israël.
L’Iran a frappé le centre d’Israël vendredi 13 juin, ripostant à l’attaque de l’Etat hébreu contre des sites militaires et nucléaires iraniens.
En réponse aux frappes israéliennes sur des installations nucléaires et militaires en Iran, Téhéran a tiré des salves de missiles en direction de l’État hébreu, vendredi soir et samedi. Retour en images sur la contre-attaque iranienne et les dommages causés en Israël.
Deux cents avions de chasse israéliens ont frappé, vendredi, des sites nucléaires et militaires disséminés sur tout le territoire iranien. L’offensive, baptisée « Rising Lion » (« le lion qui se lève »), a été jugée « très réussie » par le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou.
Israël a annoncé vendredi avoir procédé dans la nuit à des frappes contre des sites militaires et nucléaires en Iran qui a promis de riposter. L'armée israélienne a indiqué vendredi matin que ses avions de combat continuaient de mener des frappes en Iran tandis que le Premier ministre Benjamin Netanyahu déclarait que l'opération militaire israélienne durerait "de nombreux jours". Les frappes nocturnes, menées par 200 avions contre une centaine de cibles, ont touché notamment Téhéran (nord) et l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre).
Après les attaques de l’Etat hébreu sur la république Islamique dans la nuit de jeudi à vendredi, les pays limitrophes ont fermé leurs espaces aériens et les compagnies aériennes du monde entier ont supprimé et détourné leurs vols.
L’Etat hébreu a lancé très tôt ce vendredi 13 juin l’opération «Rising Lion». «Libé» résume les différents événements depuis le début de journée.
Plusieurs hauts dignitaires de l’armée et physiciens nucléaires iraniens ont été ciblés par Israël.
Au cours de son opération nocturne vendredi, l'aviation israélienne a bombardé le site de Natanz, le principal complexe d'enrichissement d'uranium en Iran. L'opération a visé d'autres sites mais pas celui de Fordo, où l'Iran a installé en profondeur des centaines de centrifugeuses. Décryptage.
Les bombardements de l’Etat hébreu dans la nuit du 12 au 13 juin, notamment sur des installations nucléaires iraniennes, ont rapidement suscité une avalanche de réactions internationales, se divisant entre appels à la désescalade, soutiens à Israël ou alors à Téhéran.
L'attaque israélienne contre l'Iran, dont Israël affirme qu'elle pourrait durer plusieurs jours, intervient à un moment d'extrême faiblesse pour Téhéran, avec des soutiens régionaux exsangues, une économie éreintée par les sanctions et peu d'options pour répondre militairement. Les frappes placent Téhéran face à des choix cornéliens et constituent un coup d'arrêt brutal aux efforts diplomatiques en cours autour de son programme nucléaire.
Alors qu'Israël a annoncé vendredi avoir frappé avec succès des sites nucléaires iraniens, il semble néanmoins très compliqué pour l'État hébreu de les neutraliser. Analyse avec Didier Leroy, chercheur à l'Institut Royal Supérieur de Défense (IRSD).
Après une nuit dans les abris, les Israéliens se demandent combien de temps durera l’état d’urgence décrété par le gouvernement Nétanyahou.Réveillés par les sirènes d’alerte en pleine nuit et incapables de se rendormir ensuite, les Israéliens suivent minute par minute la vaste opération militaire déclenchée par Benyamin Nétanyahou contre l’Iran. A la mi-journée ce vendredi 13 juin, ils ont été autorisés à circuler de nouveau normalement : le commandement du Front intérieur de l’armée a levé son ordre de «rester à proximité des abris» aux alentours de 12 h 30 et les familles épuisées sortent, les traits tirés, prendre l’air. Dans les rues de Jérusalem, les trottoirs désertés retrouvent un peu de vie mais rien de comparable à un avant-shabbat ordinaire.
L’Irak, la Jordanie et les pays du Golfe, qui accueillent des bases militaires américaines sur leur sol, craignent des représailles de Téhéran contre l’Etat hébreu et son allié américain.
Dès le lendemain de l’attaque du Hamas, l’Iran, accusé par Nétanyahou d’armer et financer le Hamas, avait soutenu le mouvement islamiste.
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Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Rappel des principales étapes, alors que les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois importants sites nucléaires iraniens, en appui de l’offensive lancée le 13 juin par Israël.
Israël estime avoir "déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, après une semaine de frappes sur des centaines de sites militaires et nucléaires, affirme le ministre des Affaires étrangères israélien dans un entretien publié samedi.
L’armée de l’Etat hébreu a touché samedi 14 juin deux sites pétroliers près de Téhéran ainsi qu’un complexe de production gazière au sud. Les cours de l’or noir avaient déjà bondi de plus de 10 % vendredi.
Au-delà de la seule opération militaire, l’attaque d’Israël sur l’Iran s’est appuyée, affirment des analystes, sur un méticuleux travail du Mossad, son service de renseignement extérieur, capable depuis des années d’infiltrer le pouvoir de la République islamique.
Les frappes israéliennes et iraniennes se poursuivent sans relâche ce dimanche, faisant au moins treize morts en Israël et près de 80 victimes en Iran, où le ministère de la Défense a été ciblé.
Le service de renseignement extérieur israélien a réussi à infiltrer le territoire et le pouvoir de la République islamique, pour détruire des défenses aériennes et réduire la capacité de riposte iranienne.
Après le lancement de l’opération «Rising Lion» par Israël, la veille, l’Iran a riposté et engagé un bras de fer à coups de bombardements inédits qui se sont poursuivis jusque tard dans la nuit, dans les deux pays.
Israël a mené vendredi des frappes d'une ampleur sans précédent contre des sites militaires et nucléaires en Iran, et tué de hauts responsables, Téhéran lançant en retour des vagues de missiles balistiques. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération, "une des plus grandes opérations militaires de l'histoire", durerait "de nombreux jours". Les frappes, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre). L'Iran a tiré en retour vendredi et samedi matin des dizaines de missiles balistiques contre Israël dont certains ont atteint le territoire israélien.
L’Iran a lancé dans la nuit de vendredi à samedi sa riposte contre Israël, après les bombardements sans précédent de l’État hébreu sur ses installations nucléaires. Malgré les appels de la communauté internationale à la retenue, Israël a promis de poursuivre ses frappes.
Téhéran a tiré plusieurs salves de missiles sur le territoire de l’Etat hébreu vendredi soir et dans la nuit de samedi, en réponse à l’opération israélienne «Rising Lion». Certains missiles se sont abattus dans la région de Tel-Aviv.
Israël et l'Iran poursuivent samedi leurs échanges de frappes meurtrières, déclenchés par une attaque israélienne massive contre des sites militaires et nucléaires iraniens à laquelle Téhéran riposte avec ses missiles balistiques. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération durerait "de nombreux jours". Les premières frappes israéliennes de vendredi, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran.
Selon le dernier bilan officiel - encore provisoire -, les attaques menées par Israël auraient tué au moins 78 personnes en Iran. Parmi elles, des profils bien loin de généraux ou de scientifiques nucléaires.
L'attaque d'une ampleur sans précédent lancée vendredi par Israël contre l'Iran a porté un coup à son programme nucléaire sans que l'impact, à ce stade, ne soit fatal, selon des experts interrogés par l'AFP. L'opération durera "autant de jours que nécessaire", a prévenu le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, disant disposer de renseignements prouvant que l'Iran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Quelle est l'étendue des dégâts?