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Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
L'Iran a menacé de s'en prendre aux bases militaires des Etats-Unis au Moyen-Orient en représailles aux frappes américaines sans précédent contre les sites nucléaires iraniens, faisant craindre un embrasement hors de contrôle de la région. Un conseiller de l'ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême iranien, a affirmé que les Etats-Unis "n'avaient plus leur place" au Moyen-Orient et qu'ils devaient s'attendre à des "conséquences irréparables" après leur attaque dans la nuit de samedi à dimanche.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».
L'Ukraine entend frapper plus loin.
Les frappes américaines sans précédent menées dimanche en Iran ont "dévasté" le programme nucléaire iranien, a affirmé dimanche le Pentagone, précisant qu'elles ne visaient pas à un changement de régime à Téhéran, tandis que Téhéran accusait Washington d'avoir franchi une "ligne rouge" majeure. Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a condamné l'"agression" menée contre trois importants sites nucléaires iraniens et accusé les Etats-Unis d'être "derrière" l'opération militaire israélienne déclenchée le 13 juin contre l'Iran. L'agence de presse iranienne Irna a fait état après ces raids du tir de 40 missiles sur Israël, qui ont fait de nombreux dégâts et 23 blessés, selon les secours israéliens.
Des frappes russes ont fait au moins 14 morts dans la nuit de lundi à mardi à Kiev, a indiqué le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Timour Tkatchenko.
L’armée de l’Etat hébreu a touché samedi 14 juin deux sites pétroliers près de Téhéran ainsi qu’un complexe de production gazière au sud. Les cours de l’or noir avaient déjà bondi de plus de 10 % vendredi.
L’Iran a lancé une nouvelle salve de missiles en représailles contre l’attaque de l’Etat hébreu. De son côté, Israël a visé dans la nuit de samedi à dimanche le ministère de la défense iranien.
Au-delà de la seule opération militaire, l’attaque d’Israël sur l’Iran s’est appuyée, affirment des analystes, sur un méticuleux travail du Mossad, son service de renseignement extérieur, capable depuis des années d’infiltrer le pouvoir de la République islamique.
Les frappes israéliennes et iraniennes se poursuivent sans relâche ce dimanche, faisant au moins treize morts en Israël et près de 80 victimes en Iran, où le ministère de la Défense a été ciblé.
Le service de renseignement extérieur israélien a réussi à infiltrer le territoire et le pouvoir de la République islamique, pour détruire des défenses aériennes et réduire la capacité de riposte iranienne.
Après le lancement de l’opération «Rising Lion» par Israël, la veille, l’Iran a riposté et engagé un bras de fer à coups de bombardements inédits qui se sont poursuivis jusque tard dans la nuit, dans les deux pays.
Israël a mené vendredi des frappes d'une ampleur sans précédent contre des sites militaires et nucléaires en Iran, et tué de hauts responsables, Téhéran lançant en retour des vagues de missiles balistiques. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération, "une des plus grandes opérations militaires de l'histoire", durerait "de nombreux jours". Les frappes, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre). L'Iran a tiré en retour vendredi et samedi matin des dizaines de missiles balistiques contre Israël dont certains ont atteint le territoire israélien.
L’Iran a lancé dans la nuit de vendredi à samedi sa riposte contre Israël, après les bombardements sans précédent de l’État hébreu sur ses installations nucléaires. Malgré les appels de la communauté internationale à la retenue, Israël a promis de poursuivre ses frappes.
Téhéran a tiré plusieurs salves de missiles sur le territoire de l’Etat hébreu vendredi soir et dans la nuit de samedi, en réponse à l’opération israélienne «Rising Lion». Certains missiles se sont abattus dans la région de Tel-Aviv.
Israël et l'Iran poursuivent samedi leurs échanges de frappes meurtrières, déclenchés par une attaque israélienne massive contre des sites militaires et nucléaires iraniens à laquelle Téhéran riposte avec ses missiles balistiques. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération durerait "de nombreux jours". Les premières frappes israéliennes de vendredi, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran.
Selon le dernier bilan officiel - encore provisoire -, les attaques menées par Israël auraient tué au moins 78 personnes en Iran. Parmi elles, des profils bien loin de généraux ou de scientifiques nucléaires.
L'attaque d'une ampleur sans précédent lancée vendredi par Israël contre l'Iran a porté un coup à son programme nucléaire sans que l'impact, à ce stade, ne soit fatal, selon des experts interrogés par l'AFP. L'opération durera "autant de jours que nécessaire", a prévenu le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, disant disposer de renseignements prouvant que l'Iran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Quelle est l'étendue des dégâts?
Vendredi, l'Iran a riposté après l'attaque israélienne massive contre ses sites militaires et nucléaires. À l'aide de missiles balistiques, l'Iran a réussi à déjouer le "Dôme de fer" qui protège Israël.
L’Iran a frappé le centre d’Israël vendredi 13 juin, ripostant à l’attaque de l’Etat hébreu contre des sites militaires et nucléaires iraniens.
En réponse aux frappes israéliennes sur des installations nucléaires et militaires en Iran, Téhéran a tiré des salves de missiles en direction de l’État hébreu, vendredi soir et samedi. Retour en images sur la contre-attaque iranienne et les dommages causés en Israël.
Avant les frappes israéliennes de vendredi, Washington et Téhéran ont conduit plusieurs cycles de négociations sur le programme nucléaire iranien en rapide développement. L'Iran a fortement accru l'échelle de son programme nucléaire ces dernières années, en riposte au retrait américain en 2018 de l'accord censé encadrer ses activités atomiques en échange d'une levée des sanctions internationales. […] Voici la liste des principaux sites connus, qui font l'objet d'inspections régulières de l'AIEA.
Israël a annoncé vendredi avoir procédé à des frappes contre des sites militaires et nucléaires de l'Iran, et promis de poursuivre son opération militaire "pour éliminer cette menace". Les frappes ont touché plusieurs zones en Iran, notamment la capitale Téhéran (nord) et l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre).
Israël a annoncé avoir procédé à des frappes contre des sites militaires et nucléaires de l’Iran, et promis de poursuivre son opération « pour éliminer cette menace ». Le chef des gardiens de la révolution, Hossein Salami, a été tué dans cette attaque menée dans la nuit de jeudi à vendredi.
Benyamin Nétanyahou affirme avoir frappé «le cœur du programme nucléaire militaire» de Téhéran. Le chef des Gardiens de la révolution et plusieurs figures militaires et scientifiques ont été tués, confirment les médias officiels iraniens.
Israël a déclaré avoir frappé vendredi des sites nucléaires, des usines de missiles balistiques et des commandants militaires iraniens, dans le cadre d'une opération visant à empêcher Téhéran de développer une arme atomique.
Israël a mené vendredi des frappes contre l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de l'arme atomique, qui ont visé un site d'enrichissement d'uranium et tué le chef des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique du régime.
Le Pakistan, unique pays musulman à posséder l'arme nucléaire, a "fermement condamné" vendredi les frappes israéliennes ayant tué commandants militaires et experts nucléaires en Iran, se disant "solidaire" de son voisin. Dénonçant des attaques "sans justification" et en "violation du droit international", le ministre des Affaires étrangères Ishaq Dar s'est dit sur X "solidaire du gouvernement et du peuple iranien".
Le communiqué publié par le secrétaire d’Etat, Marco Rubio, ne manifeste aucune forme de solidarité avec l’Etat hébreu. Cette réaction peut traduire une forme d’irritation à l’égard de Benyamin Nétanyahou, qui, en ordonnant les frappes, torpille les négociations avec Téhéran, relancées par Donald Trump en mars.


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juin 2025

Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
L'Iran a menacé de s'en prendre aux bases militaires des Etats-Unis au Moyen-Orient en représailles aux frappes américaines sans précédent contre les sites nucléaires iraniens, faisant craindre un embrasement hors de contrôle de la région. Un conseiller de l'ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême iranien, a affirmé que les Etats-Unis "n'avaient plus leur place" au Moyen-Orient et qu'ils devaient s'attendre à des "conséquences irréparables" après leur attaque dans la nuit de samedi à dimanche.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».
L'Ukraine entend frapper plus loin.
Les frappes américaines sans précédent menées dimanche en Iran ont "dévasté" le programme nucléaire iranien, a affirmé dimanche le Pentagone, précisant qu'elles ne visaient pas à un changement de régime à Téhéran, tandis que Téhéran accusait Washington d'avoir franchi une "ligne rouge" majeure. Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a condamné l'"agression" menée contre trois importants sites nucléaires iraniens et accusé les Etats-Unis d'être "derrière" l'opération militaire israélienne déclenchée le 13 juin contre l'Iran. L'agence de presse iranienne Irna a fait état après ces raids du tir de 40 missiles sur Israël, qui ont fait de nombreux dégâts et 23 blessés, selon les secours israéliens.
Des frappes russes ont fait au moins 14 morts dans la nuit de lundi à mardi à Kiev, a indiqué le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Timour Tkatchenko.
L’armée de l’Etat hébreu a touché samedi 14 juin deux sites pétroliers près de Téhéran ainsi qu’un complexe de production gazière au sud. Les cours de l’or noir avaient déjà bondi de plus de 10 % vendredi.
L’Iran a lancé une nouvelle salve de missiles en représailles contre l’attaque de l’Etat hébreu. De son côté, Israël a visé dans la nuit de samedi à dimanche le ministère de la défense iranien.
Au-delà de la seule opération militaire, l’attaque d’Israël sur l’Iran s’est appuyée, affirment des analystes, sur un méticuleux travail du Mossad, son service de renseignement extérieur, capable depuis des années d’infiltrer le pouvoir de la République islamique.
Les frappes israéliennes et iraniennes se poursuivent sans relâche ce dimanche, faisant au moins treize morts en Israël et près de 80 victimes en Iran, où le ministère de la Défense a été ciblé.
Le service de renseignement extérieur israélien a réussi à infiltrer le territoire et le pouvoir de la République islamique, pour détruire des défenses aériennes et réduire la capacité de riposte iranienne.
Après le lancement de l’opération «Rising Lion» par Israël, la veille, l’Iran a riposté et engagé un bras de fer à coups de bombardements inédits qui se sont poursuivis jusque tard dans la nuit, dans les deux pays.
Israël a mené vendredi des frappes d'une ampleur sans précédent contre des sites militaires et nucléaires en Iran, et tué de hauts responsables, Téhéran lançant en retour des vagues de missiles balistiques. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération, "une des plus grandes opérations militaires de l'histoire", durerait "de nombreux jours". Les frappes, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre). L'Iran a tiré en retour vendredi et samedi matin des dizaines de missiles balistiques contre Israël dont certains ont atteint le territoire israélien.
L’Iran a lancé dans la nuit de vendredi à samedi sa riposte contre Israël, après les bombardements sans précédent de l’État hébreu sur ses installations nucléaires. Malgré les appels de la communauté internationale à la retenue, Israël a promis de poursuivre ses frappes.