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Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Selon l’étude annuelle «World Wealth Report» de Capgemini, la fortune des plus aisés a dépassé les 90 000 milliards de dollars en 2024. Un record depuis 1997 et la première publication de ce rapport annuel.
Les 1% des Belges les plus fortunés possèdent autant que les 75% les moins fortunés, rapportent L'Echo et De Tijd mardi, citant une étude de l'économiste Arthur Apostel (UGent), publiée par le Banque nationale.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Paper in Nature Climate Change journal reveals major role wealthy emitters play in driving climate extremes. The world’s wealthiest 10% are responsible for two-thirds of global heating since 1990, driving droughts and heatwaves in the poorest parts of the world, according to a study.
La sociologue Monique Pinçon-Charlot s’attelle, dans son dernier ouvrage, en forme de miscellanées, aux liens entre la destruction de l’environnement et l’appétit pour le profit.
L’administration Trump souhaite un accord avec Kiev donnant un accès aux minerais ukrainiens pour les entreprises américaines. Washington espère ainsi compenser son important soutien militaire et financier à l’Ukraine depuis le début de la guerre avec la Russie. De quels minerais s'agit-il ? Le pays possède-t-il aussi des terres rares ? France 24 fait le point sur les ressources ukrainiennes.
La richesse des milliardaires a augmenté de 314 milliards de dollars en janvier dernier, alerte lundi Oxfam Belgique.
Méfiez-vous des chiffres. Pour impressionnants qu’ils soient, les données sur la fortune financière peuvent nous tromper. Aussi riches soient-ils, les milliardaires n’ont pas le poids qu’on imagine.
Les riches continuent de s’enrichir. Cela ne fait aucun doute. Mais ce que l’on oublie souvent de dire, c’est comment ils y parviennent, non seulement par l’exploitation habituelle, mais aussi en conduisant activement le monde vers la catastrophe tout en se protégeant des retombées.
“Si vous gagnez 10 000€ par mois, c’est un problème pour le climat”. En général, expliquer ce qu’est le changement climatique et ses impacts ne fait pas vraiment débat. Mis à part les climatosceptiques opportunistes, tout le monde s’accorde à dire que c’est un problème et qu’il faudrait le régler. En revanche, lorsque l’on discute des solutions, et surtout de justice sociale et climatique, c’est souvent là que ça commence à gronder.
Dans une lettre ouverte envoyée ce jeudi 11 juillet aux pays du G20, d’ex-chefs d’Etat et de gouvernement défendent l’idée d’un accord mondial visant à taxer les ultra-riches, afin de lutter contre l’évasion fiscale.
Le constat n’est pas nouveau, les pistes pour le dépasser le sont davantage. Les riches polluent. Que l’on se place à l’échelle d’un pays ou d’un individu, ceux qui brassent le plus d’argent contribuent largement au réchauffement de la planète, et par conséquent, au dérèglement de son climat. Et chaque année, des ONG comme Oxfam nous le rappellent.
Alors que se tient le Forum de Davos, notre rapport annuel sur les inégalités pointe une nouvelle fois la concentration extrême des richesses notamment entre les mains de certains actionnaires.
Les inégalités ne sont pas seulement financières. Alors que les cinq plus grosses fortunes au monde ont doublé depuis 20 ans, un nouveau rapport pointe l'impact climatique des placements des plus riches. Résultat : les 10% les plus riches ont une empreinte carbone bien supérieure à ce qui avait été calculé jusqu'ici.
- France24
Alors que le Forum économique mondial de Davos, en Suisse, s'ouvre lundi et se tiendra jusqu'au 19 janvier, l'ONG Oxfam publie un nouveau rapport dénonçant le doublement du patrimoine des cinq plus grandes fortunes du monde depuis 2020.
Pour Olivier De Schutter, rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, nos pays avancés produisent assez de richesses ; l’enjeu est de mieux les répartir.
Tirés par la hausse des prix du gaz et du pétrole, les bénéfices des cinq plus grandes majors pétrolières (BP, Chevron, ExxonMobil, Shell et TotalEnergies) ont dépassé les 150 milliards de dollars (142,8 milliards d’euros) en 2022 – un niveau inédit.
Mines, hydrocarbures, richesses locales... Les mercenaires russes de Wagner continuent de s’enrichir sur le dos de l’environnement et des peuples. En Ukraine comme en Afrique. Prédation, violence et business. Tel est le credo du groupe paramilitaire russe Wagner. Depuis le début du conflit en Ukraine, cette armée privée ne cesse de gagner en influence. Son essor rapide éclaire les nouvelles logiques de la guerre dans une époque marquée par la crise écologique et la compétition générale pour (...)
Sans gène. Le partage juste des bénéfices issus de l’utilisation des ressources génétiques est au cœur des négociations de la 15ème conférence des Nations unies (COP15) sur la biodiversité. Derrière l’aspect technique de ce dossier se cache d’intenses jeux de pouvoir entre les pays du Sud et du Nord.
Le sous-sol de ce pays d’Asie centrale suscite des intérêts de toutes parts. Particulièrement en cette période troublée, où chacun tente de s’affranchir des approvisionnements contrôlés par Moscou.
Alors que les rapports affirmant que les ménages les plus aisés polluent plus que les classes populaires, les écologistes les ciblent à travers l’interdiction des jets privés ou la mise en place d’un ISF climatique pour une transition plus juste.
Qui peut-on considérer comme riche ? Existe-t-il, en France, un « seuil de richesse » comme il en existe un pour la pauvreté ? Et comment le définir ? Dans son nouveau « Rapport sur les riches en France », publié le 1er juin, l’Observatoire des inégalités a répondu à ces questions. En voici la synthèse et les chiffres-clés.
Le "groupe des super-riches", tel que défini par le Boston Consulting Group, a augmenté d'environ 300 personnes en 2021. Il s'agit de la plus forte augmentation depuis plus de dix ans.
La Guinée, un des pays les plus pauvres du monde malgré ses richesses minières, relance le projet d’exploitation de Simandou, la « montagne de fer », un projet grevé par les litiges, la corruption et l’instabilité politique. Une malédiction commune pour les pays producteurs, mais aussi pour leurs clients, explique Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Les banques centrales sous-estiment la menace significative que représente la perte de la biodiversité et de ses richesses dont dépendent pourtant entreprises et institutions financières, s'inquiète jeudi un rapport auquel ont participé des banques centrales. Les effets du changement climatique sont de plus en plus intégrés dans l'évaluation des risques économiques, mais c'est beaucoup moins le cas pour des menaces similaires issues de la destruction de la nature, selon ce rapport élaboré par des chercheurs et le réseau de banques centrales NGFS (Network of Central Banks and Supervisors for Greening the Financial System).
Selon les calculs du World Inequality Lab, le patrimoine est très inégalement réparti sur la planète. Exemple le plus extrême : les 1% des personnes les plus riches possèdent près de deux fois plus que les 90% des plus pauvres.
Il est vrai que le pays a une longue tradition pacifiste et écoresponsable. Il a aboli l’armée dès 1948 et sa merveilleuse biodiversité y est protégée depuis longtemps dans des parcs nationaux qui recouvrent près d’un quart de son territoire. Conscient de ses richesses naturelles, le pays a investi dans le développement durable il y a plusieurs décennies. Conséquence : 99% de l’électricité y est aujourd’hui produite par des sources d’énergie renouvelable (hydraulique, éolien, solaire, biomasse, géothermie).
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Les gouvernements, qui ont besoin de ressources supplémentaires pour continuer à aider les plus vulnérables pour sortir de la crise, pourraient augmenter les impôts sur les plus riches ou les entreprises ayant fait plus de bénéfices pendant la pandémie, recommande le Fonds monétaire international mercredi.
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Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Selon l’étude annuelle «World Wealth Report» de Capgemini, la fortune des plus aisés a dépassé les 90 000 milliards de dollars en 2024. Un record depuis 1997 et la première publication de ce rapport annuel.
Les 1% des Belges les plus fortunés possèdent autant que les 75% les moins fortunés, rapportent L'Echo et De Tijd mardi, citant une étude de l'économiste Arthur Apostel (UGent), publiée par le Banque nationale.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Paper in Nature Climate Change journal reveals major role wealthy emitters play in driving climate extremes. The world’s wealthiest 10% are responsible for two-thirds of global heating since 1990, driving droughts and heatwaves in the poorest parts of the world, according to a study.
La sociologue Monique Pinçon-Charlot s’attelle, dans son dernier ouvrage, en forme de miscellanées, aux liens entre la destruction de l’environnement et l’appétit pour le profit.
L’administration Trump souhaite un accord avec Kiev donnant un accès aux minerais ukrainiens pour les entreprises américaines. Washington espère ainsi compenser son important soutien militaire et financier à l’Ukraine depuis le début de la guerre avec la Russie. De quels minerais s'agit-il ? Le pays possède-t-il aussi des terres rares ? France 24 fait le point sur les ressources ukrainiennes.
La richesse des milliardaires a augmenté de 314 milliards de dollars en janvier dernier, alerte lundi Oxfam Belgique.
Méfiez-vous des chiffres. Pour impressionnants qu’ils soient, les données sur la fortune financière peuvent nous tromper. Aussi riches soient-ils, les milliardaires n’ont pas le poids qu’on imagine.
Les riches continuent de s’enrichir. Cela ne fait aucun doute. Mais ce que l’on oublie souvent de dire, c’est comment ils y parviennent, non seulement par l’exploitation habituelle, mais aussi en conduisant activement le monde vers la catastrophe tout en se protégeant des retombées.
“Si vous gagnez 10 000€ par mois, c’est un problème pour le climat”. En général, expliquer ce qu’est le changement climatique et ses impacts ne fait pas vraiment débat. Mis à part les climatosceptiques opportunistes, tout le monde s’accorde à dire que c’est un problème et qu’il faudrait le régler. En revanche, lorsque l’on discute des solutions, et surtout de justice sociale et climatique, c’est souvent là que ça commence à gronder.
Dans une lettre ouverte envoyée ce jeudi 11 juillet aux pays du G20, d’ex-chefs d’Etat et de gouvernement défendent l’idée d’un accord mondial visant à taxer les ultra-riches, afin de lutter contre l’évasion fiscale.
Le constat n’est pas nouveau, les pistes pour le dépasser le sont davantage. Les riches polluent. Que l’on se place à l’échelle d’un pays ou d’un individu, ceux qui brassent le plus d’argent contribuent largement au réchauffement de la planète, et par conséquent, au dérèglement de son climat. Et chaque année, des ONG comme Oxfam nous le rappellent.
Alors que se tient le Forum de Davos, notre rapport annuel sur les inégalités pointe une nouvelle fois la concentration extrême des richesses notamment entre les mains de certains actionnaires.
Les inégalités ne sont pas seulement financières. Alors que les cinq plus grosses fortunes au monde ont doublé depuis 20 ans, un nouveau rapport pointe l'impact climatique des placements des plus riches. Résultat : les 10% les plus riches ont une empreinte carbone bien supérieure à ce qui avait été calculé jusqu'ici.