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Depuis le début de la guerre en 2022, pas un jour sans qu’un drone ou un missile ne s’abatte sur l’Ukraine. Face à un danger devenu omniprésent, militaires, humanitaires et civils s’équipent en masse de détecteurs de drones.
L’innovation technologique séduit autant qu’elle interroge. Porteuse de promesses de progrès et de confort, elle doit aujourd’hui composer avec un impératif incontournable : la durabilité. À mesure que l’intelligence artificielle, la blockchain ou les objets connectés s’imposent dans notre quotidien, la question se pose avec de plus en plus d’insistance : jusqu’où peut-on innover sans mettre à mal notre environnement ? Plus que jamais, les enjeux écologiques s’invitent au cœur de ce que nous appelons l’innovation, au point d’en redessiner les contours.
This article examines the technocentric bias that characterizes climate mitigation literature, focusing on the reports of the IPCC's Working Group III. This bias stems from structural features of the scientific field that prioritizes innovation, leading to the overrepresentation of technological solutions in climate research. Funding mechanisms further reinforce this tendency by incentivizing collaboration with industrial R&D, creating a self-reinforcing loop in which scientific authority and industrial interests converge. The IPCC's institutional positioning—as a policy-relevant yet politically cautious body—amplifies this dynamic by favoring allegedly “cost-effective” technological pathways that lack practical feasibility.
Le combat contre le changement climatique nécessite des innovations audacieuses. Parmi elles, des chercheurs suisses viennent de franchir un pas spectaculaire avec la création d’un matériau « vivant » capable de capturer le dioxyde de carbone directement dans l’atmosphère, grâce à un ingrédient naturel surprenant : les cyanobactéries, ou algues bleu-vert. Ce matériau, fruit d’une collaboration à l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETH), ouvre la voie à des bâtiments capables non seulement de se renforcer, mais aussi de contribuer activement à la lutte contre le réchauffement planétaire.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Lors de la présentation avant l’Expo Osaka-Kansai 2025, l’entreprise a révélé son dernier concept de robot : Corleo, un cheval robotique propulsé par une pile à hydrogène, conçu pour être monté par des humains.
Le Groupe Banque européenne d’investissement (Groupe BEI), composé de la Banque européenne d’investissement (BEI) et du Fonds européen d’investissement (FEI), a signé un volume total de 12,3 milliards d’euros de nouveaux financements en Espagne en 2024, représentant près de 14 % du total des financements du Groupe.
La Chine redéfinit l'industrie mondiale de l'acier avec le « flash ironmaking », une technologie innovante qui transforme le minerai de fer en métal liquide prêt à l'emploi en une seule étape (et en quelques secondes seulement), tout en réduisant l'empreinte carbone.
Et si, au lieu de détruire les cellules cancéreuses, nous pouvions simplement les transformer en cellules normales ?
En Finlande, Fortum Recycle & Waste a annoncé mi-octobre avoir réussi à produire du plastique biodégradable « à partir d'émissions de CO2 issues de l'incinération de déchets ». Cette « rupture » - une première mondiale - ouvre des perspectives importantes pour une matière si courante dans notre quotidien.
Des modèles d'innovation plus sobres, plus résilients, plus justes sont nécessaires pour l'économie de demain, selon Franck Aggeri.
Produire de l'énergie tout en supprimant les émissions de CO2 qui réchauffent la planète va nécessiter plus d'innovations: une trentaine de ministres de l'Énergie ou du Climat planchent jusqu'à mercredi à Paris sur les moyens de financer les gigantesques investissements nécessaires à la transition énergétique et climatique.
Supprimer les émissions de CO2 qui réchauffent la planète va nécessiter plus d'innovations, technologiques mais aussi financières: une trentaine de ministres de l'Energie ou du Climat planchent jusqu'à mercredi à Paris sur les moyens de financer les gigantesques investissements nécessaires à la transition énergétique et climatique.
Une tribune réunissant 37 scientifiques appelle le gouvernement à financer la recherche de solutions technologiques à la crise climatique. Le mathématicien Yves Laszlo nous en expose les enjeux.
Convaincus de la possibilité d'une croissance infinie dans un monde fini les cornucopiens considèrent que l'intelligence humaine et les innovations technologiques pourront palier la rareté des ressources et le dérèglement climatique.
G1000 est la plateforme belge pour l’innovation démocratique. Nous développons et soutenons les nouvelles formes de participation citoyenne. Nous sommes actifs dans les communes, les villes, les régions et au niveau national et nous faisons partie de différents réseaux internationaux.
Mégabassines, raffineries, chaîne logistique d’Amazon, autoroutes... Dans son nouvel ouvrage, le philosophe Alexandre Monnin rappelle comment le capitalisme nous lègue des héritages empoisonnés. Il appelle à la « désinnovation » et à une écologie de la fermeture pour ces infrastructures qui compromettent notre survie future.
Dans L’Innovation, mais pour quoi faire ? Essai sur un mythe économique, social et managérial (Seuil, 2023), Franck Aggeri, professeur de management à l’école Mines ParisTech, propose une généalogie érudite de la culture de l’innovation, tout en invitant à renoncer à notre biais technosolutionniste pour être à la hauteur de l’urgence écologique.
Comment réussir la transition agricole du champs à l'assiette avec les agriculteurs, fabricants et consommateurs réunis dans une coalition pour le vivant ? La régénération des écosystèmes agricoles est le bon niveau d'intervention pour cheminer vers une agriculture responsable, viable, désirable. Le paradigme repose sur les services rendus aussi bien au niveau environnemental que social. L'agriculture régénérative rend des services écosystémiques qui visent à restaurer les ressources vitales au vivant dans son habitat pour des aliments plus nutritifs, sans pesticides. Elle est porteuse de nombreuses promesses, non seulement des promesses environnementales, mais aussi des promesses sociales et des résultats économiques pour les agriculteurs. Cf label ROC Regenerative Organic Alliance.
Nous sommes vivants : le collectif des professionnels de l' innovation et de la transformation collective #noussommesvivants
La technologie a trop d’impact sur la planète pour être la solution à la crise du climat »
Dans le cadre de son programme OBLIC dédié à la transition écologique, le DAMIER, cluster des industries culturelles et créatives, organisait une ultime rencontre. Il conviait cette fois une partie de l’équipe d’Origens Média Lab, le labo de recherche à l’origine de l’initiative Clothing worlds, qui a défrayé la chronique avec l’article Renoncer aux futurs déjà obsolètes. Leur mission : éclairer la redirection écologique des industries culturelles et créatives.
Dans les sphères écologistes, le concept de "désinnovation" fait son bonhomme de chemin. Face aux basculements qui s'annoncent, certains proposent de tirer un trait sur la course à l'innovation technologique, qui épuise davantage les ressources planétaires. Une utopie ?
Plaidant pour une écologie du démantèlement, les chercheurs Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin préviennent, dans une tribune au « Monde », que l’humanité doit se préparer à « fermer » ce qui la détruit.
Previous studies show that city metrics having to do with growth, productivity and overall energy consumption scale superlinearly, attributing this to the social nature of cities. Superlinear scaling results in crises called ‘singularities’, where population and energy demand tend to infinity in a finite amount of time, which must be avoided by ever more frequent ‘resets’ or innovations that postpone the system's collapse. Here, we place the emergence of cities and planetary civilizations in the context of major evolutionary transitions. With this perspective, we hypothesize that once a planetary civilization transitions into a state that can be described as one virtually connected global city, it will face an ‘asymptotic burnout’, an ultimate crisis where the singularity-interval time scale becomes smaller than the time scale of innovation. If a civilization develops the capability to understand its own trajectory, it will have a window of time to affect a fundamental change to prioritize long-term homeosta
Le récent documentaire de la réalisatrice canadienne Jennifer Abbott, L’ampleur de toutes choses, aborde les changements climatiques sous l’angle de la perte et du deuil – celle de sa sœur, décédée d’un cancer, mais aussi d’une sortie de crise que les innovations technologiques ne peuvent nous offrir.
Dans cet épisode, Laura interroge le bien-fondé de l’expression “on n’arrête pas le progrès”. Est-ce si évident ? Pourquoi les nouvelles techniques, à l’instar de la 5G, sont-elles souvent contestées ? Le progrès est-il toujours désirable, quelles que soient ses implications sociales, ou environnementales ? François Jarrige, historien des sciences à l’Université de Bourgogne, explique que les innovations techniques ont souvent rencontré des oppositions et qu’aucune n’est inéluctable. Il critique notamment l’idéologie “technosolutionniste”, selon laquelle l’innovation technologique pourrait résoudre tous les problèmes écologiques, sociaux, culturels et politiques. “L’idée ce n’est pas d’être pour ou contre la technique, c’est d’inventer d’autres systèmes techniques dans d’autres contextes sociaux et démocratiques,” résume-t-il.
Les fabricants de plastique vont devoir se désintoxiquer du pétrole fossile, les mesures déjà décidées pour freiner la consommation étant loin de suffire pour tenir les objectifs climatiques de Paris et Glasgow, admet pour la première fois lundi l'industrie européenne dans une étude qu'elle a commanditée. Selon l'étude "Reshaping plastics", l'industrie européenne du plastique doit se réorganiser et investir massivement dans les cinq ans à venir dans différentes "innovations radicales", de manière à rendre la production de plus en plus "circulaire", tout en réduisant drastiquement sa consommation de pétrole brut, ses émissions de CO2, et en traitant la question des déchets.
A l’initiative de l’Institut Rousseau, 167 chercheurs et experts en économie, informatique, droit et sciences sociales, parmi lesquels Michel Aglietta, Alain Caillé Jean-Gabriel Ganascia ou Alain Supiot, appellent dans une tribune au « Monde » les autorités financières à séparer le bon grain de l’ivraie, face au développement anarchique du marché des cryptoactifs.
Nourrir les humains et les animaux, remplacer le plastique, servir de médicament tout en limitant le réchauffement climatique… Les algues marines offriraient un champ d'innovation immense pour aider la planète. Décryptage.