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communs

mars 2024

Dans les pays nucléarisés, l'organisation de la sûreté peut être construite sur des modèles différents. Des principes communs se retrouvent cependant, notamment la distinction entre ceux qui décident du sort des centrales et ceux qui réalisent les expertises.Cette distinction est au coeur de la réforme controversée lancée en France, qui vise à fusionner l'expert (l'IRSN) et le décideur (l'ASN).

janvier 2024

Mis en lumière par la chercheuse Elinor Ostrom à la fin du XXe siècle, les communs sont un modèle de gouvernance à part, évitant les écueils de la propriété privée ou de la gestion publique. Une ressource naturelle, un espace public, une forêt, un service, des œuvres créatives, ou l’information peuvent être gérés de façon originale par et pour des citoyen·ne·s d’horizons divers.

septembre 2023

L’été 2023 aura étécelui des incendies incontrôlables, exacerbés parle réchauffement climatique.Comment, à l’avenir, pourrons-nous lutteret nous adapterà ce nouveau défi?

août 2023

Dans certaines oasis ou localités arides du pays, la gestion de l’eau est depuis longtemps collective et équitable. “Inkyfada” y voit une solution à la raréfaction des ressources premières.

mai 2023

Dès que l’État recule, ce que Kristin Ross nomme « forme-commune » s’épanouit : « des gens qui vivent différemment et qui changent leur propre situation en oeuvrant dans les conditions du présent », comme ils l’ont fait à Paris en 1789 avec la soixantaine de districts issus des mouvements populaires, puis en 1871, à Nantes en 1968 pendant quelques jours, sur la ZAD de Notre-Dame des Landes et avec les occupations de pipelines en Amérique du Nord.
Mégabassines, raffineries, chaîne logistique d’Amazon, autoroutes... Dans son nouvel ouvrage, le philosophe Alexandre Monnin rappelle comment le capitalisme nous lègue des héritages empoisonnés. Il appelle à la « désinnovation » et à une écologie de la fermeture pour ces infrastructures qui compromettent notre survie future.

avril 2023

La notion de « pouvoir d’agir » relève fondamentalement du politique, de l’agir en commun et du partage du commun. Elle indique l’aspiration d’un devenir autonome et libre de l’individu et du collectif, ainsi que les processus pour y parvenir.
Il est désormais possible de mettre en place à Bruxelles des partages d’énergie renouvelable. Explorons ces possibilités offertes à toutes et tous pour combiner écologie et cohésion sociale.
Moins de 50 euros par mois. Voilà le prix du D-Ticket qui permettra dès le 1er mai aux Allemands de voyager en illimité sur le réseau de transport local et régional du pays. Un dispositif bon pour la planète et le porte-monnaie des usagers, qui s’étaient déjà précipités sur le forfait à 9 euros proposé durant l’été 2022.
Le mouvement est fort de ses « différences » qui permettent « d’additionner nos savoirs faire pour renforcer nos actions et notre visibilité nous pouvons enfin croire en la victoire »
La mobilisation des habitants au-delà d’un cercle déjà actif prend énormément de temps mais est indispensable pour développer les communautés. Une chronique de Gauthier de Locht, Marie-Charlotte Noel et Grégoire Wallenborn de l'IGEAT-ULB.
L’humanité dépend pour sa survie d’une organisation sociale et d’infrastructures qui ne pourront être indéfiniment maintenues. Pour que la Terre reste habitable, il faut organiser le renoncement, pas seulement à l’échelle individuelle, mais aussi à l’échelle de ces « communs négatifs » qui composent notre cadre de vie. Le problème est qu’on ne redevient pas facilement « terrestres » à huit milliards. Ce livre propose une politique des communs négatifs qui nous permette de penser les moyens d’un détachement anticipé et non brutal pour les populations les plus fragiles.

mars 2023

Pour Alexandre Monnin, nous construisons, les biens communs «négatifs» de demain, et ce, sans grande concertation.
L’objectif du livre est double : d’une part tenter de s’opposer aux idéologies, aux mythes, aux éléments religieux qui polluent les courants de l’écologie politique et empêchent toute réflexion. Il s’agit donc d’une auto-critique car derrière les dérives actuelles les plus visibles et risibles aujourd’hui de « notre camp », doivent aussi être remis en cause certains fondements intellectuels et politiques peu discutés, et notamment un indécrottable ancrage « à gauche » sinon l’extrême-gauche. Second objectif : avancer des notions connues mais délaissées, esquisser quelques pistes là encore déjà entrevues mais trop peu considérées et bien sûr ouvrir des questions, pas forcément nouvelles, mais primordiales. Enfin, on peut aussi voir cet ensemble de textes comme une tentative d’aborder la question de l’écologie politique à partir de l’œuvre de C. Castoriadis, et qui pourrait la renouveler. L’abord de l’ensemble peut être déroutant parce que le ton n’est pas du tout polémique : il n’y a pas de réfutation à propre

février 2023

L’attention au « vivant » a récemment été la cible d’un procès en dépolitisation intenté par une partie du mouvement anticapitaliste. En partant de l'histoire du Marais Wiels, un plan d'eau accidentel ayant émergé dans un quartier populaire de Bruxelles, cette enquête écologique montre qu’il est possible de mettre au jour des stratégies anticapitalistes multi-espèces, nécessaires à la bifurcation écologique des luttes sociales.