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Il faut désormais 114 roubles pour un dollar, contre 85 en juin dernier. Une dégringolade qui s’explique par le dernier train de sanctions américaines, qui touchent notamment Gazprombank, l’un des principaux fournisseurs de devises du pays.
L'experte en énergie Tatiana Mitrova décode, pour La Libre, l'absence d'avancées du projet Power of Siberia 2, un gazoduc géant qui doit relier la Russie à la Chine.
Le géant russe Gazprom a annoncé vendredi avoir livré à la Chine pour la première fois du gaz naturel liquéfié (GNL) via la route maritime du Nord, dans l'Arctique, désormais plus facilement navigable du fait de la fonte des glaces entraînée par le réchauffement climatique.
Le géant étatique russe Gazprom a annoncé mardi une lourde chute de son bénéfice net semestriel à 2,84 milliards d'euros, toujours plombé par la baisse de ses exportations de gaz vers l'Europe dans le sillage du conflit en Ukraine.Sur les six premier mois de l'année, le bénéfice net a été divisé par plus de 8, tombant à 296 milliards de roubles (2,84 milliards d'euros), contre 2.500 milliards de roubles (24,04 milliards d'euros) à la même période de 2022.
Le géant étatique russe Gazprom a annoncé mardi un bénéfice net en chute de 41,4% en 2022, à 14,2 milliards d'euros, amputé par la forte baisse de ses exportations de gaz vers l'Europe dans le sillage du conflit en Ukraine.Le géant gazier russe, pilier de l'économie russe dirigé par plusieurs proches du président Vladimir Poutine, a en effet été lourdement visé par les sanctions occidentales.
Le président russe Vladimir Poutine a fustigé vendredi les "tentatives directes" de l'Occident qui visent selon lui à "entraver le développement" de son fleuron énergétique national, Gazprom, visé par les sanctions internationales depuis un an."Malgré une concurrence déloyale - pour le dire franchement - et des tentatives directes de l'extérieur pour entraver et freiner son développement, Gazprom avance et lance de nouveaux projets", a déclaré M. Poutine lors d'un discours en visioconférence à l'occasion des 30 ans du géant gazier.
Selon un document partagé par le ministère ukrainien de la Défense, le géant de l’industrie gazière russe aurait obtenu l’accord de Moscou pour fonder sa propre compagnie militaire. Kyiv dénonce la création d’une armée privée à la Wagner
Le patron du géant gazier russe Gazprom, Alexeï Miller, a reconnu mercredi une année 2022 "très difficile" pour son groupe, marquée par un changement de stratégie important, les exportations se tournant vers l'Asie en pleine crise entre Moscou et les Occidentaux.
Varsovie a placé sous tutelle la participation du groupe russe Gazprom dans la société EuRoPol Gaz qui gère le tronçon polonais du gazoduc Yamal, afin "d'assurer la sécurité des infrastructures critiques" du pays, a annoncé lundi le ministère polonais du Développement dans un communiqué. Gazprom contrôlait 48% de cette société, contre 52% pour l'Etat polonais.
L’État allemand a annoncé lundi la nationalisation de la filiale allemande du géant russe Gazprom afin de sauver de la faillite ce fournisseur de gaz qu'il administre déjà depuis avril et qui est surendetté. Il s'agit de garantir la "sécurité d'approvisionnement en gaz" de Allemagne, indique le ministère allemand de l’Économie dans un communiqué.
Le géant russe Gazprom a annoncé mardi avoir entamé le démarrage des tests sur le site du champ gazier de Kovykta en Sibérie, censé augmenter dans les prochains mois les capacités d'exportation de gaz russe vers la Chine, en pleine intervention militaire en Ukraine. "(C'est) une étape importante dans la mise en oeuvre du projet +Force de Sibérie+ et la création de nouveaux centres de production de gaz dans l'est du pays", s'est félicité dans un communiqué le patron de Gazprom, Alexeï Miller. M. Miller a qualifié le champ gazier de Kovykta de "base de ressources cruciales" pour "le développement de l'approvisionnement en gaz des régions orientales de la Russie" ainsi que pour "l'exportation" en particulier vers la Chine, voisin énergivore, et la Corée du Sud.
La fermeture prolongée annoncée par Gazprom a relancé la folle chevauchée des prix du gaz européen vers ses sommets historiques.
Le géant russe Gazprom a annoncé mardi qu'il allait suspendre entièrement ses livraisons de gaz au groupe français Engie à partir de jeudi, du fait du non-paiement par ce dernier de l'intégralité des livraisons effectuées en juillet. "Gazprom Export a notifié Engie d'une suspension complète des livraisons de gaz à partir du 1er septembre 2022 jusqu'à la réception en intégralité des sommes financières dues pour les livraisons", a indiqué le groupe russe dans un communiqué publié mardi soir sur son compte Telegram.
À partir du jeudi 1er septembre, Gazprom cessera ses livraisons de gaz au fournisseur français Engie, a annoncé le géant russe mardi 30 août. Pour la presse étrangère, ce n’est qu’un aperçu de ce qui attend les pays européens cet hiver.
L'énergéticien français Engie a annoncé mardi que le géant russe Gazprom l'avait informé de réductions supplémentaires et immédiates de ses livraisons de gaz auprès de lui "en raison d'un désaccord entre les parties sur l'application de contrats".
Le géant gazier russe Gazprom a annoncé samedi avoir suspendu ses livraisons de gaz à la Lettonie, sur fond de tensions russo-occidentales en raison du conflit en Ukraine et des sanctions européennes sans précédent contre la Russie.
Le géant gazier russe Gazprom a annoncé lundi qu'il réduirait dès mercredi drastiquement, à 33 millions de mètres cubes quotidiens, les livraisons de gaz russe à l'Europe via le gazoduc Nord Stream, arguant de la nécessité de maintenance d'une turbine.
Le géant gazier russe a annoncé lundi qu'il réduirait dès mercredi drastiquement, à 33 millions de m³ quotidiens, les livraisons de gaz russe à l'Europe via le gazoduc Nord Stream, arguant de la nécessité de maintenance d'une turbine.
Le géant gazier russe Gazprom a affirmé mercredi ne pas pouvoir garantir le bon fonctionnement du gazoduc Nord Stream, qui alimente l'Europe, se disant dans l'impossibilité de confirmer qu'il récupérera une turbine allemande réparée au Canada. Ces déclarations interviennent alors que ce gazoduc est actuellement à l'arrêt pour dix jours pour des raisons de maintenance, les pays européens craignant que Moscou prétexte un motif technique pour stopper durablement ses livraisons et ainsi faire pression sur eux dans le contexte du conflit en Ukraine.
Une idée absolument géniale a refait surface ces dernières semaines. D’abord évoquée par Christophe Cassou en 2019, plusieurs scientifiques françaises et français ont suggéré lors de la canicule de juin 2022 de nommer les aléas climatiques par les noms des sources de pollutions :
Le gestionnaire du réseau français de transport de gaz GRTgaz a annoncé vendredi ne plus recevoir de gaz russe par gazoduc depuis le 15 juin, avec "l'interruption du flux physique entre la France et l'Allemagne".
Robinet coupé en Pologne, Bulgarie et Finlande, débit fortement réduit vers l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie, et plus aucun mètre cube vers la France : les Européens dénoncent le chantage au gaz de Vladimir Poutine, alors que le continent veut profiter de l'été pour remplir ses stocks.
Si l'Union européenne cherche à se défaire de sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie, Gazprom a pris les devants en interrompant ses livraisons de gaz à plusieurs clients européens ayant refusé de payer en roubles, comme le demande désormais le Kremlin.
Le géant russe Gazprom, qui avait réduit mercredi de 15% ses livraisons de gaz au groupe italien ENI, ne livrera jeudi que 65% des quantités réclamées, évoquant des problèmes techniques, a annoncé la société italienne. "Face à une demande journalière de gaz de la part d'Eni supérieure d'environ 44% à celle d'hier, une hausse due à la récupération des quantités non reçues et aux dynamiques commerciales normales, Gazprom a annoncé que seulement 65% des volumes demandés seront livrés", a précisé ENI dans un communiqué. Les quantités de gaz livrées seront donc "légèrement supérieures" à celles de mercredi et atteindront un niveau d'environ 32 millions de m3 par jour, a ajouté ENI. Le groupe italien précise que, selon Gazprom, l'impossibilité de livrer les quantités de gaz réclamées est due "à des problèmes" à la station de compression de Portovaïa, où se fait le remplissage du gazoduc Nord Stream à travers lequel le géant russe "transporte une partie des volumes (de gaz, ndlr) destinés à ENI".
La livraison de gaz naturel russe sera suspendue à compter de samedi matin, a annoncé le groupe énergétique public finlandais Gasum, une conséquence du refus de la Finlande de payer le géant russe Gazprom en roubles. "Il est très regrettable que la livraison contractuelle en gaz naturel soit suspendue. Nous avons cependant veillé soigneusement à nous préparer à cette situation", a indiqué le directeur général de Gasum, Mika Wiljanen, dans un communiqué. "Il n'y aura pas de coupures dans le réseau de distribution de gaz", a-t-il assuré.
Le géant gazier russe Gazprom a annoncé jeudi cesser d'utiliser un gazoduc clé pour le transit de gaz vers l'Europe via la Pologne, en réplique aux sanctions occidentales imposées à la Russie à cause de son offensive en Ukraine. L'adoption des contre-sanctions russes "signifie une interdiction d'utiliser un gazoduc appartenant à EuRoPol GAZ (qui exploite la partie polonaise du gazoduc Yamal-Europe, ndlr) pour transporter du gaz russe à travers la Pologne", a indiqué Gazprom dans un communiqué sur Telegram. Mercredi, la Russie a annoncé des sanctions contre plus de 30 sociétés de l'Union européenne, des États-Unis et de Singapour, en représailles contre les sanctions dont elle est frappée pour son offensive militaire contre l'Ukraine.
Dans cet essai, Mickaël Correia, journaliste à Médiapart, révèle les limites de l’action individuelle face à Energy China, Saudi Aramco ou encore Gazprom. A lire de toute urgence… climatique.
Dans l'entrelacs de canalisations jaune vif qui sortent de terre, du gaz russe est acheminé en abondance mais la Bulgarie, sanctionnée par Moscou pour avoir refusé de payer en roubles, a désormais interdiction d'y toucher. En apparence, l'arrêt des livraisons par le géant Gazprom, le 27 avril, n'a pas changé grand-chose pour la station de compression d'Ihtiman, située à 60 km de la capitale Sofia. Le précieux produit continue à affluer. Seule différence, et de taille pour ce pays des Balkans dépendant à 90% du gaz russe, il se dirige désormais exclusivement vers la Grèce ou la Macédoine du Nord voisines.
Le groupe russe Gazprom a annoncé mercredi avoir suspendu toutes ses livraisons de gaz vers la Bulgarie et la Pologne, assurant que ces deux pays membres de l'Union européenne n'avaient pas effectué de paiement en roubles. Dans un communiqué, Gazprom a indiqué avoir notifié la société bulgare Bulgargaz et la société polonaise PGNiG de la "suspension des livraisons de gaz à partir du 27 avril et jusqu'à ce que le paiement soit effectué" en roubles.


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gazprom

novembre 2024

Il faut désormais 114 roubles pour un dollar, contre 85 en juin dernier. Une dégringolade qui s’explique par le dernier train de sanctions américaines, qui touchent notamment Gazprombank, l’un des principaux fournisseurs de devises du pays.

juin 2024

L'experte en énergie Tatiana Mitrova décode, pour La Libre, l'absence d'avancées du projet Power of Siberia 2, un gazoduc géant qui doit relier la Russie à la Chine.

septembre 2023

Le géant russe Gazprom a annoncé vendredi avoir livré à la Chine pour la première fois du gaz naturel liquéfié (GNL) via la route maritime du Nord, dans l'Arctique, désormais plus facilement navigable du fait de la fonte des glaces entraînée par le réchauffement climatique.

août 2023

Le géant étatique russe Gazprom a annoncé mardi une lourde chute de son bénéfice net semestriel à 2,84 milliards d'euros, toujours plombé par la baisse de ses exportations de gaz vers l'Europe dans le sillage du conflit en Ukraine.Sur les six premier mois de l'année, le bénéfice net a été divisé par plus de 8, tombant à 296 milliards de roubles (2,84 milliards d'euros), contre 2.500 milliards de roubles (24,04 milliards d'euros) à la même période de 2022.

mai 2023

Le géant étatique russe Gazprom a annoncé mardi un bénéfice net en chute de 41,4% en 2022, à 14,2 milliards d'euros, amputé par la forte baisse de ses exportations de gaz vers l'Europe dans le sillage du conflit en Ukraine.Le géant gazier russe, pilier de l'économie russe dirigé par plusieurs proches du président Vladimir Poutine, a en effet été lourdement visé par les sanctions occidentales.

février 2023

Le président russe Vladimir Poutine a fustigé vendredi les "tentatives directes" de l'Occident qui visent selon lui à "entraver le développement" de son fleuron énergétique national, Gazprom, visé par les sanctions internationales depuis un an."Malgré une concurrence déloyale - pour le dire franchement - et des tentatives directes de l'extérieur pour entraver et freiner son développement, Gazprom avance et lance de nouveaux projets", a déclaré M. Poutine lors d'un discours en visioconférence à l'occasion des 30 ans du géant gazier.
Selon un document partagé par le ministère ukrainien de la Défense, le géant de l’industrie gazière russe aurait obtenu l’accord de Moscou pour fonder sa propre compagnie militaire. Kyiv dénonce la création d’une armée privée à la Wagner

décembre 2022

Le patron du géant gazier russe Gazprom, Alexeï Miller, a reconnu mercredi une année 2022 "très difficile" pour son groupe, marquée par un changement de stratégie important, les exportations se tournant vers l'Asie en pleine crise entre Moscou et les Occidentaux.

novembre 2022

Varsovie a placé sous tutelle la participation du groupe russe Gazprom dans la société EuRoPol Gaz qui gère le tronçon polonais du gazoduc Yamal, afin "d'assurer la sécurité des infrastructures critiques" du pays, a annoncé lundi le ministère polonais du Développement dans un communiqué. Gazprom contrôlait 48% de cette société, contre 52% pour l'Etat polonais.
L’État allemand a annoncé lundi la nationalisation de la filiale allemande du géant russe Gazprom afin de sauver de la faillite ce fournisseur de gaz qu'il administre déjà depuis avril et qui est surendetté. Il s'agit de garantir la "sécurité d'approvisionnement en gaz" de Allemagne, indique le ministère allemand de l’Économie dans un communiqué.

octobre 2022

Le géant russe Gazprom a annoncé mardi avoir entamé le démarrage des tests sur le site du champ gazier de Kovykta en Sibérie, censé augmenter dans les prochains mois les capacités d'exportation de gaz russe vers la Chine, en pleine intervention militaire en Ukraine. "(C'est) une étape importante dans la mise en oeuvre du projet +Force de Sibérie+ et la création de nouveaux centres de production de gaz dans l'est du pays", s'est félicité dans un communiqué le patron de Gazprom, Alexeï Miller. M. Miller a qualifié le champ gazier de Kovykta de "base de ressources cruciales" pour "le développement de l'approvisionnement en gaz des régions orientales de la Russie" ainsi que pour "l'exportation" en particulier vers la Chine, voisin énergivore, et la Corée du Sud.

septembre 2022

La fermeture prolongée annoncée par Gazprom a relancé la folle chevauchée des prix du gaz européen vers ses sommets historiques.

août 2022

Le géant russe Gazprom a annoncé mardi qu'il allait suspendre entièrement ses livraisons de gaz au groupe français Engie à partir de jeudi, du fait du non-paiement par ce dernier de l'intégralité des livraisons effectuées en juillet. "Gazprom Export a notifié Engie d'une suspension complète des livraisons de gaz à partir du 1er septembre 2022 jusqu'à la réception en intégralité des sommes financières dues pour les livraisons", a indiqué le groupe russe dans un communiqué publié mardi soir sur son compte Telegram.
À partir du jeudi 1er septembre, Gazprom cessera ses livraisons de gaz au fournisseur français Engie, a annoncé le géant russe mardi 30 août. Pour la presse étrangère, ce n’est qu’un aperçu de ce qui attend les pays européens cet hiver.
L'énergéticien français Engie a annoncé mardi que le géant russe Gazprom l'avait informé de réductions supplémentaires et immédiates de ses livraisons de gaz auprès de lui "en raison d'un désaccord entre les parties sur l'application de contrats".