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Une équipe de scientifiques a cartographié pendant un mois 3.350 fûts de déchets radioactifs, immergés au fond de l'Atlantique Nord-Est, sans constater pour le moment de radioactivité anormale, ont-ils indiqué vendredi à leur retour à Brest. Menée à bord du navire L'Atalante, de la flotte océanographique française, cette expédition baptisée NODSSUM visait à cartographier la zone d'immersion principale de milliers de fûts de déchets radioactifs, immergés par des pays européens entre 1946 et 1993. Ces immersions étaient à l'époque considérées comme une solution normale de gestion des déchets issus de l'industrie nucléaire.
Lancé en 1991, le projet Cigéo, contesté par des écologistes et des associations locales, doit accueillir dans des tunnels des déchets des centrales nucléaires devant rester hautement radioactifs pendant plusieurs centaines de milliers d'années. L'Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) a présenté son 3e rapport d'expertise au groupe permanent d'experts pour les déchets (groupe d'experts externes pluraliste et indépendant), qui a émis les 25 et 26 juin ses recommandations sur la sûreté à long terme de Cigéo après la fermeture, et a formulé son avis général sur le dossier, selon une note d'information.
Plus d’un millier de barils de déchets radioactifs ont été retrouvés lors d’une mission en cours dans le nord-est de l’océan Atlantique, selon le CNRS, organisme français de recherche scientifique.
Portée par le CNRS, la première mission de ce type depuis 1988 vise notamment à repérer et photographier les fûts immergés, ainsi qu’à analyser les conséquences sur leur environnement proche.
Que faire des 280.000 m3 de déchets faiblement radioactifs accumulés au cours des décennies? La Cour des comptes appelle les autorités à identifier rapidement des sites adaptés pour stocker ces déchets pouvant émettre des rayonnements pendant 100.000 ans. Dans son rapport de 107 pages consacré à l'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs), les magistrats financiers alertent sur le sort incertain de ces déchets dits de "faible activité à vie longue (FA-VL)", qui représentent en volume plus d'une centaine de piscines olympiques.
La Cour des comptes estime que la situation financière de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs est « saine et robuste », mais alerte sur l’urgence de gérer certaines catégories de déchets.
Sur une période de plusieurs décennies, plus de 200 000 fûts de déchets radioactifs ont été immergés pour rejoindre les abysses de l'Atlantique nord-est. Aujourd'hui, personne ne sait où ces barils se trouvent précisément, ni leur état. Une équipe de scientifiques va tenter de les cartographier et d'évaluer les conséquences d'éventuels rejets sur les écosystèmes marins.
Le Sénat américain a lancé une enquête sur les conditions d’organisation d’un gala privé, prévu le 22 mai autour du président américain. Les participants y ont gagné leur place lors d’une compétition d’achat de cryptoactifs, qui a profité à la famille Trump.
Le projet Cigéo d'enfouissement des déchets nucléaires les plus radioactifs à Bure (Meuse) pourrait coûter au total entre 26,1 et 37,5 milliards d'euros, au lieu des 25 milliards jusqu'ici envisagés, selon le nouveau chiffrage de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) publié lundi et qui doit encore être arbitré par le gouvernement.
Aux États-Unis, des scientifiques ont mis au point une batterie électrique capable de générer de l’énergie en captant les ondes électromagnétiques des déchets nucléaires. Ce concept est potentiellement révolutionnaire puisqu’il permettrait ainsi de donner une seconde vie à ces déchets dangereux. ... Selon les résultats, les scientifiques ont mesuré une puissance de 288 nanowatts avec une alimentation au césium 137 et 1,5 microwatt en ce qui concerne le cobalt 60. Évidemment, ces quantités d’énergie semblent très faibles, mais pour les auteurs de l’étude, elles sont néanmoins suffisantes pour alimenter de petits capteurs.
Située dans le sud de la Finlande, l'île d'Olkiluoto va bientôt inaugurer un nouveau site d'enfouissement de déchets radioactifs.
Près de 10 millions de Français sont exposés, avec plus de 660 communes affectées par la présence d'atomes radioactifs dans l'eau potable.
La mise en œuvre de politiques publiques encourageant le recours aux modes de transport actifs (marche, vélo) plutôt qu’à la voiture améliore la santé de la population non seulement directement, mais aussi indirectement, en réduisant l’utilisation de combustibles fossiles, la pollution sonore et la pollution de l’air. De nouveaux travaux chiffrent ces bénéfices, en s’appuyant sur les quatre scénarios Transition(s) 2050 de l’Agence pour la transition écologique (ADEME).
La Suède et l'Allemagne disposent déjà de nouvelles méthodes de recyclage des matériaux faiblement radioactifs après la fermeture d'une centrale nucléaire.
Un groupe de physiciens, de chimistes et de métrologistes(1) du CNRS, de l’Université Claude Bernard Lyon 1, du CEA et de l’ENS de Lyon ont mis au point une nouvelle méthode « à la fois plus rapide et plus économique » pour suivre en temps réel les émissions de gaz radioactifs dans les centrales nucléaires.
Lancés ce mardi par le biais de l’introduction dans les décombres d’une sonde équipée d’un bras robotique afin de mener de premières analyses, ces travaux de démantèlement de la centrale nucléaire devraient durer plusieurs décennies.
Dossier « illisible », « lacunaire »... Les associations antinucléaires réclament que l’instruction de la demande d’autorisation de création du projet Cigéo soit prolongée de deux ans. Bure (Meuse), reportage Rares sont les opportunités de voyager dans le temps profond. Sauf quand on traverse les couches géologiques qui doivent accueillir des déchets de l’industrie nucléaire. C’est à Bure, dans la Meuse, que doit être construit le futur site d’enfouissement des déchets radioactifs, baptisé Cigéo.
Cigeo, le projet français d'enfouissement des déchets les plus radioactifs du parc nucléaire, devrait connaître vers le début de 2025 une nouvelle étape, avec la publication de son évaluation de sûreté, a-t-on appris mardi auprès de l'Andra, l'agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs.Le projet, qui vise à enfouir à 500 m sous terre, dans la Meuse, les déchets les plus actifs et de longue durée, fait l'objet d'une demande d'autorisation de création auprès de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), dont la réponse est attendue vers 2028 estime l'Andra.
Lobbying. C’est un mot qui a marqué la législature européenne 2019-2024 frappée par le scandale du Qatargate. Si cette affaire a mis en lumière des soupçons de corruption, à différencier de la définition du lobbying, elle a tout de même démontré le besoin de renforcer la transparence autour des rencontres entre les groupes d’intérêt et les membres des institutions européennes. Pourtant, un cadre existe déjà. D’abord, chacun des 29.000 lobbies doit s’inscrire dans un registre de transparence. Ensuite, ces groupes d’influence ont l’obligation d’enregistrer toutes les rencontres organisées avec les membres les plus haut placés de la Commission européenne.
Une nature si imposante et si fragile à la fois. Les gigantesques forêts boréales du Canada vont-elles à nouveau brûler cet été ? Ces derniers jours, plusieurs feux de forêt se sont déjà déclenchés. Comme en 2023, la saison des feux commence tôt dans les étendues boisées du grand nord. Après un hiver marqué par une forte sécheresse, certaines régions canadiennes sont menacées. Et le phénomène météorologique El Nino risque d’amplifier le phénomène.
Une nature si imposante et si fragile à la fois. Les gigantesques forêts boréales du Canada vont-elles à nouveau brûler cet été ? Ces derniers jours, plusieurs feux de forêt se sont déjà déclenchés. Comme en 2023, la saison des feux commence tôt dans les étendues boisées du grand nord. Après un hiver marqué par une forte sécheresse, certaines régions canadiennes sont menacées. Et le phénomène météorologique El Nino risque d’amplifier le phénomène.
Alors que l’entreprise Orano est en train de dépolluer une zone contaminée par des éléments radioactifs près de son usine de retraitement nucléaire, les agriculteurs des terrains voisins craignent d’avoir été gravement touchés.
Le groupe français TotalEnergies a annoncé mercredi un accord avec la société autrichienne OMV pour racheter sa part de 50% au sein d'un producteur de gaz malaisien, une transaction d'un montant de 903 millions d'euros."Nous sommes ravis de renforcer la position de TotalEnergies en Malaisie en devenant actionnaire du producteur de gaz indépendant SapuraOMV", a commenté le PDG Patrick Pouyanné, cité dans un communiqué. "Cette opération servira de point d'ancrage pour notre croissance future dans ce pays".
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Depuis 1993, l’immersion de déchets radioactifs en mer est interdite. Mais que faire des déchets jetés auparavant dans les océans ?
1,76 million de mètres cubes de déchets radioactifs ont été recensés en 2023, un chiffre amené à croître. De nombreuses incertitudes persistent sur l’avenir de leur gestion.
La France, champion du nucléaire civil aux ambitions renouvelées, compte à ce jour 1,76 million de m3 de déchets radioactifs à gérer, un stock amené à croître mais que les pouvoirs publics se disent en capacité de gérer.Quelque 220.000 m3 supplémentaires ont rejoint le stock de déchets en cinq ans, soit 14% de plus, selon cet inventaire quinquennal à fin 2021 publié mardi par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).
La France compte quelque 1,76 million de m3 de déchets radioactifs à gérer, soit 14% de plus que lors du précédent inventaire quinquennal, souligne mardi un bilan de l'Andra, l'agence publique chargée du sujet. C'est environ 220 000 m3 de plus qu'au 31 décembre 2016, selon ce bilan à fin 2021 établi par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Plus de 90% du total est de très faible activité ou de faible et moyenne activité à vie courte. Ces matériaux sont en partie stockés en surface dans des centres de l'Andra dans l'Aube.
Des associations et ex-salariés d'Orange, ont demandé en octobre la saisine d'un juge parisien pour enquêter sur une possible exposition au long cours à de la radioactivité via des "parafoudres", des boîtiers évitant des surtensions, a appris l'AFP de source proche du dossier vendredi.
Des associations et ex-salariés d'Orange, ont demandé en octobre la saisine d'un juge parisien pour enquêter sur une possible exposition au long cours à de la radioactivité via des "parafoudres", des boîtiers évitant des surtensions, a appris l'AFP de source proche du dossier vendredi.