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Pendant les vagues de chaleur, les îlots de chaleur urbains (ICU) affectent les villes. Les personnes âgées, les enfants ou les ménages pauvres sont particulièrement vulnérables. Nous présentons la première mesure de l’exposition aux ICU en France en fonction du revenu. Le lien entre l’exposition et le revenu varie selon que les ménages aisés vivent dans les centres-villes, comme à Paris, ou dans les banlieues riches, comme à Lyon.
Bien que l’Afrique contribue pour moins de 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, elle supporte une charge disproportionnée de la crise climatique en ayant, qui plus est, un accès restreint aux liquidités indispensables au financement de ses objectifs de développement et de ses ambitions climatiques. Le continent ne bénéficie ainsi que de 3 à 4 % du financement climatique mondial alors qu’il compte neuf des dix pays les plus vulnérables aux changements climatiques. L’objectif est de passer à 10 % d’ici à 2030, a soutenu M. Kariuki.
Les banques françaises, malgré leurs promesses vertes, continuent de financer les énergies fossiles tandis que des alternatives existent.
Les politiques ambitieuses d'exclusion du charbon des banques françaises laissent apparaître des failles, selon Reclaim finance.
Les grandes banques françaises ont continué d'investir dans le charbon entre 2021 et 2023 alors qu'elles avaient "à maintes reprises affiché leur sortie" du secteur, selon une étude de Reclaim Finance publiée mardi.20 groupes « problématiques » soutenus par BNP Paribas"Malgré une baisse des financements au secteur du charbon depuis 2019, notre analyse montre que de nombreuses transactions problématiques persistent entre 2021 et 2023" dans le développement de nouvelles mines ou centrales à charbon, affirme l'ONG.
Engagées sur le papier à réduire leur empreinte carbone, les grandes banques persistent à vouloir financer des activités fortement émettrices de gaz à effet de serre, pointe un centre de recherche conseillant les investisseurs vers des placements bas-carbone, mardi dans un rapport.Des 26 établissements bancaires transnationaux interrogés par le centre Transition Pathway Initiative (TPI) basé à la prestigieuse London School of Economics, 22 sont prêts à financer de nouvelles activités liées au charbon, et 24 l'exploitation de nouveaux champs pétroliers et gaziers.
Deux chercheurs britanniques ont tracé la provenance de plus de 500 milliards de dollars ayant financé les multinationales responsables de la déforestation en Amazonie brésilienne et leurs résultats accablent une nouvelle fois la BNP Paribas. La banque française a porté à elle seule 3 % des financements irriguant, sur la période 2014-2023, les 39 multinationales passées au crible par les chercheurs. Celles dont l’activité dans la production de soja, de bœuf, d’huile de palme et de pâte de bois destinée à (...)
Vous avez peut-être déjà entendu dire que pour participer à la transition climatique, une des choses les plus efficaces que vous pouviez faire était de changer de banque. Qu'en est-il réellement ?
Une vingtaine de pays pro-nucléaires souhaitent que les grandes institutions financières et les banques de développement internationales s'impliquent dans le financement du nucléaire civil dans le monde, ont-elles déclaré à l'issue de leur réunion en fin de semaine jeudi et vendredi à l'OCDE à Paris.
Réunis à New York, les représentants de 14 banques et institutions financières se sont déclarés prêts à soutenir davantage l’atome civil afin d’atteindre l’objectif fixé par la COP28 : le triplement des capacités du secteur d’ici 2050. Un “tournant”, selon le “Financial Times”.
Frédéric Chomé est un physicien belge, fondateur et manager général de Factor-X – the Climate Consulting Group, un bureau de conseil en stratégie climatique et développement durable à destination des entreprises et des pouvoirs publics à travers l’Europe. Aider les citoyens, les communautés et les entreprises du monde à réduire leurs émissions de GES en agissant sur la consommation d'énergie, les transports, la gestion des déchets et les comportements d'approvisionnement. Frédéric nous parle de la place de l'argent dans les banques, l'impact colossal du carbone derrière et comment y remédier.
En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Le projet vise à protéger les lignées originaires du Gondwana qui ont survécu à une époque antérieure à la séparation des continents.
Since the Paris Agreement in 2016, the world’s 60 largest private banks financed fossil fuels with USD $6.9 trillion. Nearly half – $3.3 trillion – went towards fossil fuel expansion. In 2023, banks financed $705 billion in fossil fuel financing with $347 billion going to fossil fuel expansion alone.
En France, si l’abandon du charbon et, dans une moindre mesure, celui du pétrole font (relativement) consensus, le gaz naturel jouit d’une complaisance certaine. Est-ce parce qu’il a été identifié comme un « allié de la transition énergétique » par les grands groupes d’hydrocarbures, comme le reprennent en chœur les médias et les politiques français ?
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté ou arrangé l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
Plus fossile à dire qu’à faire. Malgré certains efforts, le financement des banques aux producteurs d’énergie fossile est toujours bien trop important à l’échelle mondiale pour limiter le réchauffement climatique, révèle un rapport de huit ONG.
Les géants bancaires du monde financent encore massivement le charbon, le pétrole et le gaz, dévoile un rapport du consortium d’ONG Reclaim Finance ce lundi 13 mai. Chez les banques françaises les montants sont néanmoins en repli.
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
La chute est particulièrement notable pour BNP Paribas, assignée en justice début 2023 sur son devoir de vigilance.
Les solutions proposées par l’institution financière sont toutefois jugées insuffisantes pour aller vers un modèle durable et résilient.
- Afp
Les banques dans le monde ont prêté 470 milliards de dollars (439 milliards d'euros) aux entreprises exploitant le charbon entre 2021 et 2023, affirme jeudi l'ONG Urgewald, qui critique une manne financière accordée malgré l'urgence climatique. 75 banques ont augmenté leur soutien Sur 638 banques examinées, seulement près de 140 ont réduit considérablement leur soutien à l'industrie charbonnière depuis 2016 contre 75 qui l'ont accru, le reste de l'échantillon demeurant stable, selon l'étude de l'ONG allemande publiée avec plus d'une dizaine d'organisations partenaires.
- Afp
La Banque mondiale (BM) a annoncé mercredi réviser à la hausse son programme d'électrification prévu dans plusieurs pays africains, visant désormais le raccordement électrique de 250 millions de personnes d'ici à 2030, contre 100 millions prévus initialement.
Couper le financement de TotalEnergies en refusant de lui prêter de l'argent: près de 60 ONG ont appelé mercredi banques et investisseurs à "ne pas participer" à l'apport d'argent frais de l'entreprise qui continue "sa stratégie climaticide". Ces organisations viennent principalement de France (les Amis de la Terre, Attac), d'Afrique (Justiça Ambiental du Mozambique, le Cecic en Uganda), mais sont aussi implantées à l'international (Reclaim Finance, Extinction Rebellion).
- Belga
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, les principaux groupes bancaires de l'Union européenne ont octroyé un total de 256 milliards d'euros de crédit aux entreprises qui menacent les forêts, les savanes et d'autres écosystèmes confrontés à des situations climatiques critiques, selon un rapport du cabinet d'études néerlandais Profundo, rendu public par Greenpeace International, Milieudefensie, Harvest et Global Witness.
Au lendemain de l’accord trouvé par la COP28 à Dubaï, le groupe bancaire, l’un des principaux en Europe, annonce ce jeudi 14 décembre qu’il ne financera plus de nouveau projet d’extraction d’énergies fossiles.
- Belga
Les banques européennes ont investi 308,9 milliards de dollars dans des entreprises opérant dans les colonies israéliennes illégales, révèle mardi une enquête internationale à laquelle ont pris part la coupole d'ONG flamande 11.11.11 et FairFin.
La Banque mondiale (BM) va investir jusque cinq milliards de dollars afin de fournir "une électricité fiable, peu chère et renouvelable" à 100 millions de personnes en Afrique d'ici à la fin de la décennie, a annoncé mercredi son président Ajay Banga en Tanzanie.Aujourd'hui environ 600 millions de personnes n'ont pas accès à l'électricité sur l'ensemble du continent, selon l'institution, l'accès à l'énergie étant pourtant un élément essentiel pour le développement économique et les créations d'emplois.
Fonds dommages climatiques: donateurs et bénéficiaires auront le contrôle, promet la Banque mondiale
- AfpLa Banque mondiale, objet de vives critiques du monde en développement, jouera un rôle limité dans la gestion de l'argent destiné au fonds sur les dommages climatiques des pays vulnérables, mis en place à la COP28, a tenté de rassurer vendredi le président de l'institution, Ajay Banga."En réalité, la Banque ne joue pas de rôle dans l'allocation de l'argent", a expliqué M. Banga lors d'un événement en marge de la COP à Dubaï, "ce sera la tâche d'un conseil de gouvernance qui doit encore être créé et qui représentera les donateurs et les bénéficiaires".