Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Filtre :
filtre:
Hongrie
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé vendredi que son gouvernement cherchait des moyens de contourner les sanctions américaines contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes destinées à faire pression sur Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine. "Des sanctions ont été prises contre certaines entreprises de pétrole russe (...). Nous travaillons sur des moyens de les contourner", a déclaré M. Orban lors de son interview radio hebdomadaire. "Quiconque souhaite une baisse des prix" notamment de l'énergie "doit défendre le droit de la Hongrie à acheter du pétrole et du gaz à la Russie, ou au même prix que la Russie, ou moins cher", a ajouté le leader nationaliste.
Depuis que Donald Trump et Vladimir Poutine se sont appelés, jeudi, pour convenir de se rencontrer prochainement à Budapest, l’impression générale en Russie est que la Maison Blanche est à nouveau bien disposée à l’égard du Kremlin.
Budapest est accusé d’avoir espionné l’Union européenne de l’intérieur, un diplomate affirmant même que le pays dirigé par Viktor Orban « envoie ses rapports au Kremlin ».
Les faits ont débuté voici dix ans, lorsque les tensions entre le gouvernement du Premier ministre hongrois et la Commission européenne ont commencé à se multiplier.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, reproche notamment au premier ministre hongrois, Viktor Orban, d’avoir envoyé des drones au-dessus de l’Ukraine, qui pourraient servir la cause de l’ennemi russe.
La Hongrie n'est pas prête à renoncer à importer du pétrole russe, comme le réclament les Etats-Unis de Donald Trump, et une majorité de pays de l'UE, a indiqué mercredi son Premier ministre Viktor Orban. "Nous n'avons aucune autre option, aucune", a-t-il affirmé devant la presse à Copenhague, assurant au passage que le président américain ne lui avait jamais demandé de fermer le robinet du pétrole russe.
Le Premier ministre Viktor Orban a minimisé lundi le survol éventuel par des drones hongrois de l'espace aérien ukrainien, tout en estimant que son pays voisin en guerre n'était pas souverain, puisqu'il dépend de l'Occident.
Après les États-Unis, la Hongrie classe à son tour le mouvement Antifa comme organisation terroriste
- Le Monde,Afp,Cette annonce survient après la signature lundi par le président américain, Donald Trump, d’un décret en ce sens, à la suite de l’assassinat du militant ultraconservateur Charlie Kirk.
L'Ukraine soupçonne la Hongrie d'avoir effectué des vols de drones de reconnaissance dans son espace aérien, a déclaré vendredi le président Volodymyr Zelensky, faisant monter d'un cran la tension entre ces pays voisins.
Un arrêt de la Cour de justice de l'UE annule le feu vert qu'avait donné la Commission à la construction de deux réacteurs. Et bouleverse les relations internationales de la Hongrie.
En visite à Kiev, le président finlandais Alexander Stubb a accusé la Hongrie et la Slovaquie d'alimenter la machine de guerre russe par leurs achats d'énergie.
La Hongrie, qui dépend fortement du gaz russe, a signé mardi un contrat avec le géant britannique de l'énergie Shell, tout en assurant que cela ne constituait pas une diversification vis-à-vis de la Russie. La compagnie publique hongroise d'électricité MVM et Shell ont signé un contrat de dix ans qui prévoit la livraison d'un total de deux milliards de mètres cubes de gaz à la Hongrie à partir de 2026, a indiqué le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto. "Il s'agit d'un contrat à long terme, le plus long et le plus important jamais conclu avec un partenaire occidental", a-t-il souligné auprès des journalistes en marge d'une conférence sur le gaz à Milan.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit avoir demandé à Donald Trump de convaincre le chef d'Etat hongrois Viktor Orban de cesser de bloquer l'ouverture de négociations sur l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne.
Le 23 janvier 2025 pourrait entrer dans les livres d'histoire de la Hongrie comme le jour où une série d'alertes à la bombe a terrifié la nation. Une prétendue campagne d'e-mails émanant de "terroristes musulmans", menaçant de déchaîner la "colère des opprimés", a semé la panique dans tout le pays. Cette menace s'inscrivait dans le cadre d'une opération coordonnée à l'échelle européenne visant à semer la panique et la confusion.
Dans le sud du pays, les terres agricoles ont été desséchées par le drainage intensif et le changement climatique. La commune de Ruzsa tente de sauver les siennes grâce au recyclage des eaux grises et à un bassin de rétention, raconte le portail “Valasz Online”.
La Hongrie a salué mardi la "solution" trouvée par la compagnie pétrolière nationale MOL pour continuer à recevoir le brut acheminé par le géant russe Loukoïl, sous le coup de sanctions de Kiev, via l'Ukraine.Une prise en charge à la frontière entre le Bélarus et l'UkraineMOL avait annoncé la veille avoir conclu "des accords avec les fournisseurs de pétrole et les opérateurs" de l'oléoduc Droujba "pour sécuriser le transport vers la Hongrie et la Slovaquie".
La Hongrie, accusant l'Ukraine voisine d'entraver le transit par son territoire du pétrole russe destiné notamment à Budapest, a demandé lundi à l'UE d'intervenir, aux côtés de la Slovaquie également concernée.Ce pays d'Europe centrale enclavé, sans accès à la mer, bénéficie d'une exemption à l'embargo pétrolier européen décrété après le lancement de l'offensive par Moscou et continue à recevoir du brut russe via l'oléduc Droujba, qui approvisionne aussi la République tchèque et la Slovaquie.
La vague de chaleur observée en Europe centrale a endommagé la piste d'atterrissage de l'aéroport hongrois de Debrecen qui a dû fermer vendredi jusqu'à au moins dimanche, déroutant les passagers vers Budapest.
Les giga-usines de fabrication de batteries électriques asiatiques se multiplient en Hongrie. Viktor Orbán accueille à bras ouverts ces industries polluantes, quitte à sacrifier environnement et travailleurs étrangers. Vous lisez le second épisode de notre série « L’écologie selon l’extrême droite ». Le premier est ici. Budapest (Hongrie), correspondance Viktor Orbán déroule le tapis rouge aux entreprises asiatiques de production de batteries pour véhicules électriques. Au cours des cinq dernières (...)
Le Premier ministre suédois Ulf Kristersson a salué lundi "un jour historique" après la ratification hongroise de l'adhésion de la Suède à l'Otan, ouvrant la voie à son entrée dans l'Alliance atlantique.
Depuis 2015, ils sont une soixantaine d’étudiants –souvent issus d’écoles d’ingénieurs françaises – à avoir séjourné à Budapest dans un “centre de recherche et d’expérimentation”. Reportage
Théâtres, écoles, universités, bureaux de poste, piscines, bains, stades, pâtisseries, hôtels… L’explosion des prix du gaz et de l’électricité n’épargne aucun secteur et nombre d’entrepreneurs risquent de cesser définitivement leur activité, déplore le site “Telex”.
Pour illustrer l’explosion du panier du consommateur en Hongrie, pays champion de l’inflation alimentaire en Europe, l’hebdomadaire “HVG” illustre sa une avec un œuf présenté comme un bijou.
L’adoption d’un nouveau rapport par le Parlement européen condamnant le gouvernement de Viktor Orban intervient alors que Budapest tente de donner des gages à Bruxelles, pour ne pas voir ses financements coupés.
Comme la majeure partie de l’Europe, la Hongrie se dessèche sous l’effet d’un été caniculaire. Plusieurs de ses lacs sont à sec ou en voie avancée d’assèchement, le Danube est à un niveau historiquement bas et des feux se déclenchent çà et là. Mais les autorités ont déjà.
Il s'agit des livraisons via une branche de l'oléoduc Droujba transitant par l'Ukraine et qui dessert trois pays européens sans accès à la mer, la Hongrie, la Slovaquie et la République tchèque. Les livraisons à la Pologne et à l'Allemagne, via une autre branche de Droujba transitant par le Bélarus, "se poursuivent normalement", a déclaré Transneft.
Le gouvernement hongrois a annoncé mercredi un "état d'urgence" pour répondre à la crise énergétique, avec une hausse prévue de la production de charbon et l'appel aux ménages à restreindre leur consommation.
Dans les entrailles de la ville hongroise de Szeged, les brûlantes eaux souterraines, enfouies à 2.000 mètres de profondeur, ont longtemps été inexploitées. Jusqu'au lancement d'un projet géothermique de grande ampleur destiné à chauffer des milliers d'appartements, une conversion énergétique qui se veut un exemple dans une Union européenne en quête d'émancipation de Moscou.
Les dirigeants des 27 pays de l'UE ont trouvé un accord lundi qui devrait permettre de réduire de quelque 90% leurs importations de pétrole russe d'ici la fin de l'année afin de tarir le financement de la guerre menée par Moscou en Ukraine. Cet embargo sur le pétrole brut dans les 6 mois et les produits raffinés dans les 8 mois est la mesure phare mais aussi la plus épineuse du sixième paquet de sanctions contre la Russie qui était bloqué jusqu'à présent par la Hongrie.
En Hongrie on l'appelle "Sajo" alors qu'en Slovaquie c'est "Slana". Polluée par une mine de fer, cette rivière a carrément viré à l'orange. Cette catastrophe écologique qui détruit la faune touche ces deux pays voisins d'Europe centrale. La source du problème, c'est une ancienne mine de fer située en Slovaquie qui a été fermée en 2008. Les puits sont désormais remplis d'eau et, depuis février, de l'eau contaminée par des métaux lourds s'écoule dans la rivière.
