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L’intelligence artificielle (IA) est-elle en train de devenir trop… imaginative ? Alors que les modèles de langage comme ChatGPT ou Gemini semblent chaque mois plus performants, une nouvelle étude menée par OpenAI révèle une vérité dérangeante : plus un modèle est sophistiqué, plus il a tendance à « halluciner » – c’est-à-dire, à produire des informations fausses, mais présentées de façon parfaitement crédible. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon OpenAI, ses deux modèles de raisonnement récents, o3 et o4-mini, hallucinent respectivement dans 33 % et 48 % des cas dans certains tests. C’est deux à trois fois plus que les anciens modèles. Une performance inquiétante, surtout à l’heure où l’IA est appelée à intervenir dans des domaines sensibles comme la médecine, le droit ou la recherche.
Bien que l’intelligence artificielle soit conçue pour alléger la charge des cliniciens, elle pourrait en réalité l’aggraver si les cadres de son utilisation ne sont pas mieux définis par les dirigeants du secteur de la santé, avertissent, dans une tribune au « Monde », trois professeurs américains.
Et si, dans un futur proche, les drones de guerre ressemblaient à de simples pies ou goélands ? Ce n’est pas un scénario de science-fiction, mais une réalité que la Chine vient de dévoiler lors de la 10e Exposition des technologies intelligentes militaires (CMITE 2025). Parmi une impressionnante gamme d’engins autonomes, un type de drone en particulier a captivé l’attention : les ornithoptères, des drones biomimétiques qui volent, bougent et ressemblent à s’y méprendre à de vrais oiseaux. Et ce n’est pas juste pour faire joli.
Le déploiement des bornes de recharge "intelligentes" pour les voitures électriques n'en est qu'à ses débuts mais deux technologies testées notamment à Villeneuve-les-Avignon, dans le sud de la France, devraient contribuer à réduire les émissions de CO2, stabiliser le réseau et même alléger les factures.
Face à l’inertie politique, certains scientifiques n’hésitent plus à s’engager de façon plus militante. Une attitude qui fait débat, mais qui traduit une inquiétude partagée parmi leurs pairs. Valérie Masson-Delmotte témoigne.
La 5G dont nous disposons actuellement n'est qu'une partie de ce que proposera à terme cette nouvelle technologie. Les ondes millimétriques (26 GHz) ouvriront de nouvelles perspectives. La 6G ira encore plus loin avec l'usage de « surfaces intelligentes reconfigurables » et un « meilleur suivi de l’utilisateur mobile ».
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